Après avoir lu tes arguments et projets je ne puis t'encourager de patienter le temps de faire quelques économies pour pouvoir viser plus haut.
Si tu veux réellement pouvoir travailler le bois sans être trop frustré par les limites d'un combiné et il y en a toujours, alors ne descend pas en dessous de 260 de largeur de dégauchisseuse, j'ai moi même fait cette erreur il y a quarante ans et je pestais à chaque fois que j'avais une planche plus large à raboter, obligeant de la deligner pour la re assembler ensuite. A moins que tu tombes sur de vieilles grosses combinées fonte qui parfois se vendent une poignée de cerises mais dans ce cas il te faudra te faire accompagner d'un connaisseur pour voir si l'affaire vaut le coup et il y en a ou si c'est trop archaïque voire dangereux.
Je pense à de bonnes vieilles Chambon ou Pierre Bénite et bien d'autres car tu as la chance d'avoir le triphasé.
Par contre, étant néophyte dans l'activité, je te conseille vivement de te former à l'utilisation des machines de menuiserie, il y va de ta sécurité, nos doigts n'étant pas comme les queues de lézard. Et pour aussi te permettre de sortir un travail de qualité. Il existe aujourd'hui des formations plus ou moins sérieuses mais le mieux serait de connaître un ancien du métier qui en plus pourrait te transmettre avec fierté QQ ficelles du métier. Le travail du bois à la l'aide de machines est passionnant mais demande méthodes de travail et de sécurité. Il y a trop de combinées vendues par des grandes surfaces ou aujourd'hui par E-commerce à grand renfort de pub vendant du rêve genre ''coffret outillage de toupie fabrication cuisine offert''. Dans l'imaginaire certains pensent pouvoir entrer du bois brut d'un côté et ressortir des meubles ou une cuisine de l'autre.. on retrouve souvent ces bécanes dormant au fond d'un garage soit après déboires d'utilisation voire un accident. Je me permets d'insister sur le fait que ces machines ne sont pas des jouets et qu'elles peuvent être très dangereuses si elles sont mal utilisées.
Le travail du bois aux USA résulte de méthodes adaptées aux modes de vie et de construction de ce pays où de par les grands espaces, c'est traditionnellement l'outil qui va à l'ouvrage plus que le bois qui va à l'atelier comme en Europe. C'est le pays spécialiste entre autres, de la défonceuse portative par exemple ou de scie circulaire avec le moteur en ligne avec la lame, avec renvoi d'angle comme les meuleuses et aussi le pays inventeur de la scie sabre, brevet de Milwaukee.
Il est bon déjà de connaître les techniques, de travail, de fabrication, de réalisation d'assemblages locales pour savoir lesquels outils pourrait être intéressant et utile de rapporter pour une utilisation transposable chez nous. Le sujet est vaste. Les américains sont les rois des assemblages au cloueur ou visés avec notamment leur système Jig pas toujours très heureux en terme de résistance.
Le mien je l'ai re surfacé il y a une dizaine d'années car il était voilé et depuis je fais comme j'ai appris quand j'étais au lycée, c'était avant hier 
un coup de racloir et de ponceuse à bande pour le nettoyer des stigmates de colle et autres résidus pour retrouver une surface propre mais les établis qui reste comme des meubles ne sont pas des outils de travail. Bien évidemment il ne s'agit pas non plus de travailler comme un goujat sans précaution en prenant l'établi pour un support martyr cela fait partie de l'ensemble de la qualité du travail. D'autre part chez moi il y a 2 ateliers et 2 établis, le second sert à la mécanique et au travail du métal. Les hydrocarbures et la limaille de fer n'ont rien à faire sur un établi de menuiserie.
Woodmizer a désormais une gamme légère, ils ont un stand en ce moment à Eurobois.
Logosol un peu au dessus de Frontier mais il y en a une à côté de chez, selon son propriétaire, monté trop léger, beaucoup de casse et même le chemin de roulement à été entièrement refait.
Tout dépend si c'est juste en amateur sinon en pro il n'y a que le tout haut de gamme de Logosol qui de toute façon reste inférieur à Woodmizer.
Cela dépend aussi des essences et tailles à scier. En forêt nordique ceux qui scient des ''crayons'' des résineux une petite scie convient bien mais chez nous pour scier des bon gros pépères de chênes et autres, c'est une autre musique. J'ai longuement regarder moi aussi et j'ai fini par laisser à peu près tomber et je continue de m'approvisionner à ma scierie locale. J'ai encore beaucoup de marge de budget bois avant d'arriver au 7500€ de chiffrage pour une Frontièr avec équipements complet et indispensable jeu de 10 lames, affûteuse et avoyeuse.
Un coup de ponçage pour supprimer le film dans le cas du cp bouleau filmé sinon rien ne colle.
Sinon si il s'agit du cp noir type plancher de remorque, le revêtement c'est de la bakélite qui soit dit en passant est une vacherie pour desaffuter les lames. Dans ce cas quelle sont les faces à coller entre elles ?
Si c'est pour une petite surface, l'Araldite devrait aller
D'une manière générale les systèmes de filtration d'air ne sont efficaces que dans un milieu statique machines à l'arrêt. Sinon il vaut mieux capter la poussière à la source et si l'aspirateur ne se trouve pas dans un local séparé, avoir un filtre à décolmatage sur l'aspirateur à copeaux.
La solution économique pour un amateur est le local aspi séparé de l'atelier mais dont l'air est renvoyé pour ne pas refroidir l'atelier l'hiver au moyen de filtres plissé type centrale d'air. Il faut en surdimensionné la surface pour compenser le colmatage et les remplacer régulièrement.
2 solutions:
Soit tu copies sur un papier le profil de la moulure et tu fais tailler à demande une paire de fers à monter sur porte outils par fabriquant ou affûteur.
Soit tu as une toupie ancienne avec arbre fendu,dans ce cas, tu tailles dans de la barre de fer SPECIAL TOUPIE un ou 2 fers si travail en 2 passes pour avoir le profil souhaité. Il faut savoir maîtriser cette technique comprenant taillage à la meule, affûtage+ morfillage, équilibrage et cran de serrage de sécurité.
Ma première réflexion est, comment peut t'on vendre une maison avec la charpente dans cet état, en avais tu connaissances lors de l'achat ?
La difficulté de réparation réside dans le fait qu'il faut recréer le noeud entre l'entraît et l'arbletrier.
Il faudra donc faire un étayage de toute la ferme en commençant par le faîtage. Il faudra pour cela trouver un professionnel capable de remplacer dans les règles de l'art une partie de l'entraît en recréant avec rigueur les entrailles d'assemblage avec l'arbletrier pour que cela reprenne les forces d'appuis. Je précise que ce sont ces assemblages qui créent les appuis de reprise des forces et que les chevilles et autres boulons ne servent que pour maintenir l'assemblage en place mais aucunement pour tenir les forces en action dans la charpente comme hélas beaucoup le croient voire font l'erreur.
Pour la partie entrait, je ne vois guère d'autres solutions que un assemblage type trait de Jupiter avec en plus une reprise moisée sur assez long si cela doit en plus servir de poutre. Un charpentier chevronné sans jeux de mots, pourra peut-être trouver une autre solution.
Évidemment, si la couverture était à reprendre il serait préférable de remplacer l'ensemble
Les fabricants sont obligés de mettre des dates de péremption mais cela ne veut pas dire qu'à une date et heure données, le produit sera d'un coup altéré.
Il suffit d'observer sa consistance, si elle ne semble pas altéré et si après essai, celle ci se polymérise correctement en obtenant un bon pouvoir de résistance et d'accroche.
En revanche si elle commence à être épaisse, l'adhérence risque d'être insuffisante et c'est poubelle. J'ai gardé en stock des cartouches de colle à bois pu, la colle reste utilisable sans soucis par contre il me reste des cartouches bloc, noir et gris de mastique pu type carrosserie, trop pâteux pour le presser et l'extraire de la cartouche, c'est poubelle 