Hello !
Quitter un boulot qui te plait mais qui ne paie pas, pour aller vers un autre boulot qui te plaira peut-être, et qui ne paie pas...
Alors si j'étais toi, je chercherais un boulot qui me plait au moins un peu, et qui paie. Soit un boulot salarié, soit un boulot dans l'artisanat qui paie, c'est à dire dans le bâtiment. Et en parallèle, je développerais mes loisirs qui me plaisent, en me disant qu'un jour peut-être j'y évoluerais comme pro.
Faire de l'ébénisterie si c'est ton truc, le soir, les week-ends, les vacances, faire tes meubles, faire baver d'envie tes amis et ta famille quand ils verront ce que tu fais, leur faire des choses aussi (meubles, boîtes, jouets, aménagements...), et entrer dans le métier en douceur et sans risque, voilà ce que je ferais.
Force et courage ! 
Je remonte la question pour montrer ce que j'ai fait finalement :
J'ai fait deux essais avant de trouver le bon calage, ça m'a coûté zéro, et même à mon tarif horaire personnel démesuré, la demi-heure que j'y ai passé m'est revenue beaucoup moins cher que l'ecodrill. Seul inconvénient : je n'ai pas de butée de profondeur.
À noter que l'alésage est difficile à amorcer dans le mélaminé, et désaffûte gravement la fraise.
Solution : après avoir posé le gabarit, prendre un forêt de 10 et percer sur 1 mm de profondeur en "petit poucet" sur la majeure partie de la surface. Cela prend 30 secondes et préserve la fraise de 35.
Pour les embases, j'ai opté pour la solution de niconathy : c'est royal !
En tout cas je vous remercie tous pour vos réponses.
Ce que tu appelles "disjoncteur", c'est le boîtier "NETZ/LINE" qu'on voit sur la photo ? Si oui ce n'est pas un disjoncteur à proprement parler mais un relais de protection thermique. S'il fait un bruit de grésillement, ce n'est pas normal, mais si tu le shuntes, tu enlèves la protection du moteur. C'est ce qu'ils ont fait à Tchernobyl : ils ont supprimé toutes les protections avant de faire un essai scabreux (oui, tout le monde connait le "point de Godwin", moi j'ai inventé le point d'Ara !).
Bref, si tu n'es...
Vu que je suis pas très bon en électricité
Et qu'il y a des fils dont...
et je ne sait pas à quoi cela correspond
Fais-toi aider mais pas à distance, essaie de trouver quelqu'un dans ton coin qui maîtrise. Là, vu ce que tu montres, je ne vois pas trop comment on peut t'aider de loin, et les deux risques, c'est de cramer le moteur et de te blesser.
Je commence par la dernière question, qui appelle une autre question.
Y a-t-il une erreur ou un écueil à éviter absolument quand on débute ?
Eh bien, l'erreur grossière, si tu veux être artisane ébéniste, c'est de t'imaginer passer tes journées en atelier à faire des jolies queues d'aronde, entendre le chant du fer de rabot et respirer la bonne odeur du bois. Cela, je te rassure, tu vas le faire, mais pas toute la journée, loin de là. Car avant tout un artisan ébéniste est un chef d'entreprise (fût-elle unipersonnelle), et ton boulot sera déjà de vendre tes créations, avant même de les avoir créées.
Ceci dit, ne nous emballons pas, je parle des artisans à leur compte, ce qui n'est peut-être pas ton projet. Si tu veux être salariée d'un ébéniste, ça change tout.
D'où la question : quel est ton projet ? Car ce que tu dis...
dans le cadre de ma préparation à une reconversion professionnelle vers le métier d’ébéniste.
En effet, je m’oriente vers une formation pour le CAP Ébéniste
...ne nous en apprend pas beaucoup. Quelle est ton expérience du bois, pourquoi veux-tu aller vers ce secteur et dans quel cadre ? Cela permettra d'orienter un peu mieux les réponses.
Hello !
Je ne comprends pas trop la raison :
Problème, je ne peux pas effectuer la formation en présentiel car je travaille et en distanciel,
Mais en tout cas la CMA d'Alsace (et probablement d'autres aussi) propose des formations à distance. J'en ai fait une de 2 jours (pack micro) et une de 3 ou 4 jours (pack gestion). Et à l'époque j'étais salarié, mais enfin tu as bien quelques jours de congé à poser, non ? Quant à l'aspect financier, ça ne coûte pas très cher et si tu as un CPF, c'est finançable au moins partiellement).
Enfin si tu as l'occasion d'aller à Épinal samedi prochain, à 10h30, il y aura une conférence sur le sujet.
Pour une raboteuse, le petit aspirateur et un éventuel cyclone ne suffisent pas en terme de débit et de vitesse de l'air dans les tuyaux. Donc la seule solution valable, c'est le gros aspi à copeaux (et garder le petit aspi et le cyclone pour l'électroportatif). Je crois me rappeler que le pas à pas de Mig est assez clair sur le sujet.
Après, pour l'aspect psychologique (ne pas vouloir mettre plus d'argent dans l'aspi que dans la machine), je n'ai pas mon CAP de psychologue donc je ne peux pas t'aider ; mais pour l'aspect économique, il y a peut-être des occasions à trouver...
Quant à l'idée de la chinoiserie premier prix, on m'a dit que tous les aspirateurs de ce genre sortent de la même usine chinoise (seule la couleur et le logo changent, suivant la marque). Donc prend le moins cher ! Et si tu veux un aspirateur de plus grande capacité, prend le moins cher et rehausse-le pour mettre un sac plus grand, tu gagnes 200€ facile !
J'ai fait cela une fois et j'ai regretté.
- Déjà, comment fais-tu tes rainures bien en face l'une de l'autre ? Je m'étais fait un montage d'usinage mais ça restait assez merdique à utiliser.
- Ensuite, comment règles-tu la profondeur de passe pour avoir exactement la même épaisseur ? Si la planche fait 0,5mm de plus quelque part, tes rainures étant toutes identiques, l'épaisseur de la planche usinée fera 0,5mm de plus et ça ne rentrera pas.
- Comment fais-tu l'encoche ? Ce n'est pas une question rhétorique qui signifie "ce n'est pas possible", c'est une vraie question, qui pousse à se demander combien de temps tu vas passer sur chaque encoche et est-ce qu'elles seront reproductibles.
- Enfin c'est un montage à mi-bois, foncièrement contre-nature du point de vue structurel. Il est vrai que dans ton cas les épaulements des rainures sont censées maintenir la demi-planche qui a subi l'encoche, mais perso les montages à mi-bois, je fuis...
Dans mon cas, les rainures étaient trop peu profondes (d'un ou deux dixièmes de millimètre) car le panneau avait travaillé (c'était du MDF). Donc ça ne rentrait pas. Solution n°1 : refaire toutes les rainures, ce qui était pratiquement impossible car mon montage d'usinage ne pouvait pas être remis pile au bon endroit, et qui aurait pris un temps fou. Solution n°2 : élargir les encoches mais comment ? J'ai fini par faire ça à la disqueuse ! Bref, ça a marché mais c'était du boulot de merde. Si tu trouves un moyen pratique de faire cela, pourquoi pas, mais moi je n'ai pas trouvé.
Et donc pour répondre à ta question "comment je ferais" : lamellos.