
Bien cher BubuB,
MERCI d’avoir mis ce lien « il y a 4 jours » ; ça m’a permis de mettre mon groin dans le bouzin pour poursuivre votre geste et même lire les commentaires de dneis et Atelier Eustache pour les contredire de la façon la plus malhonnête et éhontée.
Ainsi donc. pÔ-pÔ-pÔ … Bien cher Denis…
Que nous chantiez-vous là …?
Et puis décembre 1949 ? C’est (maintenant) à la portée de tous !
Bon allez, je vous l’accorde : « Addeddate : 2024-10-02 11:35:13 ».
Et puisqu’il s’agit de la deuxième partie, la première est en octobre. Je ne sais s’il se trouve une troisième partie (pas cherché), voire plus.
C’est chouette le wouaibe quand ça évolue de cette façon !
;-)

Bonjour à tous,
Quand je dis « malhonnête et éhontée » il faut entendre chez moi une perversité complète, totale, globale, holistique, celle du pire sale type, absolument détestable et qui, encore, s’assume en bavant de méchanceté ; répugnante.
En d’autres termes, je savais parfaitement qu’aussi bon que vous êtes dans ces matières de recherches, vous feriez ce boulot-là dès que vous auriez cinq minutes, là où, chose finalement moins rare qu’on pourrait le croire, la flemme la plus crasse m’étreignait à sa perspective… Économisez-vous encore de me traiter de chien ; ça pourrait me faire plaisir. Je suis une infâme ordure et perverse dont l’humanité se gratifiera de la déchéance.
MAIS.
Comme tous les faux-culs, j’adÔÔÔÔre me faire pardonner (en utilisant vos faiblesses, c’est plus jouissif).
Adonque voooooaaaalaaaaaaa :
- No 1. — Introduction (prix : 10 fr). lien
- No 2. — Les cintres en bois pour ouvrages d'art, par M. Dunoux (prix : 180 fr). lien
- No 3. — Les cintres en bois pour ouvrages d’art (annexe), par MM. Dunoux et VALLETTE (prix : 160 fr). lien
- No 6. — Travail des bois, par M. Lotte (prix : 120 fr). lien
- No 14. — Le trait de charpente (Troisième partie, l’escalier I), par M. J. Jarousseau. lien
- No 15. — G. VRAIN, Stabilité des constructions appliquée aux bois. Deuxième partie : Calcul des systèmes constructifs en général lien
- No 16. — Le trait de charpente (Troisième partie, l'escalier II), par M. J. Jarousseau lien
- No 17 — Trente plans-types de charpente en bois. F.X. Brochard. lien
Je crois avoir tout épluché pour la série « Manuel de la charpente en bois ». Mais je serais ravi d’être contredit ! Au passage, le titre du numéro 13, ça n’est pas « Stabilite » mais « Statique ».
Voili-voilou… On fait une fiche pour tout ce merdier ?
[Ajout de ce jour d'hui à 22 heures et des brouettes]
Petit récapitulatif en PDF (vite fait, améliorable).
[/ Ajout de ce jour d'hui à 22 heures et des brouettes]

Bien prendre en compte que ça va (au moins) jusqu'à 17.
Cf mon [Ajout de ce jour d'hui à 22 heures et des brouettes] mis à jour à l'instant.
Bien à Toi !
:-)

Je dirai même plus...
Dixit le catalogue général : « À partir de 1948, regroupe vingt séries dans une numérotation continue. Par ailleurs, chaque série paraît séparément »
Et plus particulièrement : ISSN 3077-2990.
Où l'on apprend dans ce dernier que le document EST numérisé à la BN mais visible seulement sur place ; pas sur Gallica. Le genre de truc qui ne m'énerve PAS-DU-TOUT ! Vive Internet Archive !

Très juste, je me suis fait la même réflexion. Mais cela va même plus loin.
En fait, avant d’aller vérifier dans Internet Archive, j’ai évidemment eu le réflexe d’aller fouiner dans les entrailles-mêmes du site de votre mise à jour (leblancf.com), restées avantageusement ouvertes au surf clicatoire. C’est une mine à exploiter, et je ne vous dis même pas que j’en connais un ou deux (suivez mon regard…) qui s’y seront déjà amusé, au moins autant que mÔÂ.
Plus encore : une fois dénichée les numéros disponibles sur Internet Archive, à faire notre petit inventaire avec dneis, on trouve certes une pléthore d’articles relatifs à autre chose que le bois (je suis personnellement assez peu passionné du béton contraint…), mais aussi certains articles qui ne font PAS partie de la série que nous avons reconstituée, mais qui traitent du bois, souvent pour être écrits par les mêmes plumes. On peut donc projeter non pas un inventaire comme nous venons de le faire ; mais trois.
Et tout cela … grâce à vous !
Bededicamus te Ô Filio !
;-)

Bon, je vais faire un document pdf qui rassemble tous les fascicules, avec des bookmarks qui vont bien.
J’EN-ÉTAIS-SÛR !!! J’ai pensé le faire, et je me suis arrêté direct (après avoir téléchargé les grandes définitions par sécurité) en me disant : « Le Denis sera bien plus efficace que moi sur ce coup-là »…
On gagne toujours à assumer sa perversité.

Bonjour à tous,
dneis, avant la moindre sodomie de diptères exaspérante dont tu sais bien que je me repais (et que je t’enverrai en privé).
Ce que tu viens de faire est juste génial. MER-CI !!! Pas certain que j’aurai eu le courage de me taper tout l’index. Du reste avec quel outil l’as-tu mis en place ? La version noir et blanc pour impression est évidemment appétissante, aussi parce que 48 Mo sont quand même franchement grassouillets. Il reste qu’elle oblige sans doute à refaire l’OCR d’Internet Archive, pourtant très bien fait. Mais je dois dire que tu en sais beaucoup plus que moi pour ce genre de manipulation (je déteste toujours autant formellement le format PDF)…
Dans tous les cas, même si le catalogue général possède bien une entrée spécifique pour le Manuel de la charpente en bois, même s’il est, encore, spécifié la mention « Par ailleurs, chaque série paraît séparément », je n’en ai pas vu la moindre trace, par exemple chez un bouquiniste quelconque. Si ces textes sont très normalement cités en référence dans de nombreux autres, ça n’est jamais, au moins à ma connaissance, en tant que compilation d’un même corpus. Cette édition séparée, même annoncée, a-t-elle donc réellement eu lieu ? Il est permis d’en douter et, donc en conséquence, de supputer (très fortement, et à moins de démontrer le contraire) que ce que tu viens de faire est une première…
Se trouve-t-il en ce lieu quelqu’un qui ne dise pas bravo ?
:-)

dneis Arghhhhhhh !!!! Il a posé la question !!! Nonmaisçavapaslatête ???
É-VI-DEM-MENT que tu le peux !!! La source ODT est même ici si tu juges des changements, améliorations ou corrections nécessaires. La licence que j’utilise maintenant pour TOUTES mes productions, par exemple, ici ou là sur WikiMedia, est la licence WTFPL. Pour moi, c’est du dernier chic, parfaitement raccord avec mon brushing et la couleur de mes cils (oui, je sais, parce que je le vaux bien). Donc, je mets ça partout là où je le peux, c’est-à-dire là où aucun tiers n’est intervenu. Dans certains cas, je rajoute même dans la source la mention « Sauf mention explicite, tout est libre de droit : servez-vous et soyez heureux. ».
Enjoy !

Bonjour à tous,
Pour le lien donné ci-dessus, il est possible d’obtenir une traduction automatique en français qui permet de moins tatonner du clic. C’est évidemment loin d’être parfait, mais c’est quand même mieux que rien... On accède, entre autres, à la présentation du musée, qui n’est peut-être pas transcendante, mais qui a, au moins, le mérite d’exister.
Cordialement,
:-)

Bonjour à tous.
Aussi produite par une prétendue « I » que l’on définit « A », cette image reste, selon moi et toutefois, à conserver pieusement.
Ça illustre comme rarement la vulgarité et le faux d’une époque qui, dans l’excès, laissera juste du toc et de la surface.
Dommage.

D'ailleurs on me dit dans l'oreillette que c'est le menuisier personnel du président américain.
Z'avez le sens et la perception du (bon ? ) goût vous !

Ben non, justement, l’ « hétéroclite », chez les bourges (les vrais) fut-ce comme marque sociale, ça table quand même (Dieu merci) un poil plus haut. Là on est dans un vomi de crème et de volutes qu’un pâtissier un tant soit peu honnête jugerait excessif. Bref, ça dégouline et c’est horriblement plouc. Les nœuds du dosseret autant que de la traverse laissent aussi penser que le bois est résineux. P’tain, pour une diarrhée du genre, s’kusez, c’est cheap !!! Enfin bon, on sait pas trop ; un peu comme cette « planche à clous » qu’un « ébéniste » rencontré chez un ami dans les années quatre-vingt du siècle dernier utilisait pour faire de faux trous de vers … dans du chêne débité sur quartier. Ça sonnait déjà faux pour « faire ancien ».
Ici, ça ne serait pas ― évidemment ― de l’IA, ça fait aussi un peu penser au résultat de ces CNC qui font de la sculpture « baroque ». Passé l’effet « Whooooouuuuuaaaaaa », c’est tellement « parfait » que c’en est effroyablement chiant. Même les XIXe, pourtant tout aussi « industrieux » faisaient plus émouvant ! Bref, ça n’a rien à voir avec de l’Art que, pourtant, cela prétend. Bref, vous pouvez toujours faire jouer du Bach ou du Mozart à un ordinateur, c’est très (très-très) loin de cette infime imperfection humaine qui fait toute la différence ; celle-là même que l’on appelle Vie.
Et ça, les bourges (qui, Eux, n’ont pas l’intention de crever), ils le savent bien depuis toujours…
Prenons donc garde de ne pas « mourir » sous les (prétendus) charmes du faux.

Doux Jésus ! Voilà enfin une vraie finalité de l’Hiiiiii-Aaaaaah.
Aussi bien, l’essayer, c’est l’adopter ; je vous en prie : à vous l’Honneur !

Moralité : quand on commence à se poser la question si I qu’est A, même les Suédois y smellent du fake.
C’est dire comme ça pue.

D’ailleurs, puisqu’il nous a été, plus haut, donné la clé instagrammatique, ne nous privons pas d’admirer l’autre kéta-miné au regard de grand malade jouer les « artistes » puisqu’il paraît que la tenue fait le moine. Dans ces périodes où l’Humain devient superfétatoire, la pulsion totalitaire fait toujours montre de sa propre autodestruction.
En beaucoup (beaucoup-beaucoup) plus poétique (donc avec plus de force), les choses ont été déjà dites depuis des décennies.

Bonjour à tous. Je plussoie...
Et pour ceusses qui voudraient télécharger les MP3 pour l'écouter ailleurs (sachant que ces zozos de France-Cul. nous cachent des choses...) :
- Épisode 1/5 : Du bois aux mots
- Épisode 2/5 : Un ethnologue au ministère de la Culture
- Épisode 3/5 : L’Europe du bois
- Épisode 4/5 : L’art français du trait de charpente
- Épisode 5/5 : Restaurer Notre-Dame de Paris
Merci !
:-)

Yaisse ! Je n’aurais pas eu cette idée-là dans la catégorie « Fournisseurs ». Et je ne m’étais pas, non plus, demandé s’ils avaient un site wouaf-wouaf-wouaf (pô bien ça). MER-CI ! Est-ce problématique si, dans le champ Vidéo, on remet celle ci-dessus ? J’entends bien que ça fait un peu doublon mais en même temps (rhhhaaaahhh, je déteste dire « en même temps »), comme ne le disait pas mon arrière grand-mère : « qui tombe sur la fiche ne tombe pas sur la trouvaille ».
Donc je prends cette initiative ; et supprimez-la sans le moindre souci si vous trouvez cela inapproprié ou par trop doublonneuse.

Bonjour à tous,
L’article du moment étant consacré aux Planche et explications de Mathurin Jousse, je me joins au chœur des anges laudateurs (et pour cause, au pesé de la qualité pédagogique de ce pas-à-pas), non sans souligner que la fiche de l’ouvrage du prénommé Mathurin est maintenant disponible dans le catalogue de livres de L’Air du bois, elle-même menant, évidemment, sur la version numérique disponible en ligne sur l’inégalée Gallica. On accède à la page 167 (et aux suivantes) directement par ici, ce qui peut s’avérer plus aisé ― et complet ― que de simples photos de passages de texte.
Mais, dans tous les cas, un seul mot s’impose ; et c’est BRAVO !

Bonjour à tous,
Peut-être avons-nous tort de regretter de voir ces gens oser tant de choses puisqu’aussi bien c’est à cela qu’on les reconnaît…

Bravo, évidemment à Steve, mais aussi à vous tous experts de ces choses qui sont pour moi en voie d’acquisition … pratique.
kaj
Il s’agit donc, autant chez l’éditeur Vial, que dans l’édition originale, de la Planche 146. Ce qui est intéressant, c’est peut-être aussi de retourner au texte. Donc, comme dans l’édition originale, toute Planche numérotée au-dessus de 100 est dans le second tome, il nous faut aller à la page 226 de celui-ci pour pouvoir lire les « Explication des figures contenues dans les planches 145, 146 et 147 ».

Je ne connaissais pas et je remercie mille fois Ara pour cette trouvaille qui m’amuse. Il est effectivement très admiré au XIXe et tombe franchement dans l’oubli après. Mais il possède une page Wikipédia.
C’est vrai qu’il est un poil barré le maestro ; mais ça le rend très sympathique, un peu comme les digressions philosophiques qui émaillent, par exemple et entre autres, le texte de Léon Jamin.
J’adore quand il veut retrouver son pognon à coup de littérature bien casses burnes mais non dénuée de franche rigolade ; il a énormément d’humour et d’autodérision. Avec une connaissance des fondamentaux de son époque qui force quand même l’admiration au pesé des origines de sa condition.
Par contre, rien ne m’énerve plus que France-Cul. qui, publiant cette image, la source par la mention : « Gravure représentant un artisan menuisier dans le supplément du "Nouveau Dictionnaire d'Arts et de Sciences universel" de John Barrow, Londres, 1754 ©Getty - SSPL/Getty Images ».
Écrire « A supplement to the New and universal dictionary of arts and sciences » leur écorcherait la « ture ». Et comme la chose fait un peu plus de huit cents pages émaillées de Planches multiples et variées (ça reste un dictionnaire), trouver la bonne n’est pas aisé, puisqu’on a aucune idée du mot auquel elle fait référence. Mais j’ai quelques pratiques ; vengeresses… Donc c’est à la page 779 et, évidemment, au mot « Turning ». Et là, on découvre deux types de tours, l’un à volant d’inertie et l’autre à arc. Surtout, on voit une illustration de tournage de balustre, ce qui est rare. Donc, pour les amateurs de grande définitions (dont je suis…), c’est, un peu amélioré par mes soins, par ici. Je dis ça, je dis rien. Mais parti de la version d’Internet Archive, il se trouve assez peu de chances que je facture ici 475 dollars un produit du DOMAINE PUBLIC et à la définition supérieure.
Si les poètes-ouvriers des Trois Glorieuses et de la Monarchie de Juillet prenait le Virgile au rabot comme un de leurs précurseurs, il semble d’actualité de devoir continuer la lutte…
¡Y viva la Revolución!
8-)

mofran Peut-être alors gagnerez-vous à vous nourrir des deux, vous qui, comme nous, vivez dans un siècle où la conscience de l’Histoire peut être nourricière. Sans oublier, bien sûr, de s’assurer toujours à avoir bien conscience que les « manques » d’une époque ne le sont pas au moment où elle se vit. L’historienne fait un travail de synthèse ; c’est son boulot. Mais elle est là, aussi, pour nous inviter à retourner au texte princeps, à fortiori parce que la modernité (Gallica, l’Internet, &c.) nous en donne l’accès d’un clic de souris. Ce n’est pas le tout d’évoquer l’incroyable bain culturel qui leur permettait, par exemple, de faire autant de « références mythologiques », il nous faut aussi, auditeurs de France-Cul. que nous sommes, faire cet effort d’accéder à ce qui pétrissait leur quotidien pour en percevoir le sens. Ceci, aussi pour pouvoir critiquer l’interviewer de cette émission qui, à 42:57, dit quand même une énormité : « On sait bien que la littérature ouvrière se développe avec l’industrialisation, c’est le XIXe siècle […] ». Manifestement ce garçon ne fréquente pas les meilleurs salons du XXIe ; mais il devrait, ça lui permettrait de s’économiser les raccourcis et les clichés.
Ce que je veux dire (surtout), c’est que la « synthèse-du-résumé-synthétique-et-condensé », ça finit par devenir sérieusement riquiqui… Ce serait dommage, tout de même, qu’on juge notre époque dans les siècles à venir finalement très pauvre pour n’avoir fait d’autres efforts que la synthèse alors qu’il est acquis que notre temps possède, en potentialité et techniquement, infiniment plus de moyens…

Bonjour à tous,
Je n’aime pas les citations qui ne sont pas sourcées ; aussi ai-je fait une recherche. Et, à défaut de FaceMachin, je suis tombé sur la vraie source de ce panneau remarquable : le site du Chant du signe. Pas mon genre, je crois, de signaler plus avant un site marchand. Mais on est là dans une mesure objectivement raisonnable. Ce panneau se trouve évidemment dans la catégorie « Panonceaux techniques » et on a envie de donner des idées à ce monsieur qui se présente en tête de site en ne donnant qu’un tout petit indice pour savoir que c’est lui.
J’aime bien le wouaibe et sa provocation à la recherche…


À défaut, servez-vous du traducteur automatique de « GlouGlou »…


Bonjour à tous,
Petit rappel : le post en question, c’est par ici ; et le livre est bien présenté ici.
Il n’y a pas d’équivalent, au monde, de notre culture française (plus que simplement francophone) du témoignage. Ça n’est pas pour se palucher que j’écris ça : je me fous comme d’une guigne de ce cocorico-là au même titre que tous les autres, à fortiori dans les temps qui sont les nôtres ; mais c’est juste factuel. Christophe Schwarz (qui, je ne sais plus où, écrit qu’il lit mal notre langue), a une admiration sans borne pour nos traités historiques ; il n'est pas le seul et c’est parfaitement justifié.
Ça commence à la Renaissance avec des gens comme Philibert Delorme (entre autres tant ils sont nombreux). Au XVIIe, on a des gens comme André Félibien, qui est un des premiers à faire la description plus précise d’outils, notamment de menuiserie. Évidemment les Lumières nous éclairent de deux projets éditoriaux sans égal au monde : la Description des Art et Métiers, et L’Encyclopédie ; Roubo faisant partie de la première, sans doute la plus conséquente bien que, quand même, pas la seule. Au XIXe, on peut citer les manuels Roret pour le général mais aussi les Jamin et autres publications périodiques pour le plus particulier de menuiserie. Il faudra attendre le XXe pour que les anglophones nous rattrapent sur cette foison. Mais ils ne pourront jamais le faire avec notre « charge historique » dont l’éditeur Vial est un des plus dignes représentants. Et encore, au XXIe, la qualité de nos scans (typiquement Gallica) est très loin devant tous les Google Books de la création !
Bref, c’est pÔ pour dire, mais oui, c’est un fait : on reste quand même très bon dans l’exercice.

Bonsoir à tous,
Okay, c’est un chouïa tape à l’œil. Mais c’est quand même étonnant à fortiori parce que l’on sait bien qu’on en est qu’au début.…
donc, à partir de ceci, et avec le « prompt » : « two men with a saw and two big logs and a wood press »,
on obtient…

Merci trente six seb !
J’entends bien ton interpellation @robasique et profite d’icelle pour signaler ici que pour ce qui regarde le « nettoyage » des Planches :
- La Première partie (1769), Planches 1 à 50 est terminée.
- La Seconde section de la Troisième partie (1772), Planches 222 à 276 est terminée.
- La Troisième section de la Troisième partie (1774), Planches 277 à 337 est terminée.
J’entends encore bien que tout ceci ne relève pas de la PGV (Publication à Grange Vitesse). Mais il se trouve que je possède une scie circulaire qui a de fortes velléités d’appétence, et que cette garce m’a fait un bisou très osé
sur le pouce gauche au printemps de l’année dernière, je veux dire dépassant fortement la décence convenue entre personnes de qualité. Comme le dit mon voisin forestier (qui, plus que moi, a le sens du réel), pendant quelques années, ça fait « tchouk-tchouk ». Et je dois reconnaître que ce « tchouk-tchouk » est assez incompatible avec la concentration qu’exige l’usage du logiciel Gimp…
Passé ces considérations très personnelles et pour revenir tant au désir de Simoncambodge qu’aux gentillesses de mokozore, c’est là que je me dis que j’ai probablement eu une bonne idée (très inspirée par un autre traité de la même époque et fonctionnant sur un principe très hypertextuel) de faire cette Table des Planches dont je rappelle que l’on peut en télécharger le résumé en PDF. Au contraire du moine facteur d’orgues, on fait ici, depuis le numéro des Planches, référence au numéro de pages et non aux numéros d’« articles » ; le détail de tout cela est expliqué ici.
Je rappelle aussi ici que, pour les Planches nettoyées, il peut être plus aisé de consulter directement la « planche contact » (!) de Wikimedia Commons.
Petit rappel historique enfin : Roubo est né en 1739, soit sous Louis XV, et meurt en 1791, en pleine Révolution, deux ans avant que la frimousse de Louis-Capet-le-seizième subisse un sort plus travaillé en sculpture que celui de mon pouce gauche. André-Jacob a trente ans quand paraît la première partie de l’ouvrage. Amusant, je crois, de noter que la parution de la Troisième section de la Troisième partie, intitulée « L’Art du Menuisier-Ébéniste » se fait en 1774, soit l’année-même de l’intronisation de Louis XVI (le 10 mai). Évidemment le style de mobilier ne change pas du jour au lendemain ; mais, même si elles sont plus lentes que nos « modes » on doit quand même avoir en tête ces évolutions, d’autant que l’auteur n’a de cesse, à longueur de texte (surtout dans les notes de bas de page), de s’en plaindre et de les juger … à chier …

Même historiques et passionnants, il est, je crois, des pastiches de westerns ferroviaires dont on peut se passer. Pour ce qui est de ma tâche, elle n’a rien d’herculéenne ; elle est juste comme je les aime : de celles qui font papoter ceux qui attendent que tu te plantes, juste parce que ton désir poussait au-delà du leur.
À part ces détaux (un détail, des détaux), VOI-LÀ ; tu as exactement compris le problème de ce pÔvre A. J. Je partage avec lui ce côté has-been qui ne plaît que dans les saloons où l’on s’encanaille (typiquement, le Plateau de Millevaches). Pour le vioque numéroté quatorze (à tendances pas toujours cool), je crois avoir déjà noté quelque part en ce lieu que oui, Rourou pleurait sa mère d’avoir investi dans un style dont plus personne n’avait alors rien à f××××e. Allez, encore un rappel de ma part (une manie, j’vous jure) : c’est en note de bas de page de la 982 ; et comme quand on aime, on ne compte pas, ça se poursuit sur la suivante.
P.S. : question au webmestre Boris Beaulant : c’est-y-pas-possib’ de pousser à droite le machin intitulé « Navigation » pour qu’il prenne moins de place (prend vraiment ses aises ct’animal). Ça n’est pas que je désire toujours péter dans la soie par conformité de désirs hystériques ou historisants, notoirement dix-huitiémiste ; juste qu’à cinquante-deux kilogrammes tout mouillé, je sens bien que ma prose, quand elle s’indente avec l’ami trente six seb, se fait comme l’écho de ma personne dont le genre peut, pour certains, être jugé mauvais. Ma mise en plis en souffre beaucoup en conséquence d’autant que, mon homonyme m’ayant déjà fait remarquer que je devrais aller chez le coiffeur, cela n’en fait qu’accroître le froissement.
st3f
Merci, aussi, pour le partage. Donner la fiche-référence du bouquin sur L’air du Bois, c’est bien ; mais on peut, sans doute, aller plus loin.
C’est donc bien de la Planche XX relative au deuxième tome de l’ouvrage en question qu’il s’agit. Sans oublier le paragraphe intitulé « Étoile dans un Tétraèdre » qui cause de koikonvoit dans la youtubesque étrange lucarne.
Et là, c’est déjà beaucoup plus clair. Évidemment, avoir une idée du propos qui précède un peu avant (avec les Planches qui vont bien) ne gâche rien ; pour moi qui ne connais le tournage que de façon extrêmement superficielle (dans l’orgue, il ne se trouve quasiment que les pommeaux de tirants de registres en console qui soient tournés), c’est même indispensable. Parce que j’ai encore un peu de peine à croire que l’on puisse montrer (pas même décrire) une opération aussi complexe en moins de cinq minutes chrono, c’est toutefois une excellente illustration de ce qui, en ce lieu, provoque, plus haut, les réactions d’Ara et de Nicoel.
Ara
C’est le moins que l’on puisse dire ; et ce n’est pas tout. Il est aussi proposé de télécharger des guides en PDF ; et le lien est mort. Autant que le moindre PDF sur le site d’origine. Bref on reste sur une faim, de loup, qui n’a d’autres mérites que de nous faire retourner, fissa … à lire le Manuel !
Nicoel
Et c’est tout le paradoxe de la surproduction en général. Avec tout ce que nous possédons, nous faisons finalement fort peu. Je reste à croire que c’est principalement dû à cette absence de « supplément d’âme » qu’imposait la lenteur que, par contre, nous ne supportons pas tant elle nous ramène à nous-même, en tant que personnes, épouvantablement faillibles et vulnérables. Curieusement, en vieillissant, je n’arrive plus à nommer cela autrement que décadence d’un côté et spiritualité de l’autre ; même si je crois être très large d’esprit sur ce dernier mot. C’est quand même peut être épouvantablement réactionnaire de ma part, mais franchement, il est où, le plaisir, de la production plasturgique ?
Finalement, c’est aussi là que l’on voit que les vidéos Youtube sont plus de l’ordre de l’apéritif que du plat qui rassasie. Ça ne veut pas dire qu’il faut jeter le bébé avec l’eau du bain ; simplement ne pas se défaire de cette méfiance qui ici, est démontrée : on reste quand même assez fortement en surface, laquelle, je crois, il faudra savoir un jour plus systématiquement souligner la petitesse pour faire revenir un sens aux choses, nettement plus porteur d’humanité…