Le mieux, c'est d'utiliser des presses en bois à deux vis (malheureusement difficiles à trouver en France). J'avais déjà vu cette astuce, je viens de retomber dessus ici.
On pourrait les faire avec des tiges filetées, seulement les tiges sont filetées à droite et à gauche pour que le serrage et le desserrage soit rapide avec les deux mains...
Voir les détails là par exemple.
Guilh63 en effet, là il faut être pas mal outillé (tour et soudure) pour arriver à les fabriquer... En tout cas pour moi ça dépasse mes possibilités et le temps que je trouve raisonnable de mettre dans ce type de projet.
Ou alors il faut accepter de ne pas avoir le double filetage, faire ça avec de simple tiges filetée à droite, et le serrage rapide à deux mains ne sera pas possible. Je pense que je vais finir par en faire une comme ça, pour voir.
Du coup, le seul outillage nécessaire est pour le perçage et le taraudage des noix cylindriques dans lesquelles passent les tiges filetées. Ça ça me va !
Attention, même si ce sont des scies à ruban, les rubans pour couper les étoffes sont sans dents. Ce sont des couteaux-rubans à deux biseaux. Exemple dans le catalogue Peugeot Cie de 1932.
Le système d'affûtage des rubans est parfois intégré à la scie.
Et je ne sais pas si la machine est prévue pour le même genre d'efforts...
Traditionnellement, l'outil en photo s'appelle plutôt une guimbarde.
Je réserverais défonceuse à la machine électro-portative.
Ah, c'est intéressant tout cela.
Je suis en train d'apprendre à affûter correctement mes haches te mes planes, ce n'est pas évident... Ensuite je pourrai passer à l'ouvrage 
Cela me fait penser, de loin, à ce que fait Peter Follansbee, qui fait de la menuiserie médiéval à base de planches fendues.
C'est visiblement le co-auteur du livre sur le banc à planer. Je ne l'ai que feuilleté rapidement (à la bibliothèque de Lyon) mais pas encore eu le temps de le lire...
J'aime bien son approche et ce qu'il fait.
Tiens, j'aurais mis le coeur au dessus du fût plutôt que sous la semelle, pour se rapprocher d'une semelle avec les cernes parallèles à la semelle. Mais c'est juste un ressentit et parce que généralement sur les rabots de qualité les cernes sont // à la semelle.
Il est chouette.
Ce que j'aime bien avec ce rabot, c'est qu'il marche aussi bien tirant et en poussant. Et l'utilisation en tirant, bien symétrique en terme de prise en main, est bien agréable.
La poignée paraît un poil courte pour y mettre tous les doigts...
D'ailleurs, quelles sont les dimensions du fût de l'outil ?Concernant le coin, j'ai aussi remarqué sur le mien qu'il avait tendance à se desserrer tout seul à l'échelle de la semaine ou plus (reptation du coin avec les fluctuations hygrométriques ??). Le coin se desserre également tout seul d'un coup maillet, plus facilement qu'avec un fer à 45°. Je pense que c'est lié au lit à 60°...
Tiens, cette roue de vélo me fait penser que l'on pourrait mettre une roue avec moyeu dynamo, de sorte à avoir l'éclairage intégré !
J'ai ça sur deux de mes vélos, c'est top. Et le condensateur intégré au phare à led donne une petite autonomie en cas d'arrêt de la rotation de la roue. Pour rémouler à la tombée de la nuit 
oui, en théorie une partie de la puissance de ton mollet part dans la production d'électricité (environ 3W). En pratique, tu ne les sentiras pas. Ces dynamo intégrées au moyeu ont beaucoup moins de frottement (et donc de pertes) que les vieilles dynamo bouteille qui frottaient sur le pneu.
patrick pila le design me paraît viable. Cela ressemble à l'établi Marovian, lui aussi prévu pour être démontable.
PS: ce que tu appelle "cheville" est en réalité plutôt une clé, mais ce n'est qu'une question de terminologie 

Il y a plein de varlopes en bois qui ne demandent qu'à servir ! Facile à trouver. Environ 60cm de long. 3kg.
Bien meilleure glisse que les rabots métalliques. Un plaisir à utiliser. Choisir chêne vert ou cormier.