
Il vaut mieux aller à la source quand on a besoin d'informations techniques : xylophene.fr/w...rpentes-HD2.pdf
et bien tout lire.
Il est question d'injecter le produit, mais si les sections sont faibles, le produit s'imprègne dans le bois et plus tard les insectes ou leurs larves sont tuées par l'absorption de la molécule contenues dans le bois.
Si c'est pour traiter ton lot de noyer, il faudrait d'abord purger les parties les plus attaquées et traiter les pièces finies. Si les trous sont peu nombreux cela peut être fait avec une seringue. Si ce sont des pièces de petites dimensions, il y a la solution du passage au congélateur qui a été évoquée ici au lieu des produits qui présentent un certain risque à l'usage.

Mettre un ou deux coins (métal ou bois) au bout du manche pour écarter le bois qui est dans la tête du marteau. Il est préférable de faire une fente à la scie et avoir fait un trou traversant au bout de cette fente pour y insérer le coin et éviter que la fente se propage plus bas.
Tout simplement, pourquoi se mettre martel en tête ?

La question que je me suis posée est « au fait, les portes anciennes n'étaient-elles pas peintes» ?
Le goût actuel est à laisser apparent le bois et ses veinages, mais on oublie que les églises par exemples étaient souvent très colorées, parfois entièrement peintes (ex : intérieur de la cathédrale d'Albi) pour des motifs de décoration, mais sans doute pas seulement.
Alors j'ai fait une petite recherche et j'ai trouvé cette étude : escapadeshisto...e-et-esthetique
Voir le point suivant : «8. Les couleurs des portes anciennes et leur régionalité en France».
Cela laisse penser que cette porte pouvait être peinte.
Il faudrait voir avec les Bâtiments de France quelles sont leurs préconisations. Il se peut qu'une peinture soit acceptable si elle respecte les codes esthétiques et les produits traditionnels.

Bonjour,
le pare-éclats doit être trop court à force d'avoir été coupé par la scie.
En pratique, lorsqu'il est abimé en bout par les coupes successives et qu'il ne joue plus bien son rôle de pare-éclats, on le décale vers la lame pour obtenir une nouvelle coupe franche. A force, il devient trop court.
Il faut en refaire un de la hauteur de la règle et de 15mm d'épaisseur (en principe sur cette machine) et de longueur 15-20cm.
Pour les trous de fixation, prendre modèle sur l'existant.
Ensuite pour le réglage des graduations de la règle, il y a un «lardon» de réglage sous la règle pour caler la graduation selon la coupe réelle. Il comporte un téton qui vient se loger dans le support de la règle et détermine la position latérale de la règle par rapport à la lame.
Il faut faire des essais : caler la butée de coupe sur une valeur, couper un bois, puis mesurer la longueur réelle du bois obtenue, comparer avec la valeur indiquée par la position de la butée, enfin décaler le lardon de la règle en fonction du décalage trouvé. Vérifier...
Patience et rigueur...

Tu pourrais glisser des montants derrière les fils qui sont ravancés puis visser ton panneau dessus.
Les montants devraient faire toute la hauteur du grillage et l'épaisseur à peu prés de l’espace libre entre les fils en avant et le reste de la trame, la largeur entre les mailles ; de cette façon, ça ne devrait pas aller bien loin...


Je ne suis pas sûr d'avoir bien tout saisi, mais comme personne ne te répond, voici une piste : ton cas ressemble à ce qui est donné en réponse ici : lairdubois.fr/...entaires/411404
Ces charnières n'ouvrent que de 110° cependant.

Je pense que oui, logiquement, mais il faudrait confirmation par des plus expérimentés.
Si la bague est suffisamment ajustée pour que la lame de tourne pas de façon excentrique et que l'épaisseur de la lame correspond au couteau diviseur, cela devrait fonctionner.
Le couteau doit être quelques dixièmes de millimètre plus étroit que la lame et plus large que le corps de la lame.
Voir là : preventionbtp....whrEwSnvtsCg5Gj
Désolé par ailleurs de ta mésaventure,
courage...

Le mien fait 70 x 1600 x 600, en frêne.
L'épaisseur est bien suffisante pour ces dimensions.
Selon l'écartement des pieds cela ne rend pas la même chose.
Le seul truc c'est que c'est limite pour installer certaines presses qu'il faut incruster sous le plateau.
A toi de voir si c'est un critère pour toi.


Je ne suis pas sûr de mon idée, mais je me demande s'il ne serait pas plus simple d'araser au niveau de la feuillure existante avec une scie ( à main ou scie sabre ou ...?) pour ensuite re-créer une feuillure en fixant un tasseau de l'épaisseur voulue.
cela aurait l'avantage de faire disparaître l'ancienne feuillure.
Inconvénient : précision nécessaire, rabotage , finitions à la main des angles...

Je n'ai pas de réponse toute faite, mais tu peux regarder du côté des bois qui ont un aubier peu ou pas distinct du reste du bois.
Je pense au platane ou à l'érable sycomore.
Des membres plus experts pourront préciser et tu peux consulter les fiches Cirad.
tropix.cirad.f...hes-disponibles
Par exemple : tropix.cirad.f...LE SYCOMORE.pdf
Voir le paragraphe : DURABILITÉ NATURELLE ET IMPRÉGNABILITÉ DU BOIS

Il doit bien y avoir de l’usure sur les coulisseaux et/ou le dessous des côtés des tiroirs.
Le plus simple me semble être de rajouter en les collant, des baguettes sur les coulisseaux pour rehausser les tiroirs et empêcher le frottement sur la traverse.
Une épaisseur de 2mm suffirait sans doute, à voir.
Et pour finir, frotter de la paraffine (bougie) sur les coulisseaux (les nouvelles baguettes) et sous les tiroirs pour faciliter la glisse et limiter l'usure.