honnêtement, c'est possible moyennant certaines précautions
1) ne pas dépasser la charge limite indiquée par le constructeur (pour moi, 80 kg pour une sandero stepway avec barres longitudinales fixes plus barres transversales amovibles)
2) utiliser des sangles à cliquet pour bien fixer les panneaux, sans risque de jeu.
pour du CP 122 x 244, avec des sangles de 4 à 5 m, une par barre transversale, pas de problème. penser à mettre une protection sur les chants et sous le cliquet, pour éviter les marques. si le bout libre de a sangle est trop long, le coincer dans la portière pour éviter qu'il ne fasse trop le drapeau... je n'utilise pas les crochets des sangles mais passe le brin le plus long dans l'anneau du plus court, pour faire une "ceinture" continue qui passe sous les barres de toit et au dessus des panneaux (à l'aller et au retour) - aucun risque de ripage ou de décrochage en cas de choc ou autre...
penser que le porte-à-faux à l'arrière empêchera d'ouvrir correctement le hayon (sortir les sangles avant de mettre les panneaux sur le toit...)
avec du panneau 122 x 244 le porte à faux à l'avant sera de l'ordre de 70 - 80 cm, ça permet de jeter un œil sur le chargement, de temps en temps
3) après, avec du CP très fin (8 mm et en dessous) il y a des risques de casse dès que la vitesse monte un peu, un peu comme un parapluie sous la bourrasque. le panneau remonte vers le haut, il faut donc mettre les lambourdes, renforts, panneaux les plus épais... sur le dessus ou, à la limite, insérer le panneau mince en sandwich entre panneaux épais.
j'ai ainsi récupéré dernièrement deux chargements de 3 CP (du haut en bas 9, 6 et 18 mm pour le premier, trois fois 12 mm pour le second), en roulant à 60 - 70 max, sans que ça ne vibre ni ne bouge
du point de vue maréchaussée, comme la charge ne dépasse pas les dimensions du véhicule, ça ne devrait pas poser problème...
si je comprends bien, c'est simplement pour régler la position de la table. Donc pas nécessaire d'avoir une coulisse de tiroir.
si c'est uniquement pour régler l'inclinaison, je mettrais à l'arrière deux rainures en arc de cercle avec quelques trous pour passer des chevillettes (clous...) correspondant aux inclinaisons souhaitées, ou plus simplement deux biellettes attaquant une crémaillère
si c'est pour régler à la fois hauteur et inclinaison, on peut combiner biellettes à l'arrière, glissières à l'avant. un dessin sera sans doute plus parlant
bonjour
avec une défonçeuse et une fraise assez longue, il est tout à fait possible d'utiliser des gabarits de ce type, un pour chaque angle souhaité, qu'ils soient fabriqués en contreplaqué de 8-10 mm ou autre.
prévoir un système de fixation pour le stabiliser sur la poutre (butée, serre-joint, sangles...)
Je dirais peu importe, dès qu'on utilise toujours le même... après tout, certains mesurent en pouces, et les anciens d'avant le système métrique avaient une multitude de systèmes d'unité, ça ne les a pas empêché de faire des chefs-d’œuvre. Il faut seulement être sûr de l'origine (le "zéro") et que les graduations soient équidistantes sur toute la longueur 
perso, si le diamètre de la fraise est supérieur à celui du trou dans la semelle, il y a danger
pour insérer la fraise il faudra descendre à fond la défonceuse. en admettant que la queue de la fraise soit assez longue pour cela, la moindre fausse manœuvre (si, si, ça peut arriver à tout le monde, moi compris) et c'est la catastrophe!
la rencontre de la fraise en rotation et de la semelle, c'est l'assurance d'esquinter les deux et éventuellement de recevoir des morceaux de métal tranchant dans les mains, les bras, les yeux...
Il faut que la fraise tourne librement pendant toute la course possible de la défonceuse, elle ne doit pouvoir entrer en contact qu'avec la pièce à usiner, et encore pas n'importe comment!
Bonjour
Je pense que tu as voulu parler de poulies en bois, une (ou 3) maitresses sur l'arbre moteur, et 3 esclaves sur l'entraînement du tour, un peu comme pour les perceuses à colonne.
La démultiplication est égale au rapport entre les diamètres poulie maîtresse / poulie esclave
à supposer que tu veuilles obtenir 3 vitesses de tournage, approximativement 300, 1000 et 3000 t/min
par ex poulie maitresse diamètre 180 mm, esclave D = 60 mm -> vitesse moteur X 3 soit 2745 t/min
D poulie maitresse = D poulie esclave = 120 mm -> vitesse moteur x 1 (915 t/min)
D poulie maitresse = 60 mm, D poulie esclave = 180 mm -> vitesse moteur x 1/3 (305 t/min)
Prévoir un système de réglage de la tension de la courroie pour limiter le patinage
Peut-être serait-il possible de recycler un jeu de poulies de perceuse à colonne, la gamme de vitesse étant possiblement la même, avec l'éventualité de 5 rapports pour plus de souplesse....
Bonjour
pourquoi des dormants qui risquent de se déformer pour des panneaux un peu larges, et pour lesquels il sera difficile d'avoir une poussée dans l'axe du panneau (il y aura toujours un petit jeu dans les trous, pour pouvoir insérer les mors...)
Je viens de faire 3 "presses du pauvre" chacune constituée de 2 lambourdes (dans mon cas 2 tasseaux en pin 45x45) percées d'une série de trous de 8 mm (en perçant les deux en même temps, pour éviter les erreurs)
les lambourdes sont reliées par 2 boulons (M8 TRCC) avec deux entretoises carrées en bois qui servent de mors et un coin permet de serrer le panneau dans le sens de la largeur. En serrant les 2 boulons, les lambourdes prennent le panneau en sandwich et limitent le risque de tuilage.
Si le panneau est moins épais que les coins et entretoises (20 mm), il suffit d'ajouter un chute de CP ou autre pour pouvoir serrer le panneau à plat
les contraintes dans les lambourdes sont dans le sens de la longueur, le risque de fléchissement est nul
Bonjour,
je rejoins Erebor sur les difficultés techniques pour réaliser ce type de clôture en bois, tant pour des raisons de stabilité que de durée dans le temps.
Pour ce qui est de la durée du bois debout, il est possible que le brûlage plus l'huilage (huile de lin) soit une solution, si on aime le noir, et le veinage du bois. Par contre je ne vois pas comment faire tenir des "poteaux" indépendants sauf à utiliser de grosses sections, avec un coût en proportion (bois plus platines).
Je pense qu'il serait judicieux que tu fasses une recherche sur l'AdB (mot clé "palissade", "cloture"), et que tu vadrouilles sur les sites comme
Attention aussi à ne pas trop sur-dimensionner les fondations, il ne s'agit sans doute pas d'un mur de soutènement. En général, seuls les poteaux d'angle et les poteaux de barrière qui supportent des poussées latérales assez fortes nécessitent des fondations à 50 cm ou plus, en fonction du type de sol. Sur terrain plat, une longrine en béton armé de 20 cm de large et 30-40 cm de hauteur, enterrée à 20-25 cm est largement suffisante pour supporter un muret ou une clôture.
Bonjour
je ne connais pas le résultat sur du rubio, mais je nettoie les pinceaux ayant servi pour passer de l'huile "de teck", de lin, ou des peintures, en les laissant tremper un jour ou deux dans de l'ammoniaque commercial, dans un récipient étanche (c'est moins désagréable que les solvants organiques genre white spirit, mais faut pas pousser). L'ammoniaque lui même (en quantité raisonnable) n'est pas vraiment polluant, et peut servir d'engrais azoté - les micro-organismes du sol le transforment en nitrates utilisables par les plantes.




