il faut peut être raison garder...
c’est une porte coulissante d’interieur ? dans ce cas, les éventuels problèmes d’étanchéité et autres sont réduits.
le seul risque, c’est que la porte tombe en poussière ou qu’elle se gondole. mais tu peux prévenir le client.
c’est bien d’être dans le tout juridique, mais il y a aussi le type de relation que l’on a avec les clients... si on leur parle, si on leur écrit clairement les choses, on doit pouvoir s’entendre.
enfin je suis un peu dubitatifs concernant les affirmations sur le fait que l’on soit responsable des trucs qu'on installe, surtout si c’est le client qui les a achetés et qu'on a mis tous les caveat dans le devis de pose... un vrai avis juridique la dessus serait intéressant.
demande a ton assureur décennale.
tu peux couper le biseau a la scie a ruban avec un montage ad hoc, puis terminer au rabot a main,
ou a la scie a main plus rabot,
ou tout faire au rabot a main avec un montage guide ad hoc,
ou avec une grosse râpe puis rabot,
ou avec une ponceuse...
tout est possible, avec un peu d’imagination et en sortant parfois de la boîte logique et des automatismes appris sur le tout machine...
personnellement, je ferais cela sans aucun montage, a main levée, en 3 minutes sur mon grand lapidaire (grande ponceuse, machine qui devrait être dans tous les ateliers...)
tu contactes le désigner, Véronique COtrel, son site est sur le net, tu appelles, tu dis que tu voudrais faire appel à ses services, que tu veux exactement la même bibliothèque dans ton grand salon haussmanien dans le 16ieme, tu prends l’accent du coin, et tu demandes incidemment, mais au fait, c’est quel bois? c’est du massif? d’ou vient’il?, etc etc...
par contre, attention, si tu n’as pas les mêmes moulures dans ton salon, cela ne va pas faire le même effet chez toi, quelque soit le bois...
surtout, préviens bien ta cliente qu’il n’existe pas de protection a 100% contre les taches. meme avec les meilleures protections, un verre mouillé restant quelques heures sur la table laissera une belle marque.
il vaut en être conscient avant.
au fait, ce genre de table se faisait dans les années trente du siècle précédent. elle doit donc avoir beaucoup plus que 30 ans.
il s’agit d’une table basse, avec un cadre métallique, et une traverse au milieu. d’autre part, il n’a jamais été dit qu’on allait danser la gigue dessus...
donc, des lattes de 15 MM ne me semblent pas inconvenantes. mettons 20 MM pour satisfaire tout le monde.
le mieux est faire cela avec des lattes légèrement espacées, pour quelles puissent gonfler.
le bois, robinier, chataigner, sachant que bien sur, si c’est dehors, cela va griser et noircir.
dans la réponse a cette question, je donne la recette d’une potion magique qui pourrait marcher pour les taches suite a de l’eau ayant stagne.
c’est ce que l’on utilisé a la maison pour nettoyer les taches (eau, vin ) sur une table en chêne non vernie et ça marche bien.
si tu l’essaies, fais nous un retour.
tes calculs viennent de tes propres réflexions ou ont été faits par un spécialiste ?
pas certain que tu aies tout intégré...
je ne sais comment c’est en Suisse, mais en France,
en micro, on ne paie pas la tva (on ne la défalque pas sur les achats, mais on ne la paie pas sur les ventes, c’est donc un très gros avantage surtout si on a une forte valeur ajoutee). et dans les 12 ou 13% de charges, il y a une partie libératoire sur l’impôt sur le revenu.
en société, tu vas avoir la tva à payer sur ta valeur ajoutée, l’impot sur les sociétés et l’impot sur les dividendes. cela finit par faire beaucoup.
en société, on peut optimiser entre salaires et dividendes, mais pas certain que l’on puisse faire 0 salaires 100% dividendes.
en France, on considère que pour une petite activité sans gros investissements et amortissements, la micro est toujours plus interessante que la société. on passe en société pour des questions de volume, mais jamais pour une optimisation fiscale.