Plein de schémas possibles pour un caisson isolé.
Mais pour un lit de dimensions modestes, il me semble assez facile de faire deux boîtes, l’une dans l’autre.
Le principe masse ressort masse peut alors être simplifié en suspendant la boîte intérieure au plafond de la boîte extérieure. La transmission solide des vibrations est alors quasiment supprimée.
Les deux boîtes sont séparées par une couche d’air. Pour y supprimer la transmission des vibrations par voie aérienne on y insère un isolant acoustique léger (laine, ouate). J’ai même vu des projets avec des boites d’œufs en carton.
Un essai à petite échelle est possible pour y mesurer l’atténuation avec un sonomètre.
Les passages d’air sont des labyrinthes dont les parois sont molles pour briser la propagation des vibrations par réflexion sur les parois.
Deux problèmes épineux à résoudre : maintenir une trappe/porte d’accès facile et insonorisée. Maintenir un air sec pour maîtriser l’humidité naturelle de la respiration donc ventiler mécaniquement.
Je ne comprends pas le rôle du Steico floor si tu ne souhaites pas d’isolation thermique. Phonique peut-être ?
Sinon, je rejoins l’avis précédent : pour moi, les grincements sont plus facilement supprimés par collage que par clouage. D’autant que certaines lames ont des rainures ou languettes abîmées.
Je dirais donc ragréage pour atteindre les exigences de planéité puis collage direct après tri des lames pour éliminer les fortement déformées.
Plus d’infos ici.
En hauteur c’est moderne et confortable. Un lave-linge c’est 75 kg mini, un sèche linge a un poids comparable à un four.
Ceci dit, les surélever de quelques centimètres n’a aucun intérêt en termes d’ergonomie.
Sinon, lave-linge et sèche-linge peuvent se monter en colonne pour un gain de place important et là aussi une hauteur confortable de travail pour le sèche-linge.
La solution la plus économique ? c'est de continuer à lancer à la main et d'arrêter de perdre du temps à chercher des réponses.
Tu demandes un avis technique, tu l’as. Mais si tu choisis d’ignorer une réponse logique parce qu’‘internet dit tout et son contraire’, alors effectivement : il ne te reste plus que la chance.
C’est pas un fer plat qui pourrait résister aux forces du bois. Donc ça va bouger, c’est sûr.
Avec ce bois, très probablement non sec (et qui ne descendra jamais à un taux de grande stabilité qu’on ne peut atteindre qu’avec un séchoir), il faut être patient : le fixer sommairement sur l’arrière près du mur, le laisser évoluer. Dans de nombreux mois, s’il est resté à peu près plat, on fixe sur l’avant et on jointoie au mur. S’il a trop bougé ou fendu, faudra scier en long et recoller, voire l’aplatir à nouveau.
Joint acrylique ou silicone sur mur pierre, ce serait dommage. Privilégier plâtre ou chaux, après avoir fait un fond de joint en filasse (celle des plombiers par exemple). Le plâtre peut être coloré par pigments, il est dur et va fissurer mais restera naturel.
Protection par huile cire incolore (OSMO top oil ou hardwax) en deux passes fines.
Ce n’est pas possible d’éliminer l’électricité statique d’un tube PVC. Le PVC est non conducteur, les charges électriques restent donc en surface, à l’intérieur du tube, là où elles sont créées par le frottement des copeaux secs.
C’est pour cette raison qu’il est déconseillé en atelier professionnel d’utiliser ce matériau pour l’aspiration. Les gaines PU ont un fil de cuivre interne spiralé qui peut être mis à la terre.
Donc, soit tu persistes en PVC, soit tu cherches sur le bon coin du tube métallique.
Sinon, une mise à la terre est simple : tu relies au chassis métallique de ta machine si celle-ci est stationnaire ET reliée elle-même à la terre (fiche 3 broches en monophasé soit 2P+T).


La remorque si non amortie c’est pas terrible pour les grosses machines. Préférer un fourgon. Le pb de la pluie sera réglé aussi.