En effet, il faut décidément que je jette un œil à votre réédition !
Salut, et merci pour la relance ! J'ai fait scanner quelques planches, le souci étant que ma version papier n'est pas terrible (je peux t'envoyer mon pdf si tu veux). Mais un ami architecte a un ami qui a 1. de plus belles planches et 2. de quoi numériser. Donc c'est encore en cours.
Oui, c'est sûr ! Sur ma varlope de qualité, le logo de la marque est composé de deux forgerons (?) qui tiennent des marteaux. Ce logo est absent du petit rabot mais je ne sais pas si cela correspond à des dates de fabrication.
Merci Guilh63 ! Malheureusement, je ne connais pas de photographe amateur parmi mes connaissances. Pour Gallica, j'ai déjà demandé une numérisation d'ouvrage mais de ce que j'ai pu voir, ils font ça à la chaîne, ce qui fait des fichiers difficilement manipulables lorsqu'il s'agit d'images (même si la qualité est très bonne).
Et l'intérêt d'avoir les planches distinctes, pas reliées dans un livre, est justement à mon sens de se passer des dispositifs servant à numériser les ouvrages pour les passer directement dans un scanner et n'avoir pas trop de travail de reprise de l'image ensuite.
Je vais tout de même leur écrire, merci !
Merci pour la réponse ! Le souci, précisément, c'est que les planches simples sont un peu plus grandes qu'un A3 (le in folio que tu mentionnes dans ton autre commentaire, soit 31.5 par 41), sans parler des doubles. C'est pour cette raison que je suis allé voir un imprimeur pro, qui a le matériel pour numériser. J'attends son devis.
Pour le Jamin, je trouve vraiment très utile la numérisation par Gallica mais cela reste un scan de livre difficile à utiliser si l'on veut imprimer et travailler précisément avec l'une des planches. C'est moins grave car il y a toute une partie "illustrative", là où les planches de Mazerolle ne consistent quasiment qu'en épures.
Je ne voudrais pas que mon message prête à contresens. Mon but n'est évidemment pas de prétendre corriger Mazerolle. C'est juste pénible, lorsque l'on n' est pas sûr de soi, de se demander si c'est nous qui faisons erreur ou s'il y a une malheureuse coquille. Et pour avoir travaillé pas mal dans le milieu de l'édition, les coquilles sont souvent inévitables et corrigées petit à petit, réédition après réédition.
Bonjour Étienne,
merci pour votre réponse ! J'aimerais essayer de comparer les différentes versions car j'ai le même pressentiment que vous concernant la perte et/ou la modification de certains caractères lors du travail de numérisation et/ou réimpression.
Edit. Après un petit tour sur Gallica, qui propose un pdf de l'édition de 1924 (sans les planches malheureusement), ce qui me semble être une coquille à la p. 55 de mon édition (p. 86 de l'éd. 1924) est présent tel quel.
Pour ce qui est de ma page 21, le passage (traité de perspective) ne semble pas présent dans l'édition de 1924.
Ah, je pensais à ça: file:///home/guillaume/T%C3%A9l%C3%A9chargements/cha_260_en_fr-1.pdf
Mais il est très possible que je me trompe.
wtp.hoechsmann...a_260_en_fr.pdf
Peut-être comme ça ?
Oui, ils ont autonomisé les deux modules: wtp.hoechsmann.../cha_260_fr.pdf
Je crois que j'avais mal compris la question du coup. Mais c'est bien une suite de Chambon dans les documents, non ?
En ce qui me concerne, c'est une Makita sûre à 100%, garantie sur facture. J'imagine que le cône de serrage étant plus court qu'une vraie pince, les petits défauts d'usinage prêtent davantage à conséquence. Et comme les tolérances ne doivent pas être suffisamment strictes en l'occurrence, ça produit cet effet loterie, avec des cônes qui serrent bien et d'autres non.
Toutes mes condoléances. Je n'ai jamais échangé directement avec Sylvain mais je lui dois ma découverte du trait et de la charpente, et c'est avec une pensée pour lui que j'irai passer mes épreuves de CAP la semaine prochaine. Merci Sylvain.
Normalement, c'est bon. Je n'ai pas vraiment brillé en trait mais ça ne fait que m'encourager à poursuivre le travail. Merci à vous.
C'est tout à fait comme ça que je le vois, merci !
Dans la moyenne gamme, il y a aussi ça: technic-achat....rea-vfr050.html
J'ai fait tourner sans aucun souci un combiné avec pendant plusieurs années avant de déménager et d'avoir accès au triphasé.
Merci pour cette découverte !
Merci FRENCHMAVERICK ! Je vais suivre ces procédures !
Oui, ça déconne avec tout: défonceuse, scie circulaire, ponceuse etc.
Je vais voir un pour un repair café, mais pas sûr d'avoir ça près de chez moi.
Le décolmatage ? Oui, l'aspirateur est assez bien fait (de ce point de vue là), il décolmate régulièrement.
Oui, il se met aussi souvent en sécurité sans électroportatif, même si ce n'est pas aussi automatique. J'avais commencé par vérifier le contact de sécurité qu'il y a sur la prise asservie, le problème ne vient pas de là.
Ok, merci !
Oui, bien sûr.
Edit. En allant voir des photos de la machine, je confirme qu'il s'agit à vue de nez de la même mécanique, je n'arrive même pas à identifier en quoi il s'agit d'un modèle différent de la mienne (sans doute la motorisation).
J'ai l'impression que c'est bien le même système mais je n'ai pas l'impression dans mon cas que le blocage remonte les tables. En revanche, t'aurais des photos tables ouvertes que je puisse identifier les boulons en question. Dans mon cas, la surface de pose des tables est assez grande et il faut donc glisser du clinquant plutôt à gauche, à droite, devant ou derrière selon la manière dont tu dois redresser les tables.
En fait, pas sûr que ce soit le même système. Mais tu peux essayer de desserrer la vis et d'intercaler du clinquant dessous. Même si tout a l'air d'être d'un bloc, ce qui n'est pas le cas sur la mienne (et j'ai deux vis de chaque côté).
Ouin je compatis. C'est frustrant d'avoir une belle machine et de devoir passer des heures à la régler avant de pouvoir l'utiliser !
Question peut-être idiote mais au cas où, sur la mienne, il y a un levier d'embrayage / débrayage de l'entraîneur. Coté entrée de raboteuse, en bas à gauche. Il est débrayé en position haute et il faut le baisser pour le rabotage.
Ah zut. Parfois, les miens sont peu efficaces mais il suffit alors de lubrifier la table de raboteuse. En tout cas je n'ai jamais réglé les entraîneurs (machine de deuxième main qui a dû énormément tourner avant moi).
Bon courage pour la suite avec la machine !
Très inspirant, ça motive pour s'y mettre. Bravo !
Merci pour les commentaires.
Le travail autour de Mazerolle, en ce qui me concerne en tout cas, a principalement une valeur d'entraînement intellectuel (en plus de la dimension patrimoniale).