Ça devrait être pratique pour les charpentiers, ils pourraient escalader les facades 
.
Le bois est rejeté vers l'arrière ?
Impressionnant !
Je n'ai pas de preuve technique ou scientifique, mais il me semble que :
1e - le trou étant plus large que la fente donne de la souplesse au bois restant sur le côté
2e - le perçage crée une coupe des fibres, un bois de bout en somme, et que cela évite que des fibres que l'on écarte poursuivent leur mouvement dans le prolongement de la fente.
Utile si le manche a suffisamment rétréci au séchage pour laisser une espace entre le bois et le métal. (Façon ceinture et bretelles peut-être).
C'est pour moi un truc intuitif...
Pour ce qui est de l'article, je n'oserais pas mettre ma main au feu pour dire que ce n’est pas une IA, j'en ai trop besoin. Ce qui peut te faire penser à ça, c'est le «plan à tiroirs» utilisé pour exposer les informations et qui conduit à des répétitions. Certainement qu’un historien spécialiste aurait présenté les choses avec une problématique et des explications plus fines.
Il est probable que cet article soit une compilation d'infos tirées d'autres ouvrages et non une recherche académique.
Quelque chose comme ça peut-être :
Bonsoir etiennedesthuilliers , comme je ne connaissais pas l'expression «cela fera la rue Michel», j'ai cherché. Et entre autres, j'ai trouvé qu'en anglais, cela se dit «we're even-Steven» et traduit en français, cela donne «nous sommes quittes Étienne». J'ai trouvé cela amusant.
Bonne soirée, ça ira bien comme ça...
Oui, ça ressemble à une lame montée à l'envers.
«Lames PEGAS SKIP REVERSE
Les lames PEGAS SKIP REVERSE ont la même géométrie de base que les lames SKIP, sauf que quelques dents inversées ont été ajoutées en bas de la lame. Les dents inversées empêchent les éclats de se développer sur la face inférieure de la pièce à travailler, car les dents supérieures ne coupent pas entièrement à travers la pièce. Tous les paramètres de fonctionnement sont les mêmes que pour les autres lames.»
outils-profess...geblaetter.html
Il semble donc bien qu'il y ait un sens de montage. De plus, selon la scie il se peut que la partie basse de la lame qui sort au dessus de la table soit trop longue et ne se limite pas à une petite zone qui sert à ne coupe que le bas de la pièces pour éviter les éclats.
Le but n’est pas de couper dans les deux sens toute la hauteur de la pièce.
-si nous parlons bien des mêmes lames-.
A voir...
Normalement il faut un jeu de diverses épaisseurs en millimètres ex : outillage2000....de-bagues-al-30
et un autre en 10e de millimètre peut être bien utile. (0.1 à 0.9mm)
A moins de ne vernir que le côté pyrogravé, qui ne servirait pas aux découpes ?
Oui, il faut être raisonnable en hauteur de passe.
Sur ma C26 (1500w / 2cv) je passe du chêne en 250mm sans problème en restant autour d'1 mm, (parfois, rarement 2mm). Mais pas pour des journées de travail continu. C'est un usage amateur.
Ce qui joue également, c'est que la vitesse d'avance est certainement moins rapide.
Il faut être plus patient qu'en usage pro, mais je ne me suis jamais senti limité.
Merci à vous pour ce commentaire.
Le mérite revient surtout aux équipes du musée d'avoir pensé à exposer un ouvrage de cette façon, cela permet d'avoir un regard sur la technicité des ouvriers de la fin du Moyen-Age. C'est un autre regard sur cette époque.
Oui, il serait intéressant de faire la liste des techniques et des méthodes utilisées dans cet ouvrage.
La conception et le dessin me semblent déjà très complexes, la réalisation ensuite avec un outillage sans doute très simple laissent rêveur...
Oui, sur l'agrandissement on voit bien les chevilles, mais aussi par le manque dans le motif de feuille à droite, que le motif est rapporté sur une panneau plat.
J'imagine que le panneau dans lequel est fait le motif était «chantourné» puis sculpté ?
C'est intrigant ! Quelles est l'astuce?
Bonjour, je travaille du chêne sans problème. D'autre part, il faudrait voir quelles sont les projets que vos avez. S'il s'agit d'une utilisation professionnelle ce sera un peu juste. Pour une utilisation amateur, cela va très bien.
Vous pouvez faire une recherche dans la section «questions» ( lairdubois.fr/...=genius minimax )
et poser une question à cet endroit pour avoir plus de visibilité et des avis plus nombreux et variés.
Un petit retour d'expérience qui vaut ce qu'il vaut : lorsque j'ai fait ma cuisine en chêne massif, le choix d'un plan de travail en bois ne me plaisait pas pour ces questions de fragilité.
Alors j'ai fait le choix de dire que ce que j'économisais par mon travail, je pouvais le mettre (ou une partie...) dans un plan de travail en pierre.
C’est sûr que ce n'est pas donné, mais 20 ans après il est resté impeccable. On n'est pas obligé de prendre du granit nettement plus cher ; nous avions choisi la pierre de cenia sur les conseils du marbrier.
Je ne veux pas dire que c'est LA solution, mais c'en est une. Ensuite chacun fait ses choix en fonction de ses goûts, de ses moyens, etc. Depuis les modes, les goûts et les coûts ont évolué, je ne sais pas si la solution est restée abordable, mais cela peut être une piste de réflexion.
La crainte, ça laisse le temps de réfléchir, de vérifier ce qu'on va faire et de reprendre confiance.
A ce sujet, il y a des précisions là : content.preven...NDQwOC42MC4wLjA.