
C'est quoi, comme entraîneur ? Quel modèle, référence ?
. Je suis surpris que, réglé sur la position d'engrenages censée être la plus lente, ça soit encore si "rapide" que ça.
C'est la première fois, que tu utilises un entraîneur ?
. Si c'est le cas, je peux comprendre que ça puisse être plus rassurant, d'avancer plus lentement. Mais ça n'est pourtant pas à recommander, car une avance trop lente, peut avoir tendance à faire chauffer et désaffûter plus vite tes outils. Donc, pas un gage de bon usinage... en tout cas pas longtemps.

Restaurer un couvercle de puits, donc quelque chose d'ancien et réalisé à la traditionnelle, mais en recherchant des solutions qui ne le soient pas (le collage), tout en se demandant comment le faire de façon écologique...
Il n'y a pas un petit problème de cohérence, là ?
Et si tu le faisais comme c'était réalisé autrefois, tout simplement ?


Arrrhhhh, un peu loin !
Ça ne serait pas les tables de dégauchisseuse, qu'il faudrait régler, plutôt ?
(La raboteuse, normalement, peu de risque de la dérégler, contrairement aux tables de dégauchisseuse)
Il ne peut pas venir ici ? Et expliquer précisément quels sont ces problèmes. Il aurait peut-être une réponse qui puisse l'aider.
Sinon, ici, il y a un "pas à pas" (ou une procédure) pour procéder au réglage d'une dégauchisseuse. La machine est peut-être différente, mais les principes restent les mêmes.
Si ça peut l'aider.

Ça n'est pas du contreplaqué, qu'il faut cintrer, d'autant plus que ce type de panneau a été créé, notamment, parce qu'il permettait une certaine rigidité, et planéité. Tenter de cintrer du contreplaqué, c'est donc vouloir aller à l'encontre des qualités de celui-ci, précisément celles qu'on cherchait à lui donner.
C'est directement les différentes épaisseurs de placage, qu'il faut coller sur un moule (avec un contre-moule, ou alors par serrage sous vide), pour réaliser une pièce cintrée à une forme donnée, et qui le restera.
À la manière de ce que font des entreprises spécialisées comme Lécuiller ou Cardineau.
Des dossiers et assises de chaises, moulés et aussi creusés comme c'est le cas sur ce modèle, font typiquement partie de leurs spécialités.
Mais il est aussi tout-à fait possible de le faire de manière artisanale.

La première question que je me pose, en voyant ces plans, n'est pas comment et où réaliser tes jonctions entre les ensembles bleu/vert/rouge. Là-dessus, il y a diverses possibilités, chacune ayant des avantages et des inconvénients. En posant la question ici, tu vas avoir plein de réponses variées. Mais je me demanderai d'abord, comment ajuster au mur, et surtout comment y fixer cet ensemble, sachant que si je comprends bien, il doit rester démontable.
D'autant plus que, une fois la solution de fixation déterminée, ça peut aussi influencer la manière de prévoir les jonctions.

La longueur n'est pas marquée quelque part ? Sur une plaque avec les caractéristiques ?
Par contre, en indiquant la marque et modèle de ta SàR, peut-être que quelqu'un pourra te confirmer.
Sinon, une lame de scie à ruban se fait sur mesure. Que ce soit sur des sites, ou en allant chez un revendeur, ou un affûteur.


Pour de tels meubles, il est probable qu'il s'agisse, non pas de peinture ou de laque sur du bois massif, mais de portes (et autres pièces du meuble) constituées de pièces "softformées" sur support MDF. C'est un revêtement, appliqué à chaud, et qui enrobe les différentes pièces, qui dans le cas des portes, sont ensuite assemblées.
Je n'ai jamais essayé de poncer (d'autant plus que je n'ai pas de meuble Ikéa ). Mais peut-être est-ce possible de repeindre dessus. Mais il faudrait faire un (ou des) essai au préalable, pour voir comment ça accroche, et comment ça tient dans le temps, sur des parties non vues.
Par contre, je ne comprends pas trop, pour l'idée du vernis, qui est un produit tranparent, et qui donc, sur un fond qui même poncé resterait blanc, ne ferait que colorer un peu ce support.

Tout d'abord, une salle de bains, ça n'est pas non plus une pièce d'une humidité extrême, si correctement conçue (chauffée normalement, puis un peu plus lorsqu'on s'en sert. Ventilée), et correctement utilisée. Ça n'est pas lavé à grande eau, on n'y laisse pas d'eau stagnante au sol, on n'y projette pas d'eau dans tous les sens...
Et si l'humidité peut y augmenter quand on y prend une douche, par exemple, ça n'est que temporaire.
On y fait d'ailleurs des mobiliers en mélaminé classique, sans que ça pose le moindre problème. Seul le dessus étant en CTBH revêtu de stratifié pour se prémunir des éventuels écoulements. Et des joints silicone en jointage contre le mur ou autres chants potentiellement directement exposés à l'eau.
Aucune nécessité d'y utiliser du "multiplex" (contreplaqué, j'imagine).
Par contre, réaliser (ou acheter tout fait ?) des panneaux massifs tels que je vois prévu sur tes plans, expose à deux risques. Tout en précisant tout de même que ces risques ne seront pas particulièrement différents, suivant qu'il s'agisse d'un meuble de SdB, ou pour une autre pièce :
. Celui de la variation dimensionnelle. Mais qui se manifestera surtout dans le sens de la largeur, mais bonne nouvelle, qu'on peut anticiper.
Pour ton meuble sous vasque, justement, il serait préférable de mettre le sens des côtés, à la verticale. Et le fond (s'il est aussi en massif) dans le même sens.
Par contre, tenter d'en contrecarrer les variations, comme tu l'envisages, ça n'est clairement pas une bonne idée. Au contraire, il faut permettre que ces différents panneaux varient en même temps et dans le même sens.
. Mais il y a aussi un risque de déformation propre à ce genre de panneaux, qui, quel que soit le meuble, et peu importe la pièce dans laquelle il sera, est toujours difficile d'empêcher ou de maîtriser.

Pas de charnière invisible qui serait adaptée à ta configuration, que je connaisse. Du fait du déport d'un minimum de 21mm, et de la trop faible épaisseur du montant, pour y encastrer quoi que ce soit.
La seule solution que je vois serait un système d'ouverture sur pivot haut et bas, en laissant une lame supplémentaire fixe, côté charnières, afin de former feuillure, et masquer le jeu indispensable à la rotation de la porte.
Mais solution qui risque de ne pas être simple, pour parfaitement régler les jeux (ou pas, en haut) que tu souhaites.

Des chaises, c'est d'abord prévu pour s'assoir.
Ça nécessite tout de même des assemblages réalisés avec précision, bien serrés dans le sens de l'épaisseur, et TRÈS serrés sans le sens de la hauteur de la mortaise, pour tenir l'équerrage et résister aux mouvements et déplacements normaux des utilisateurs, ces assemblages étant particulièrement sollicités.
À la seule vue des photos, rien n'indique que ça ne soit pas le cas, ici.
Par contre, si on fait l'andouille sur la chaise, si on s'amuse à faire la bascule, elle ne résistera que jusqu'à un certain point, plus ou moins poussé, suivant la conception de la chaise.
La seule chose qu'il soit possible de dire, c'est qu'ici, la limite de résistance de cette chaise-là, a été dépassée.

À vérifier, dans l'ordre :
1) Il y a une garniture, sur les volants, dans quel état sont-elles (en haut, et en bas). Si elles sont trop usées ou détériorées, ça peut être une piste. Et ça se refait ou ça se change.
2) Le volant du bas, puisqu'à te lire, c'est celui-là qui serait en cause, n'a pas de jeu, lorsque tu tends, ou détends la lame ?
Il peut y avoir un problème de roulement (ce qui s'entendrait).
3) Je ne sais pas, sur une telle scie à ruban, mais des plus grosses ont un système de réglage d'alignement du volant du bas. Un système solidaire des roulements de volants, et qui se règle, grâce à des boulons et contre-écrous de blocage.

"La façade risque d'être trop fine..." dis tu.
Quelle est son épaisseur ?
La solution la plus courante, pratique, puisqu'aux usinages simples, réglable dans tous les sens pour égaliser les jeux, avec "retour automatique" donc ne nécessitant pas de loqueteaux ou autre système de blocage... peut-être même pas de compas (à vérifier suivant poids de la façade), serait des charnières invisibles.
L'inconvénient étant qu'elles sont encombrantes, une fois ta façade ouverte.
Autre solution, des charnières d'abattant encastrées, mais qui nécessiterait une fourrure horizontale, pour y encastrer cette partie.
Un compas et système de blocage sen position fermée sera nécessaire, ici.
Il y a aussi la solution de pivots de portes traditionnels, mais qui exigent une grande précision, dès la réalisation des entailles, et moins pratiques à régler.
Ici, aucun encombrement, une fois ouvert. Mais compas et blocage indispensable aussi.

Peu de chance de trouver une formation "officielle" pour ce genre de spécialité précise.
Il existe, à ce qu'il semble, des pretendues "formations", proposées... enfin, surtout VENDUES, sur internet par des bricolos, parfois des Youtubeurs...
Bon, je m'arrete là, je n'en dirais pas plus, je pourrais être mechant mais à fuir !