Hello !
A la défonceuse avec un compas (ou un compas improvisé) ce sera effectivement le plus propre. Tout dépend de l’épaisseur que tu souhaites aléser. Sur une trop forte épaisseur je commence par defoncer un cercle sur environ 1cm de profondeur puis je découpe à la scie sauteuse en laissant de la marge et je termine à la fraise à calibrer.
Voici mon avis 
Bonjour,
Il existe effectivement des décireurs pour meubles ou des nettoyants meubles qui fonctionnent relativement bien.
On peut tout à fait revenir à une couleur proche de l’originale mais cela demande pas mal d’huile de coude. Pour avoir fait pas mal de restauration, les anciens aimaient beaucoup mette une nouvelle couche de cire sans enlever la précédente… 
Alcool à 90 et laine d’acier triple 0.
Sinon acétone et laine d’acier triple 0.
Un vernis PU donne une bonne protection pour une table
Bon courage
Bonjour,
Le plateau en bois de bout cela se fait mais il faut avoir conscience qu’au séchage il va se fendre.
La fixation des pieds va tenir en l’état, attention à ne pas la fragiliser avec la sculpture.
Obtenir une planéité à la ponceuse à bande sur du bois de bout c’est très très long, le bois de bout résiste bien mieux à l’abrasion.
Le bois de bout va également absorber énormément de fond dur mais c’est faisable, il faut bien s’assurer de l’avoir saturé avant de passer les vernis pour un bel état de surface.
Le vernis aura une certaine résistance aux taches. Mais pas aux taches types feutres indélébiles.
C’est un projet intéressant, le bois de bout amène bcp de complexité je trouve,avec un bois de fil la sculpture est bien plus agréable
Bonjour,
Déjà les deux profils présentés sont différents et pour répondre à la question
Tout dépend de la façon de l’utiliser mais je partirai du principe que non.
La fraise a roulement n’est faite que pour travailler avec le roulement en appui sur une face ou un chant sauf si tu veux un profil moins prononcé, dans ce cas tu peux travailler au guide sans mettre en appui le roulement.
La fraise à roulement n’est pas conçue pour travailler à l’emplacement du roulement. il n’y a pas d’arête tranchante sur le haut et elle n’est pas non plus conçue pour évacuer le copeau à l’emplacement du roulement.
Voila mon avis
Bonjour,
Je pense que les lames verticales sur les portes c’est surtout une question de calepinage et d’esthétique. Porte ouverte à chant on verra le bois de bout avec les lames horizontales.
Pour moi si le châssis de la porte est pensé pour supporter l’ensemble je ne vois aucun problème à mettre les lames horizontales
Bonjour,
L’idée du panneau sur lequel on vient agencer les chevrons me paraît plutôt bonne. Avez vous une toupie ?
Le poids sera un problème uniquement pour la manutention, une fois posée le système coulissant prendra le relais. D’ailleurs avec un panneau massif le poids serait quasiment équivalent.
Si les plans sont à l’échelle je mettrai tout de même des sections plus larges sur les montants / traverses, avec tenon mortaise et renfort d’epaulement.
Bonjour,
Qui n’a jamais tenté cette technique ?!
Même si le rebouchage fonctionne, au vernis toutes les traces ressortent 
Parfois le mieux est l’ennemi du bien et un ponçage pour enlever les résidus de colle en surface serait peut être le mieux.
Sinon j’ai déjà eu un cas similaire, j’ai passé une lame de cutter dans le joint pour retirer toute la colle que je pouvais et j’y ai appliqué un mélange de sciure et de liant blanchon.
Ça c’est un produit miracle .
Attention par contre, on a vite fait de se rater avec un cutter
Hello !
Tout dépend de la scierie,
J’ai vu de tout ! Même des scieries avec du bois bien abrité qui m’ont vendu du bois pas sec… j’ai investi dans un testeur depuis
Si le bois est suffisamment espacé du sol et couvert avec une tôle ou autre ça peut le faire. Quand je vais chercher du bois je n’hésite pas à dépiler les plateaux, choisir et j’emporte toujours un vieux rabot avec moi. Si j’ai un doute sur ce qui ressemble à une gerce, un champignon ou autre, je met un coup de rabot.
Si le gérant de la scierie ne veux pas je passe mon chemin, mais ça n’arrive quasiment jamais.
Bonjour,
Il va falloir un peu plus de détails sur le type de formation et l’usage de la scie
Avec un budget comme le tien je partirai plutôt sur une petite scie à format d’occasion.Des modèles ancien pour pro ou semi pro. Il y en a sur lbc. Tout dépend de la place dont tu dispose ?
Sinon j’ai la version précédente de la Dewalt que tu mentionnes. Elle fonctionne depuis plusieurs annnees, est très précise et robuste, même dans du chêne épais elle ne cale pas. Neamoins pour moi les points négatifs seraient:
- le petit guide perpendiculaire n’est vraiment pas terrible.
- le couteau diviseur n’est pas réglable et il faut le retailler ou l’enlever pour entailler des pièces plus épaisses que la hauteur max de la lame.
Bonjour,
Sur le principe je dirais que oui cela se fait.
Il y a néanmoins plusieurs facteurs à prendre en compte.
Les fers sont ils bien affûtés ?
Y’a t il possibilité de mettre un pare éclat en sortie ?
Est il possible d’attaquer le linteau en commençant par la diagonale de la section ?
Une photo serait la bienvenue pour comprendre
Bonjour,
Il me faudrait quelques précisions en plus. Dimension des étagères, type de placage (massif /oberflex).
Qu’est ce que vous appelez renforts ?
Les étagères vont être alaisés ?
Pour le placage il faut coller le parement et le contreparement. Vous pouvez prendre un placage d’une autre essence moins chère pour le contreparement.
Pour la méthode de collage chacun ses préférences, j’imagine que vous n’avez pas de presse hydraulique chauffante sous la main ?
La dimension des étagères va être déterminante.
Pour les grandes dimensions, un collage à la Néoprène peut être synonyme de facilité de mise en œuvre.
Pour des dimensions plus modestes je fais des collages à la vinylique traditionnels : des taquets collés sur le placage pour éviter le glissement lors du pressage, mon collage pris en sandwich entre deux panneaux très épais style plan de travail et une multitude de serre joints. Ne pas oublier la feuille de papier entre le placage et la presse. Tu peux également rajouter un bastaing convexe pour presser le milieu.
Bonjour,
Comme essences endémiques je pense que ce sera plutôt les qualités mécaniques qui les écartent.
Je pense notamment au saule ou au marronnier qui ont des fûts suffisamment larges et droit pour le sciage mais sont de piètre qualité pour du bois d’œuvre.
Il y a egalement le platane, qui possède un très beau veinage (question de goût ) à un grain fin et est classé dans les mi-durs mais qui a une tendance au gauchissement.
Personnellement je l’ai peu croisé.
L’aulne également, il a un veinage très banal, une résistance assez faible. Il est utilisé pour des parties non visibles dans des meubles par exemple mais on le croise rarement.
Bonjour
Actuellement je ne travaille plus dans les métiers du bois. J’y ai travaillé un certain temps et j’ai ressenti le besoin de faire une reconversion.
J’étais ébéniste et j’aimais profondément ce métier. C’est précisément pour cela que j’ai arrêté je pense.
Le métier est en pleine évolution et cela me déplaisais, que ce soit la numérisation des machines qui nous transforment en pousse- bouton alors qu’on passe 10ans au pieds d’un établis à apprendre le métier ou les projets de moins en moins passionnants étant donné que la mode du massif c’est du passé. Rester derrière la scie à format à débiter du mélanine toute la journée non merci.
Il faut voir quelle vision tu as du métier, mais si tu est ouvert aux nouvelles technologies il y a moyen de se faire très plaisir dans ce métier, avec ton expérience appréhender une CN ce sera du gâteau, et ce genre de compétences c’est recherché.
Pdt mes diverses formations j’ai bougé dans plusieurs cfa,lycées, entreprises…
Et j’y ai rencontré pas mal d’adultes en reconversion (genre GRETA). À mon sens leur principales erreurs était de vouloir se mettre à leur compte trop vite sans avoir conscience de la réalité de l’offre et la demande.
Si ton projet est bien réfléchi et mûri, que tu as passé du temps en tant que salarié dans des entreprises, il n’y a pas de raison que tu n’arrives pas à monter ta boîte.
Attention par contre, une fois patron ce n’est plus vraiment le même métier. Il faut s’improviser secrétaire, comptable,dessinateur industriel… et savoir s’entourer et parfois déléguer ou sous-traiter. Avoir un réseau.
J’ai fait ma reconversion il y a peu, et si je peux partager ce qui me paraît le plus important ce serait que toutes tes questions n’auront pas forcément de réponse claire et qu’il faut se lancer, essayer et si cela ne marche pas, tu as déjà un métier qui recrute entre les mains alors quels risques prends tu ?
On a la chance d’être dans une époque où les reconversions même tardives sont possibles si l’on s’en donne les moyens.
Bonne route à toi