Ah, je pense qu'un seul coin au centre n'est pas la solution.
Car les deux moitié à écarter par le coin sont beaucoup trop rigides. C'est la raison pour laquelle tu as dû en rajouter un au bord !
Il vaut mieux mettre deux coin, chacun à 5mm du bord, car une lame de 5mm du manche en frêne sera plus flexible.
ps: bon, je viens de voir avec la vidéo que le manche est collé dans la tête, je suis pas inquiet sur la tenue !! Les miens ne sont pas collés, juste les coins.
C'est chouette.
Je suis juste pas très fan de la poignée, que je trouve trop présente et trop près du bord.
J'aurais préféré un bouton ou un tasseau plein aminci côté porte pour le pincer (un peu dans ce genre), plus discret quoi. Mais ce n'est pas ma boîte, alors c'est pas moi qui choisi 
Kentaro je suis aussi plutôt partisan du décapage minimum.
De toute façon, dans 10ans l'oxydation superficielle aura repris le dessus !
En tout cas, beau lot de ciseaux !!
Malheureusement épuisé mais j'ai enfin réussi à trouver une version d'occasion 
Il me manque juste les dernières pages (table des matières, index et bibliographie) 
. Si jamais quelqu'un as le bouquin et peux m'envoyer une photocopie de qualité...
Merci. J'ai cette page là en début de l'ouvrage, c'est le sommaire détaillé à la fin qui me manque. On le trouve sur le site de l'éditeur (voir lien catalogue), mais sans les renvois de page.
etiennedesthuilliers avait l'air de dire qu'il ne serait pas réimprimé, malgré le fait qu'il soit indiqué comme en réimpression. C'était dans une question sur les rabots, que je ne retrouve plus.
En effet (site FNAC)!
Sur le site des éditions Vial, c'est indiqué en réimpression, mais sans date.
A suivre donc...
Bonjour etiennedesthuilliers,
Merci pour cette proposition.
Mon ouvrage s'arrête à la page 336 incluse (les marques des métallurgistes étrangers. Métalurgistes anglais, métalurgistes américains).
J'ai l'impression qu'il manque le cahier suivant (qui doit être le dernier) car aucune trace de détérioration du bouquin. Erreur à la reliure ??
Bonne journée,
Denis
J'ai vendu mon exemplaire pour acheter la nouvelle édition.
Ça y est, je suis à jour
Regarde aussi du côté des Darex, ceux en fonte et pas en tôle pliée, ça ne côte pas bien cher et cela fonctionne bien. Copies de Stanley.
En tout cas, je suis content de mon no5 Darex. J'en ai vu partir un à moins de 10€ sur Ebay récemment !
Les rabots en bois n'ont pas de numéro (ce ne sont pas des rabots Stanley !). Ils font toujours à peu près la même longueur. Seule la largeur dépend de la largeur du fer. Ici un rabot de 44mm donc. Probablement en charme.
J'ai publié quelques pas à pas sur les rabots.
un cas typique où la lime à épaissir est bien utile...
Peut être de l'inspiration avec ce plateau de jeu de scrabble...
Bonjour,
Je connais quelqu'un qui en vend de magnifiques sur Lyon.
Contactez moi par la messagerie si vous voulez en savoir plus !
J'ai le 3ème et il est bien aussi
Je ne connais pas les deux autres.
Quelques exemples de rack à bois dans les créations...
Albert Kloster attention, dans les pays anglo saxons, on ne trouve pas de cormiers ni de chênes verts, c'est la raison pour laquelle cette essence n'est pas utilisée quand on fait des recherches en langue anglaise ! Alors qu'en France ce sont deux essences très utilisées et bien supérieures (en dureté et en glisse).
Oui, Goldenberg a beaucoup utilisé l'azobé comme semelle rapportée. Une fois de plus, je pense que la raison est historico-géographique : c'était du bois importé des colonies/ex-colonies françaises d'Afrique.
J'ai aussi eu un rabot Goldenbreg avec ce qui m'a semblé être une semelle en iroko, mais rare (ou erreur ?) et un poil trop tendre à mon goût.
Albert Kloster on peut effectivement qualifier le chêne vert et le cormier de bois nobles. Toutefois, il ne sont guère utilisés à autre chose que pour faire des outils ! Le cormier éventuellement pour faire des meubles, mais le chêne vert étant difficile à trouver en grandes dimensions (l'arbre est généralement tout tordu) il ne sert -à ma connaissance- qu'à faire des outils ou du bois de chauffage.
Après, toute la difficulté est d'en trouver un morceau de taille suffisante pour faire un rabot, séché correctement. Mieux vaut alors être dans le sud de la France
Notez que le charme se prête aussi à la fabrication du fût. Bonne glisse à mon goût (meilleure que le hêtre) mais peut être un poil plus tendre.
Benoit56 
float = 
écouanne
Bill Carter, ainsi que HNT Gordon je crois, utilisent aussi la technique du blunt chisel (ciseau émoussé ?) pour ajuster la surface d'appuis du fer. Vidéo de présentation ici. Quelques exemples aussi sur l'instagram de Awplanes. J'ai l'impression que c'est surtout efficace sur les bois durs.
Pour l'essence je ne sais pas, le bois semble avoir foncé avec le temps.
Oui, peut être cormier.
Oui, pas une seule piqûre, il est bien conservé.
ça c'est sûr. D'autant plus que sous l'ancien régime (si l'outil date de cette époque), il n'y avait pas d'outilleur, les artisans confectionnaient leur outils il me semble.
Non non, poussée.
La poignée arrière permet de bien plaquer l'outil, à l'avant un peut y caler le creux du pouce, c'est plutôt agréable.
Merci etiennedesthuilliers pour cet éclairage sur le type de caractère.
Alors le mystère reste entier quand à la date de fabrication de cet outil et la signification de ce marquage qui ressemble fort à une date...
Ce qui est sûr, c'est qu'il a servi (le nez est abîmé) et que sont style est ancien.
et si c'était un numéro de production ou l'identifiant d'un ouvrier dans un grand atelier
Mm, ça ne colle pas avec le fait que ces outils étaient fabriqués par l'artisan lui même à cette époque. Il n'y avait pas encore d'outilleurs sur bois.
Effectivement, ces deux varlopes sont plutôt dans le style 19e.
Probablement des outils d'outilleurs (par opposition à artisanaux). Il se peut qu'il y ait des marques du fabriquant (regarder le nez et le talon).
La grande à l'air quand même bien piquée... La petite comporte une semelle rapportée, elle a déjà subit une rénovation de sa semelle.
Quelques infos supplémentaires sur les rabots si le sujet vous intéresse.
Dites nous donc quelle est l'essence de bois du maillet, c'est intéressant. On dirait un bois ronceux/torturé: cela permet de résister aux chocs.
foal merci, les rabots c'est mon dada 
, et les outils à main plus généralement !
Merci etiennedesthuilliers pour la tentative de datation.
Je garde aussi dans un coin de ma tête les deux ouvrages suggérés sur les outils des métiers du boid. Pour l'instant, je suis sur l'achat d'un fac similé de l'art du menuisier de Roubo imprimé en 1987, une meilleure reliure le pense que mon truc collé de la bibliothèque de l'image.
Benoit56 en fait le souci n'est pas de perdre le coin, une fois serré il restera en place.
Le souci est qu'une fois serré, le coin induit des contraintes dans le corps du rabot qui font qu'il va se cintrer vu de dessus. Et du coup, les arêtes de la semelle ne sont plus rectilignes.
Mais effectivement, c'est le design ancien des rabots à moulures. Ci dessous des extraits du livre sur les rabots de Bouillot & co sur les rabots d estyle "ancien régime" de l'époque de Roubo.
Depuis, le design a évolué, avec une joue collée qui permet d'éviter la déformation du fût (sur les outils à moulure et bouvets à joindre).
En réalité, le feuilleret a un design légèrement différent des outils à moulures ou des bouvet à joindre (qui sont proches).
Pour faire une feuillure dans le fil du bois, tu peux utiliser un simple guillaume, qui fera très bien l'affaire si tu a marqué les limites de ta feuillure au trusquin par exemple.
Le feuilleret comporte les éléments suivants:
- joue mobile (pour régler la largeur de la feuillure);
- repose mobile (pour régler la profondeur);
- un grain d'orge pour trancher les fibres et ainsi fonctionner ne bois de travers
- combiné à un fer en biais
Les deux derniers éléments permettent de réduire l'arrachement en bois de travers.
Voir des exemples de feuillerets dans ce message.
Pour finir, je te conseille vraiment de trouver du bois dur (hêtre) pour limiter l'usure.
Mis comme tu l'as dit, ceci est un prototype !
dependancesbois oui c'est cela. Bouvet à joindre en une pièce (pour les plus petites épaisseurs) et en deux pièces quand les planches à assembles sont plus larges.
Par opposition au bouvet à approfondir, avec joue et repos mobiles. Exemples ici .
Ah trente six seb ce site internet est bourré de vieilleries ravissantes, j'adore tous ces catalogues !
J'en ai quelques uns à numériser pour les partager, mais c'est du boulot, surtout si la chose est reliée (il faut tourner toutes les pages à la main avec la photocopieuse).
Peugeot Frères 1904, Aux Mines de Suède (années 20), ....
Sympa, je suis pour le travail à la main aussi.
Il ne te reste plus qu'à trouver un outil à entailles !
D'autres photos de l'outil ici. Il est muni de deux grains d'orge qui permettent d'incicer avant le passage du fer, généralement en biais: dédié au travail en bois de travers.
Mais, tu as déjà un autre maillet en bois
!
Le nouveau aura la même masse ?
Petit conseil pour le perçage au vilebrequin: colle ton front à ta main supérieure, cela permet de mieux "fixer" cette main supérieure.
J'en profite pour remettre le lien vers mes maillets pour illustrer la manière dont ils sont emmanchés.
Je ne sais pas ce que tu as prévu, la suite le dira...