Sous ton plateau évidemment.
Vu le débordement que tu lui as laissé, je suis d’accord pour dire que cela se verra peu.
Ok, c’est pas une raison pour les ignorer.
Perso, j’ai arrêté de travailler le pin pour du mobilier depuis très longtemps. Il marque, il bouge beaucoup, il prend mal certaines finitions, il a parfois des poches de résine, les usinages ne sont pas nets.
Si tu sais te donner la peine de renforcer sa dureté, tu saurais te donner la peine de trouver un bout de plateau en hêtre.
Mais ce n’est que mon avis. Si ça te plaît comme ça, et bien… ça te plaît.
Joyeux Noël !
L’olivier tient bien (j’ai des couverts de service qui ont déjà quelques années).
Le hêtre tient bien aussi.
Une exigence : pas de collage, pas de zones trop fragiles (poignées creusées, etc.)
Finition on oublie sauf de l’huile alimentaire mais elle partira en 2-3 lavages.
Mon conseil serait de lui faire une petite série pour qu’il essaie en conditions réelles. (Ce serait bien qu’il évite les températures de lave-vaisselle « hygiène plus » à 85°C…)
Un exemple parmi d’autres :
fr.aliexpress....ayAdapt=glo2fra
Alimentation et bois, si ça peut éclairer :
fnbois.com/pal...sées au contact
C’est très chouette.
Mais oui, ces paumelles étroites sont plutôt destinées à être fixées sur le chant de la porte, cachées.
Lorsqu’elles sont en façade, elles sont usuellement bien plus larges et jouent un rôle esthétique en plus de reprendre le poids du vantail.
Donc, y avait-il une contrainte qui conduit à ce choix ?
En complément de la réponse de Clément :
- Bien tenir compte des dimensions maximales des tables et chariots mobiles des machines.
Par exemple, un chariot de site à format de 2 m a besoin de plus de 4m pour évoluer entièrement. - Tu dois sûrement avoir des possibilités de déplacer tes machines au besoin (moi, j'ai mon rabot/dégau sur roulettes. Il est rangé contre un mur et tiré au centre lorsque j'en ai besoin).
Ton projet ne me parait pas optimal avec toutes les machines alignées au centre de l'espace qui constituent une séparation entre les deux volumes.
Quelle est l'hygrométrie de cet espace ? Car si c'est humide, autant stocker le bois dehors et regagner ce volume. As-tu un rack à bois ? Est-ce du massif ou bien des panneaux ?
Si possible je réduirais son empreinte au sol pour qu'il tienne sur le mur du haut, à gauche de la porte de garage.
Puis, j'essaierai de mettre dans la zone du bois stocké, contre le mur de gauche : aspirateur, défonceuse et Rabo/dégau (celle-ci idéalement sur roulettes pour venir vers le centre pour travailler).
La scie à format en bas à gauche, parallèle au mur de gauche.
L'établi, lui aussi sur roulettes, vient au centre pour travailler et est repoussé vers le mur de gauche à la fin.
L'objectif est de conserver un espace central unifié permettant de se déplacer de machine en machine, et susceptible d'accueillir si besoin les projets en cours de collage/montage/montage/vernissage. Cet espace central sera susceptible d'empiéter temporairement sur la zone voiture avec moins de gêne.
C'est sobre, élégant et très chouette, surtout avec les portes initiales. Bravo !
Sans doute un peu dommage d'avoir "planqué" le merisier en structure, vu son coût actuel. Si les quantités étaient suffisantes, j'aurais utilisé le hêtre pour le châssis et garder le merisier pour davantage de parties visibles.
Quand ça flambe, ne pas s'emballer tout de suite : laisser sécher les deux faces des portes avant de constater les défauts, quitte à déposer les portes pour les retourner régulièrement. Ensuite, probablement qu'un raidisseur transversal peut ramener beaucoup de la planéité souhaitée.
Je trouve que les touches de bois au sein du méla blanc ajoutent une vraie élégance tout en sobriété. J’aime beaucoup.
Question accessoire : pourquoi le mur de la niche à gauche n’est-il pas intégralement plaqué au dessus des prises électriques ? Contrainte technique ou choix du client ?






Même en obtenant un durcissement superficiel du pin, celui-ci travaillera énormément, beaucoup plus que le corps du meuble.
On verra rapidement des fissures et craquelures apparaître dans la peinture de « relooking » au niveau des jonctions corps-plateau.
Dommage.