
On peut proposer la méthode des 5S, radicale, cependant ça a fait ses preuves. Les endroits de mon atelier où j'ai mis en place cette méthode, ça ne diverge plus.

J'ai acheté chez eux de la bande pour mon tank makita en plein milieu de mon chantier restauration de parquet car il m'en manquait.
Déçu car la description laissait planer le doute sur la quantité/prix (je m'en suis rendu compte à l'ouverture du paquet) et sur le fait que la qualité n'était pas meilleure par rapport à celles que j'avais avant, pour un prix supérieur.
Donc je ne recommanderai plus chez eux.

Je ne comprends pas bien ce qui t'inquiete. On utilise des épures depuis des siècles alors que les ragréages n'existaient pas.
Un fil à plomb ou un niveau à bulle indiquent tous les deux la verticale, aucune différence notable ici si ce n'est la praticité.
On parle d'une pente de 1%. Tu vas faire une erreur sur tes longueurs comme le cosinus de l'angle, soit 0.999950. Donc sur une longueur de 1m, tu as un écart de 50 microns.
Bref, je ne me soucierais pas de cette petite pente, reprenez moi si quelque chose m'échappe.

Ce n'est pas la lumière qui va déterminer l'épaisseur du copeau, là tu fais erreur. C'est la profondeur de coupe.
La lumière est là pour limiter l'arrachement.
- On ouvre la lumière (pour les modèles qui possèdent une lumière réglable pour quelques euros de plus)
- On positionne le fer puis le presseur
- On resserre modérément. Trop et le fer ne bougera pas lors du réglage, pas assez et il reculera lors du rabotage.
- On ajuste le fer pour qu'il sorte à peine, comme dit Oak.
- On réduit la lumière, sans taper le fer.
Une lumière trop réduite par rapport à un fer généreusement sorti conduira au bourrage.
L'inverse à de l'arrachement en contre-fil.
PS : on s'assure que le fer soit parallèle au fût du rabot, idem pour le presseur.