Bonjour Hugo,
Pour commencer, double standing ovation (une pour l'orthographe fort appréciable et appréciée, une pour la clarté du projet)
Concernant votre aménagement, c'est un peu comme la femme universellement parfaite, c'est impossible à déterminer/trouver...
Le premier travail à faire que je vous suggère, c'est connaître le taux de sollicitation de chaque machine en en mesurant le temps d'usage (allez-vous + déligner que raboter par exemple)
En conséquence, plus un matériel sera utilisé, plus il devra être accessible (et réciproquement)
Progressivement, l'ordre d'installation devrait devenir évident...
Bonjour Lecongredebout,
Les trois fils reliés sont le signe d'un raccordement fait en "étoile", c'est normal, rien de curieux jusqu'à présent...
Vous avez la présence d'esprit de nous indiquer qu'en cas de raccordement à la terre, paf, étincelle, disjonction, ce qui va beaucoup aider et orienter le diagnostic.
En effet, dans cette configuration, le "régime de terre" dans lequel est votre machine est ce qu'on appelle "terre et neutre séparé" (c'est-à-dire que la terre ne sert qu'à "évacuer" toute perte de tension à travers la carcasse appelée (très justement) "courant de fuite")
Ceci expliqué, intéressons-nous à la question "pourquoi ça "saute" maintenant alors que ça ne le faisait pas avant ?"
C'est "assez" simple: avant, sans courant de fuite, il n'y avait que le moteur qui, en plus de faire une différence de potentiel, faisait aussi un "appel de courant" (c'est comme sur le vélo, on "appuie" plus fort sur les pédales quand on "démarre" que quand on roule) et, typiquement, ça va représenter entre deux et trois fois le courant appelé lorsque le moteur est "lancé" dans sa rotation (les plus gros pouvant tirer jusqu'à sept fois plus de courant au démarrage, certains nécessitant parfois des assistances mécaniques, couplés éventuellement à des "démarreurs "étoile"-"triangle"" mais je digresse)
Par conséquent, lorsqu'il y a le moteur à "charger" ("induire" pour les puristes) et la perceuse dans son ensemble, ça devrait tenir techniquement (même si ça rend l'utilisation dangereuse vu les risques inhérents de "châtaignes" que ça implique en l'état) et vu que c'est la mise à la terre qui fait tout "sauter", cela semble pleinement orienter vers un défaut d'isolation entre les bobinages du stator (la partie extérieure du moteur) et la machine car l'électricité, c'est comme l'eau, ça cherche toujours à s'écouler là où la résistance au passage est la plus faible...
Ce faisant, c'est un phénomène qu'on appelle "court-circuit franc" créé par le fil de terre qui fait disjoncter car, qui dit "faible résistance" dit "fort appel de courant" vu que l'électricité, comme l'eau, ne passe qu'en présence d'une différence de potentiel et lorsque la résistance est trop faible, c'est comme vouloir remplir une piscine olympique au tuyau d'arrosage, la fourniture est insuffisante par rapport à la demande, donc pour éviter à la fois de faire s'enflammer le tableau et de généraliser une coupure par effondrement de la puissance disponible, le disjoncteur intervient pour la sécu de tout le monde...
Ainsi, dans le meilleur des cas, il y aura peut-être juste une gaine d'un des bobinages qui sera un peu dégradée qu'il suffira de réparer, au pire, au chatterton, au mieux, à la gaine thermo(-retractable), autrement, changer le moteur par un autre le plus identique possible devrait y remédier...
Bonjour Damdoc,
Pour connaître le raccordement, il suffit d'avoir :
-un crayon/stylo
-un papier
-un multimètre réglé sur le symbole "Ω"
Une fois le nécessaire rassemblé,
Placer une des pointes sur l'une des "phases" (généralement marquées "L1", "L2" et "L3") dans la prise, l'autre pointe sur l'un des points de raccord "U", "V" ou "W"
Ensuite, tant que ça affiche "OL" (OverLoad) ou juste "1", faire différents essais jusqu'à ce que ça affiche une valeur très faible (si vous avez de la chance, vous avez peut-être un multimètre avec testeur de continuité qui bipe lorsque le courant passe, ce réglage est parfois proposé à part de celui de la mesure de résistance)
Une fois les correspondances déterminées, vous pourrez raccorder votre variateur au câble qui lui sera dédié...
Bonjour Pappa (tu vas bien ? 
)
Bref, la taille, il n'en a cure, c'est plutôt la méthode avec laquelle l'image est générée qui peut créer ce problème.
Dans ce cas, il faut importer la photo et l'exporter (pas l'enregistrer) au même format depuis un logiciel de retouche d'image comme GIMP ou de dessin comme Libre Office draw (ça à résolu quasiment tout mes pépins d'importation (ça doit coincer, grand maximum, une fois pour 10 000 autres))
Autrement, il suffit de faire une capture d'écran (il y a une touche exprès pour ça sur le clavier) et de la "coller" (clic droit "coller" ou "CTRL v") dans un nouveau fichier fait avec l'un des deux mêmes logiciels...
Bonjour Lilian01,
Un peu comme tout le monde, je serai bien en peine de vous donner une base de calcul sûre, néanmoins, voilà le détail de la composition du coût total que je ferai en terme de proportions :
25 à 35%: conception (donc dessin et essais physiques des éléments conçus pour les pièces personnalisées)
35 à 45%: réalisation (confection du mobilier)
20 à 40%: transport et assemblage sur site
Et aux personnes susceptibles de me dire "mais Clément, 35+45+40=120", je vous dirai que c'est la raison pour laquelle j'ai donné des fourchettes, pour que l'addition des variations puisse toujours faire 100%, Voici comment (avec l'ordre "conception-réalisation-transport"):
1: 25+35+40
2: 35+45+20
3: 25+45+30
4: 35+35+30
Bonjour Scribe,
Peu importe la taille de la maille,
Le problème reviendra tôt ou tard, les copeaux ayant tendance à s'imbriquer comme des Legos...
Il vaut mieux opter pour un système de type cyclone qui projette vers les bords les morceaux les plus lourds et évite de colmater la voie d'air de l'aspiration.
Vous pouvez en fabriquer un pour une cinquantaine d'euros (ou moins, suivant la taille de celui-ci.
Autre possibilité : vous pouvez aussi monter un souffleur de feuilles avec un cône assemblé autour du conduit d'aspiration (en prévoyant naturellement des ouvertures sur celui-ci pour que ça fonctionne), grâce à l'effet Venturi, les copeaux seront aspirés sans jamais entrer en contact avec les pâles.
Bonjour Laurent,
Suivant votre outillage, vous pouvez opter pour une pince-étau ou directement un étau monté sur un établi (de préférence avec des mors crantés), vous serrez le plus fort possible, et soit la vis sort sans problème avec une fente pour un tournevis plat, soit vous devrez l'y percer pour retarauder et pouvoir réutiliser votre pièce...
Bonjour Sébastien,
C'est un grand projet que constitue une telle entreprise, si vous savez au moins comment mener votre affaire, c'est toujours ça de gagné...
Mon premier conseil aurait pu être:
"ouvrez votre boîte en Suisse Romande, ça ne coûte qu'une quarantaine de francs suisses (~40€), c'est juste un petit formulaire de demande de permis de résidence et de travail de catégorie B, 4 pages, une comptabilité réduite à "recettes/dépenses" avec le statut "Raison Individuelle", jusqu'à 100 000 CHF ("Confédération Helvétique" Francs juste au cas où) de CA annuel et, sauf erreur, le droit d'exercer dès le postage du formulaire, le cachet postal faisant foi, la réponse arrivant en deux semaines ou moins"
Cependant, j'ai remarqué que vous étiez (très (bien)) installé dans le département de l'Aude, ce qui est un peu plus loin que la Savoie.
Ce faisant, mon premier véritable conseil est:
Prospectez, faites essayer vos éléments, bref, trouvez et développez votre marché...
Mon second conseil: soyez en mesure d'accorder du temps à tout avec modération, on peut vite se faire dépasser sans le voir venir...
Sans avoir d'entreprise, j'ai pu l'éprouver pour le constater car je suis à la fois:
-Youtuber (modeste avec 371 abonnés à ma chaîne "Clément CLARISSE - Clem En 3D"),
-modéliste,
-informaticien avec Linux Ubuntu (je dois aimer souffrir quelque part...),
-Créateur de pièces en 3D avec FreeCAD (créations visibles sur Cults3D avec l'identifiant "Clemen3d"),
-Intérimaire intermittent (mais pas du spectacle)
-Grand-frère d'une sœur aujourd'hui adulte (heureusement, ça fait moins à faire)
Bref, je trouve rarement le temps de m'ennuyer...
Bonjour Léa,
Pourriez-vous nous communiquer quelques détails supplémentaires comme des images de la plaque signalétique de votre machine s'il vous plaît ?
Parce que là, en l'état, je m'attends à ce que le fabricant ait fait une gamme de matériels plutôt qu'un seul modèle sous cette désignation.
Je vais essayer de me renseigner de mon côté, sans garantie de trouver des informations...
Bonjour Aramis 57,
Pourriez-vous être un peu plus précis sur la raison de votre besoin d'avoir un schéma de la pédale de variation s'il vous plaît ?
Car, de mon côté, étant technicien de maintenance industrielle, mon premier réflexe c'est "ah, sa pédale l'a lâché, il cherche probablement à voir s'il peut la réparer"
Ça me serait arrivé, j'aurai utilisé un gradateur pour luminaires halogènes (ou un variateur d'aspirateur, c'est sensiblement le même circuit), ça coûte une dizaine d'euros et c'est, normalement, assez facile à trouver dans n'importe quel magasin de bricolage...
Bonjour,
Autant je suis d'accord que c'est (très) probablement un ou plusieurs condensateur(s) qui a ou ont rendu l'âme, autant là, pour moi, sauf démarrage en charge (c'est à dire avec des éléments à entraîner qui n'ont pas forcément besoin d'y être), il y a peut-être eu un sous-dimensionnement...
Je vous invite à aller voir des bobineurs de moteurs électriques, ils sauront vous trouver des composants peut-être plus adéquats ou des spécialistes comme un magasin du groupe Dexis ou du réseau Rexel...
Bonjour Sandovale,
Si le déplacement jusqu'en Côte d'Or vous intéresse, j'ai peut-être une possibilité qui pourrait tout réunir car, un de mes amis, fait dans le mobilier publicitaire/événementiel et je sais qu'il y a quelques années de ça, il cherchait justement quelqu'un en auto-entrepreneur pour faire quelques contrats.
Si vous avez un mail, je vous invite à m'écrire à "clement.clarisse.progmail.com", ainsi, je pourrais vous envoyer ce contact en privé.
Salut la compagnie,
Sans avoir nécessairement une référence en tête, il y a la technologie de compression qui va faire la différence sur tous les plans (dont celui du budget):
Compresseur à pistons: les plus répandus, abordables mais aussi parmi les plus bruyants en raison de la détente à chaque fin de cycle de compression de chaque piston (c'est sensiblement identique au bruit d'un moteur 4 temps vu que c'est un principe similaire...)
Compresseur à vis: plus onéreux, certes (surtout neufs (de l'ordre de 5 000 € environ pour les plus petits modèles ("COMBIEN ?"*))), mais plus silencieux et surtout plus rapide à la génération d'air comprimé, on peut en trouver d'occasion pour le budget désiré sur des sites comme Surplex (qui fait souvent des ventes de liquidation judiciaire (donc couramment scandaleusement plus bas que le prix du marché (parce que plus vite un liquidateur judiciaire a tout écoulé, plus vite il touche sa prime, plus vite il "passe au suivant"(du coup, souvent, la seule condition, c'est d'avoir la possibilité de venir chercher sur place, par ses propres moyens, un peu partout en Europe, à la date indiquée, autrement, c'est pratiquement "premier arrivé, premier servi"...)))), il faut juste avoir un raccordement triphasé chez soi (ou adapter avec un condensateur, un convertisseur rotatif ou encore un variateur de fréquence)
*: en référence à la séquence du coup de téléphone de "La Cité De La Peur"
Bonjour Delphine,
C'est assez proche de la frontière avec la Suisse apparemment votre projet (j'essaie juste de situer les lieux)
Technicien de maintenance industrielle de formation, j'ai quelques compétences en travail du bois (notamment en matière de récupération (palettes et plus encore)) et, à défaut de pouvoir aider sur place, je serai heureux de vous aider autant que possible depuis chez moi, à Belleneuve, à 15 - 20 bornes de Dijon.
Soyez libre de me solliciter, je finis toujours par répondre...