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565 réponses
cocoM

Un petit peu de précision sur le vocabulaire : le "séchage" d'une huile ce n'est pas une évaporation (comme ce serait le cas avec de l'eau ou de l'alcool) mais une polymérisation. Ton huile est composée d'acides gras dont certains sont insaturés ; et qui vont de ce fait se lier entre eux en présence d'oxygène et ainsi former un film continu assimilable à un plastique naturel.

Pour siccater (oui je viens d'inventer un nouveau verbe transitif, on devrait parler de réticulation mais bon...) ; ton huile va avoir besoin
-d'oxygène
-d'un contact entre ses acides gras insaturés (s'ils ne se touchent pas ils ne réagissent pas) et donc d'un film continu
-de temps.
La durée indicative pour la réticulation d'une huile ne tiens pas compte de plusieurs éléments : la température, l'humidité, la quantité d'oxygène, la présence d'éléments chimiques favorisant la réaction (ceux qu'on trouve dans les siccatifs : manganèse, cobalt, plomb...) ; si tu fais sécher ton huile dans un environnement froid, humide et mal ventilé (typiquement : dans une caisse en plastique dans laquelle entreposer un stock avant de le livrer aux clients) même après 3 semaines ton huile n'aura pas séché. Certains bois (par exemple certains résineux) vont naturellement contenir des éléments chimiques qui vont favoriser ou ralentir la polymérisation.

Dans le cas du bois, la circulation d'oxygène se fait en surface, mais assez peu en profondeur, et d'autant moins que le bois est dense et à grain serré (ça sèche mieux en profondeur sur du chêne que sur du poirier ou du houx) ; et si un film a polymérisé en surface, plus d'échange d'oxygène avec ce qui est dessous et donc plus de polymérisation. Et par là dessus, ton bois est poreux, ce qui fait que ton huile va migrer vers le coeur d'autant plus vite que ton bois est sec et que ton huile est fluide.
Et pour couronner le tout, la siccativité reste quoi qu'il arrive partielle : une proportion des acides gras variable d'une bouteille à une autre sont saturés, ils vont donc rester fluides.

Avec ta méthode actuelle, tu assures la saturation du bois, mais en passant essuyer le surplus 24h après, tu supprimes le film continu en surface ; par la suite les changements de température/humidité/pression vont faire migrer une partie de l'huile contenue dans ton bois vers la surface, et là soit l'huile est en contact avec l'oxygène et va réticuler, soit elle est en contact avec une surface poreuse et elle va migrer dans cette surface (d'où les étiquettes grasses).
Les huiles "food safe" chesnuts ou autre ne précisent pas leurs compositions (ce qui est embêtant pour de l'alimentaire) ; mais semblent plutôt être composées d'huiles minérales (huile de paraffine ???) et quand on lit leurs recommandations d'applications elles semblent avoir un rôle de saturateur plus qu'autre chose (elles ne sèchent jamais, mais en occupant la place elles empêchent l'eau de rentrer).

Pour remédier à ta problématique, je suggérerais d'améliorer ton application d'huile de lin en saturation : t'assurer d'avoir un bois bien sec ; faire une application à chaud de l'huile pour la rendre plus fluide et obtenir une meilleur migration en profondeur dans le bois ; essuyer le surplus plus rapidement (2-3h) ; assurer un environnement de réticulation correct par la suite (assurer la meilleure circulation d'air possible, température entre 15-25°C, humidité de l'air inférieure à 60%). Par là dessus ; il est intéressant (mais pas indispensable) de créer un "film" protecteur : soit une deuxième application d'huile ; soit une cire.

Si cette modification ne rentre pas dans ta grille tarifaire, ne pas chercher un produit miracle qui va tout solutionner, mais plutôt être honnête avec les clients sur les propriétés de ta finition actuelle. La finition est toujours un compromis entre des produits plus ou moins nocifs, une esthétique particulière, une durabilité face aux conditions d'utilisation, une temps et une difficulté d'application, et un prix. Etre clair avec soi même et avec les clients sur les raisons qui t'ont amené à placer la barre du compromis à tel endroit est plus important que d'avoir la finition parfaite.

cocoM

Ce n'est pas si simple :

pour qu'un collage soit bien fait, il faut deux conditions : deux pièces bien jointives (parfaitement plates) et une pression uniforme. Dans le cas d'un contreplaqué, il faut en plus que les tensions soit équilibrées entre les deux faces ; donc dans ton cas plutôt coller deux épaisseurs de 13 ou 15mm, une de chaque côté de ton CP.

La planéité dépend de la qualité du CP et des plaques rapportées de chaque côté, mais ça doit être jouable.
Par contre pour ce qui est de serrer... il va te falloir une bonne armée de serre joints ; des martyrs pour répartir la force de serrage, et quinze bras pour manipuler tous ces éléments lourds dans un temps limité par la vitesse de prise de la colle.

Une alternative serait de coller à la néoprène ; auquel cas il faudrait encoller une face de ton CP et une plaque ; une fois la colle sèche placer des tasseaux entre les deux plaques pour venir les positionner correctement puis les retirer délicatement pour effectuer le collage sans décalage ; après ça placer un gros tas de trucs lourds un peu partout. Après 30min sous poids ; tu fais la même chose pour l'autre côté.

Si l'objectif d'avoir plus d'épaisseur est juste de gagner du poids (et pas d'usiner la tranche pour intégrer une presse ou autre élément technique) , tu peux rester sur ta solution du plan de travail en hêtre, et le "coller" avec des plots de colle au pistolet (sicka ou autre marque) qui laisseront une micro lame d'air entre les deux plaques et dont la souplesse limitera les déformations du CP. Par contre avec cette solution il faudra que ton plateau soit fixé sur le piétement par des boulons traversants pour assurer une fixation mécanique du hêtre.

cocoM

La bande résiliente sert à atténuer les bruits de choc (pas forcément utile dans ce cas puisque pièce ouverte les bruits de choc vont se diffuser de toute façon) ; mais aussi à limiter les grincements si les lames bougent avec le temps. Pour cet objectif là ; la bande résiliente reste intéressante. Et puis vu le faible prix de la bande résiliente et le peu de temps que ça prend à poser en comparaison avec l'ensemble du projet, je ne vois pas pourquoi s'en passer.

Concernant le pré trou, je pense qu'il y a confusion. Tu peux faire un pré trou dans ta latte plus large que la tête de vis, mais le bastaing en dessous doit avoir un pré trou plus petit que ta vis sinon ça ne tiens pas. Si tu as une vis à tête conique ; ça ne laissera pas de liberté de mouvement au bois ; pour ça il faudrait une vis à tête plate qui dépassera du sol fini et ne sera pas des plus agréables à l'usage. En revanche faire un pré trou plus gros que ton diamètre de vis permet que lorsque tu serre ta vis, la latte de plancher soit fortement plaquée au sol. Tu peux t'affranchir de cette étape en achetant des vis techniques prévues pour (vis à terrasse ou à parquet) mais je trouve que le résultat reste meilleur avec un pré perçage.

par manolod il y a 17 jours
cocoM

Un premier point :
le lamellé collé est autant du bois massif qu'une table monastère... les deux sont constitués de lames de bois assemblées pour limiter la largeur d'une seule pièce et ainsi limiter les mouvements du bois. Les différences ? le lamellé collé moderne est un produit industriel, dont les caractéristiques sont pensées pour être robotisé ; la table monastère a été fabriquée par un artisan qui a choisi son bois soigneusement .

Par rapport à ton projet : une vraie table monastère, elle est constituée de lames de bois prises en rainures/languettes dans un cadre sur le pourtour. Si tu coupes ce cadre, ton plateau ne sera plus un plateau mais un puzzle dont tu viens de découper une pièce centrale. Il serait possible de faire un plan de travail en conservant le principe de la table monastère : cadre à dimension du plan de travail et lames en rainures languettes ; mais c'est une fabrication sur mesure, pas un bricolage à la portée de tous. De plus il faudra accepter de petits interstices entre les lattes, et fixer uniquement le cadre, surtout pas les lattes qui elles doivent rester libres de bouger.

Dans ma tête, si elle est stable après des décennies de fabrication, elle ne bougera plus beaucoup.

Est ce un bon raisonnement ou suis je dans le faux ?

le raisonnement n'est pas mauvais, mais il lui manque la donnée de l'environnement : si elle est stable depuis des décennies dans un environnement stable, elle ne bougera plus dans cet environnement. Mais en la déplaçant, tout peut arriver.

cocoM

Mouais... pas convaincu par la bestiole.
-il parle de transition duramen/aubier nette typique du frêne... je vois pas de quoi il veut parler. Le frêne a plutôt un aubier indistinct.
-les gerces radiale profondes... c'est loin d'être un critère de différenciation du frêne, ça parle plutôt du séchage que de l'essence.
-il confond les ondes d'usinage du tournage avec un effet ondé (qui lui même ne serait pas spécifique au frêne,mais je lui laisse le bénéfice du doute là dessus parce que c'est quand même plus courant)
-il n'a rien dit du bois de printemps plus foncé que le bois d'été (en même temps, sur du frêne c'est l'inverse, il aurait été bien embêté de le dire).

Bref, il dit pas grand chose de pertinent, un médium de Barbès aurait pu avoir une réponse tout aussi convaincante.

cocoM

38m² ça se fait ; j'ai à peu près la même chose mais avec plus de hauteur et des portes plus grandes. Par contre a impose de bosser projet par projet, et ça rend difficile de stocker des matériaux en quantité.
Quand j'ai démarré il y a 5 ans ça ne posait pas de soucies ; mais depuis mon fournisseur de bois a changé de politique : il ne vend plus de plateau à l'unité mais uniquement fût complet.
Si tu as du terrain et la possibilité d'aménager des espaces de stockage extérieur à moindre frais ça peut être pas mal.
En gros si tu pars sur cet atelier, il faut dimensionner ton entreprise en fonction : soit tu fais 90% du boulot sur chantier chez le client ; soit tu fais de la petite pièce en atelier ; soit tu fais de gros projets en atelier mais avec un rythme très contraint ; soit un mix à adapter entre ces trois versions (perso j'ai fais les trois versions avant de me fixer sur la fabrication de petites pièces ; un pote à moi s'est lui plutôt orienté sur la première... à toi de voir suivant ton caractère, ton budget d'investissement etc...)

Le 380 ; c'est trop bien. 50m c'est long, mais pas non plus hyper long... Si les 50m sont chez toi, je pense que l'investissement dans la ligne sera remboursé en économies sur l'achat de machines fiables en occasion comparé à des machines en 220V. Si tu tire une ligne depuis ton tableau actuel, il faudra monter l'abonnement très haut pour encaisser les pics de démarrage, oublier l'éventuel contrat heures pleines heures creuses car tu bosseras toujours en heures pleines... Pas sur qu'un simple sous compteur suffise à éviter que ton foyer ne paye une partie de ta conso.
Par contre il ne faut pas trop s'inquiéter de la conso des machines : en atelier seul ma conso cumulée à l'année est la même que le chauffe eau du foyer à lui seul (c'est un vieux pas performant je dois dire).
Les normes ne sont pas plus compliquées que pour une maison car ça restera un atelier de petite taille, pas une industrie. La seule différence notable c'est qu'il faut équilibrer la répartitions de tes lignes mono sur ton tableau tri (l'éclairage, les prises 220 etc... il faut réfléchir à ce qui sera allumé ensemble pour éviter d'avoir tout qui tire sur une phase alors que les deux autres ne servent pas).

cocoM

As-tu déjà utilisé ce genre d'équipements ? Je pense que ta crainte de l'encombrement des visière de protection intégrée dans un casque n'est pas vraiment fondée.
Je m'explique : sur les visières type bollé ifs20 ; le support qui se fixe sur le haut de ton crâne est ce qui rend la visière relevable supportable. Si tu avais un support plus léger, la visière ne tiendrait pas en l'air, ou bien elle serait trop légère pour apporter la moindre protection ; et sur un équipement bien fait, le poids à l'arrière du casque vient contrebalancer le poids de la visière.
Dans tous les cas, ce type d'EPI est plutôt utilisé à l'inverse de ce que tu envisages : abaissé la plupart du temps, et relevé à l'occasion pour vérifier prendre une mesure, vérifier un tracé etc...
Utilisé relevée la plupart du temps, cela causerait des tensions dans la nuque, pas vraiment idéal ; avec un casque moins performant, ça glisserait sur le crane au moindre mouvement ; et en cherchant à mettre une visière plus légère, plus courte etc... pour essayer de résoudre le problème d'encombrement, ça ne protégerait plus (contrairement aux lunettes qui sont au plus près des yeux et protègent avec une petite surface, pour qu'une visière fonctionne elle doit descendre largement sous ton nez).

Je porte ce type de visière à longueur de journée (tournage sur bois) et je pense que l'équation que tu proposes n'as pas de solution.

cocoM

Et un bon vieux commutateur étoile/triangle ne suffirait pas ? 10 câbles à brancher, et une rotation du poignet à chaque utilisation... c'est comme ça que sont adoucis les démarrages sur mes vieilles mèmères.

cocoM
( Modifié )

Un peu à côté de la question, mais vu que tu indiques t'orienter vers le manuel pour des raisons de manque de place, il est possible de partir sur un mix électroportatif/manuel.

Par exemple :
-un rabot électrique qui fera office de riflard
-un n°4 ou n°5 pour replanir
-une varlope ou demi varlope pour les chants (à mon sens la varlope ne devient nécessaire que si tu fais des planches de plus d'1m50... si tu ne fais que des boites de 40cm tu peux même te contenter d'un n°5)
-un rabot de paume à angle faible pour les chanfreins, affleurements d'assemblages... Qui existe en version guillaume (CAD que la lame vient à fleur du chant du rabot) ; plus compliqué à régler mais qui est pratique pour reprendre une joue de tenon, un mi bois large...
-une affleureuse avec embase de défonceuse avec ses fraises diverses qui prendra moins de place que la liste complète des bouvets et permettra de faire feuillures, rainures, moulures, incrustations.

Remplacer un riflard par un rabot électrique fait gagner beaucoup de temps et de fatigue ; au prix du bruit, des consommables (les lames sont à jeter une fois usées) et de la poussière qui remplace les copeaux.
L'affleureuse/défonceuse remplace le bouvet, le guillaume et la longue liste des rabots à moulure par des fraises qui prennent beaucoup moins de place ; là encore au prix du bruit et de la poussière

Mis à jour
par Nicoel il y a 1 mois
cocoM

En métropole (comme ailleurs je suppose) la sylviculture et les réseaux de transformation/distribution jouent énormément sur ce qui est trouvable commercialement : l'aulne, le tilleul, le marronnier, le platane, le robinier, le charme, les cèdres, le thuya... sont présents principalement comme arbres d'ornement ou de haie ; et donc peu rentables à exploiter en sciage (récupérer une grume par ci par là n'est pas très efficace en terme de transport, et les arbres isolés ont généralement un fût moins long et plus de branches que leurs homologues en forêt qui doivent lutter pour aller chercher la lumière en hauteur).
Certaines essences sont "monopolisées" pour un usage qui demande une transformation moins couteuse : le peuplier en cagettes/papier ; le robinier ou le châtaigner en piquets de clôture (donc taillé en cépée plutôt qu'en fût).
Les essences à fruit pourraient faire de beaux bois ; mais souvent taillés bas et à cycle de vie raccourci pour la production fruitière plutôt que de bois (on trouve rarement du poirier ou du pommier de belle taille).

On a aussi certains bois très recherchés pour certains usages mais "rares" : buis, houx, chêne vert, cormier, micocoulier, olivier, genévrier... Généralement pour se les procurer il faut soit passer par des revendeurs qui les ont déjà transformé (carrelets de tournage, plaquettes de couteaux...) soit trouver directement une grume et se débrouiller pour le transport et le sciage.

Il y a bien sur des exceptions régionales : l'olivier, le buis ou le chêne vert sont beaucoup moins rares en Occitanie qu'en Picardie ; on trouve des pommiers en haute tige là où on fait du cidre, dans le Limousin le châtaigner est tellement abondant qu'on ne le cantonne pas aux piquets...

Et bien sur il y a les modes : ma frangine avait un hectare de merisier ; mais les scieries locales n'en voulaient pas faute de débouché commercial, alors que quand la parcelle a été plantée dans les années 50 c'était le must. Les bardages grisés n'ont pas la côté, donc rares seront les débouchés pour du bardage en châtaigner...

par Balsa il y a 1 mois
cocoM

Où ira ce plateau ?

Et en fonction de ça :
-à quel point est-il indispensable d'avoir un plateau parfaitement plan ?
-quelles variations d'humidité subira t-il ?

Et dernière question, à quel point ce bois est-il sec ?

Déligner pour recoller permet :
-de faciliter le corroyage (pièce moins lourde plus facile à guider correctement même si tu as un machine de bonne taille)
-de libérer certaines tensions du bois et ainsi limiter les déformations par la suite (à condition de laisser un temps de repos dans les conditions climatiques finales entre débit et corroyage).

Par contre clairement tu auras des défauts d'alignement sur la partie foncée qui nuiront à l'esthétique (pour t'en rendre compte tu peux coller un ruban de 6mm de large, entre le trait de scie et le corroyage c'est une approximation de ce que tu vas perdre sur chaque coupe)

Perso face à un si beau plateau, soit je fais un projet où je n'ai pas besoin de plus de 20cm de large et je refends en deux plateaux de 20cm ; soit je l'utilise sur un projet qui supportera le tuilage.

cocoM

.Ca va paraitre très bête : ton guide et ta tronçonneuse ne sont pas de la même marque... est-ce que l'huileur de ta tronçonneuse se retrouve bien aligné avec les orifices correspondants sur ton guide ?

cocoM

Pour le tournage, les touret à eau n'ont pas vraiment d'intérêt :
-l'immense majorité des outils sont en acier HSS qui ne se détrempe pas si facilement.
-on est souvent amené à faire de grosses modifications de profil (outil neuf, changement d'angle pour un bois dur...) et sur un touret à eau c'est looooonnnggg
-la plupart des tourets à eau travaillent en tirant le morfil, là où un touret à sec classique travaille en opposition, comme le tour. Cela rend possible l'affûtage à la volée sur un touret à sec, mais pas sur un touret à eau

Et pour rajouter une pierre contre le touret scheppach : sa pierre d'origine est bien trop fragile pour les outils hss modernes, la pierre va fondre à vue d'oeil, il faudra la dresser bien souvent ce qui ne rend pas l'ensemble plaisant.

Un touret à sec à 10€ en vide grenier, une meule corindon blanche de bonne qualité, un dresseur et tu seras bien équipé.

cocoM

L'inconvénient des lurems c'est que le fabricant n'existe plus, et du coup les pièces détachées se font rares.
A part ça, elles seront plus efficaces qu'une évolution, plus réparables malgré la difficulté à trouver les pièces, et plus stables.
La TS 31 STI c'est une très bonne machine, si tu la trouve à 500€ avec tous les guides de toupie et les protections n'hésite pas trop. Par contre faut prévoir la manutention, c'est 600kg la bête.

cocoM

Pas facile de se prononcer sur des photos... mais :
-la coupe est noircie en entrée, soit c'est un problème d'utilisateur soit ta lame est en petite forme (et ça joue sur l'équerrage), soit il y a un problème de paralellisme entre lame et rail. Est-ce une lame à tronçonner ou à déligner ? Une lame à déligner ne va pas apprécier ces coupes d'onglets.
-un guide, peu importe son prix et sa qualité supposée doit être étalonné avant d'être fiable.