À ce que tu décris, il s'agit plutôt d'un numéro de fabrication de meuble (57) destiné à identifier les différents éléments d'un même meuble, dans une fabrication.
Les ateliers utilisaient ce procédé de repérage, avec des chiffres romains gravés. Que tu le retrouves à plusieurs endroits de façon identique attesterait d'ailleurs cette hypothèse.
Parce qu'une chaise, c'est beaucoup plus complexe à réaliser, qu'il n'y paraît.
Ça implique beaucoup de recherche, d'études, d'essais, autant esthétiques, ergonomiques et techniques. Ça nécessite beaucoup de précision et de rigueur, des gabarits et montages d'usinages multiples, des outillages particuliers, des systèmes de serrage adaptés, et au global énormément de travail et un savoir-faire très spécifique (c'est d'ailleurs un métier à part entière)... Tout cela, pour un mobilier qui met peu en valeur (aux yeux d'une majorité de gens) tout ce que je viens de lister.
Et qui de plus s'achète à vil prix, que ce soit pour des amateurs, et même des professionnels (dont ça n'est pas la spécialité). Ceci dit, il y en a peu, dont ça l'est, hormis principalement des industriels aujourd'hui.
Ça serait plutôt : Tous les YouTubeurs-influenceurs l'utilisent... Et donc tous ceux qui se laissent influencer par ces mêmes YouTubeurs, l'utilisent aussi... en croyant que TOUT LE MONDE l'utilise.
Sauf que dans le monde réel, chez les professionnels (les vrais, pas ceux formés en regardant des vidéos de toujours les mêmes), rares sont ceux qui l'utilisent. Et on peut rajouter que beaucoup, notamment des amateurs cette fois, de ceux qui ont cru un temps au "produit miracle" bon pour tout type d'application, en reviennent déçus.
À la 2ème question, bien évidemment que non, tu n'auras pas un résultat similaire, ni même approchant avec du Rubio ou une huile, que ce que tu peux avoir avec une finition teinte/ vernis bicouche ou fond + vernis de finition, avec patine entre les deux. Rien à voir.
Le Rubio a pour intérêt de conserver un aspect mat et brut, et en une seule couche. Donc, rien de comparable avec ton processus de finition, pour ce que serait de l'apparence. Mais par contre, et contrairement à ce que beaucoup ont cru, il n'offre que très peu de protection, en ce qui concerne les taches, l'humidité. 
Il y a plein de choses, dans ta question...
Tu dis te rendre compte "qu’un sous-sol n’est pas vraiment optimal à cause du taux d’humidité et de la température"
Et donc, quelle conclusion en tires tu ?
Où veux-tu construire la cabine dont tu parles ? Toujours à la cave, ou ailleurs ?
Tu parles de stocker du bois, mais plus loin de le sécher.
La première chose à avoir, déjà pour stocker du bois, c'est un lieu ou local qui ne soit pas intrinsèquement humide (comme certaines caves, effectivement), et avec une bonne ventilation naturelle. En un tel endroit, tu peux y stocker du bois déjà sec, et y faire sécher de façon à avoir du bois "sec à l'air"... mais au bout de quelques années.
Maintenant, si tu veux construire une cabine de séchage, (donc plus rapide qu'une ventilation naturelle), déjà tu ne peux pas y mettre en même temps du bois déjà sec, avec du bois qui serait à sécher.
Et c'est autrement plus complexe et pointu que juste y mettre un chauffage + un déshumidificateur, pour y réaliser un séchage maîtrisé.
Que recherches tu comme info ?
Si c'est sur la la marque elle même, inconnue pour moi, et pas très répandue, je pense.
Si c'est pour rechercher des fers qui s'y adapteraient, le principe de montage est peu courant. Habituellement, ces fers profilés sont serrés/bloqués par l'intermédiaire d'un coin de serrage ou contre-fer, alors qu'ici, il semble que ce soit directement la vis, qui vienne en contact des fers. Je suppose que sur ceux-ci, il y a une encoche, afin que la vis y prenne parfaitement appui, tout en empêchant la possibilité de sortie, en cas de mauvais serrage.
Mais hormis en retrouvant des fers correspondant précisément à ce porte outil, et d'occasion, peu de chance de trouver autre chose qui y soit adapté, à mon avis.
La bague est bloquée en bas de l'arbre, mais tu peux tout de même le monter, de façon à ce qu'elle soit au-dessus du niveau de la table ?
Dans l'ordre... et avant d'envisager de démonter l'arbre :
. Pour le dégrippant, il faut laisser plusieurs heures agir, avant de retenter.
. Avec une pince multiprise, en intercalant un chiffon ou un morceau de chambre à air, pour ne pas trop abîmer la bague. Ou si ça n'est pas suffisant, avec une clé à griffes.
. Donner quelques coups secs de marteau, sur le côté de la bague, tout autour.
. Chauffer avec un petit chalumeau (ou "lampe à souder") sur le pourtour de la bague, de façon à ce qu'elle se dilate.
Ben, comme d'hab (ou comme souvent)... Question pas suffisamment précise et détaillée pour pouvoir répondre de façon sûre.
Tout dépend de la manière dont c'est construit.
S'il y a une structure, une "ceinture", comme il y en aurait pour une table, peut-être.
Mais si les pieds sont enfichés dans un dessus de 18mm, non.
Recherche là : lairdubois.fr/.../?q=Lurem C260N
(Tu as un champ de recherche, en haut des différentes rubriques)
Ne pouvant pas vérifier les différents éléments de visu, pas vraiment plus avec la seule photo que tu nous montres, plusieurs pistes possibles :
. Bois pas droit
. Guides trop ouverts
. Guides mal alignés.
. Il faudrait montrer la fraise, telle qu'elle est montée sur la toupie, mais si tu passes tes pièces à plat sur la table, et que la fraise travaille sur l'intégralité du chant, celle-ci pourrait être trop sortie par rapport aux guides, ce qui ferait que la pièce serait "avalée", une fois qu'elle échappe au guide d'entrée. Le début de ce saut d'usinage correspondant donc au point de sortie du guide d'entrée.
Bah, tu n'es pas très généreux en photos, pour nous permettre d'identifier ces essences ! Toi, tu les as devant les yeux, avec la possibilité de les voir de près, de loin, sous différents angles, différentes lumières. Nous, pas.
Le premier pourrait faire penser à de l'orme, mais sur lequel il y aurait des restes de la "lasure trop foncée" dont tu parles, incrustés dans les pores, et qui aurait dénaturé la couleur un peu "blonde" de l'orme qui vient d'être travaillé, puis qui tire vers l'orange, en vieillissant à la lumière.
Pour la seconde image, peut-être du platane, mais vraiment trop petit pour donner une réponse plus sûre. 
Bonjour, et merci à tous ceux qui ont répondu !
Retour d'informations, d'après ce que certains m'ont donnés ici et d'autres infos obtenues suite à un mail à un site spécialisé... Et si ça peut un jour servir à d'autres.
Sur la plaque du moteur, on peut donc lire :
C P-40 µF 400 V
Ce qui signifie :
Condensateur, Permanent, 40µF (40mf ou 40 microfarads), Tension max : 400V
Après, pour pas que ça ne soit trop simple pour le choix du bon condensateur à commander
, il faut vérifier qu'il soit à câble (et non à cosses), permanent (et pas seulement de démarrage), les bonnes données électriques, mais aussi qu'il soit avec vis (il y en a sans) et puis aussi les dimensions ! Mon condensateur actuel faisant 45 de diamètre X 94mm de long, il en existe de différents formats. J'ai trouvé un, qui fait 92 au lieu de 94... Ça devrait aller !
Merci à tous !
La même question était posée il y a quelques jour... à la différence de la région, sans doute.
Mais tu y trouveras peut-être quelques infos et éléments de réflexion intéressants.



