vu que lors du démarrage elle est généralement à vide
Tutafé ! Merci pour cette bonne idée, je ne savais pas que ça existait.
Ah oui, bonne idée AERLRO (en plus ça devrait être sympa à câbler !).
Merci !
Je viens de recevoir mon Altivar01 (ATS01N106FT). Il va faire le job mais par contre, AERLRO, il n'a pas de sortie pour commander un contacteur. Penses-tu qu'il soit nécessaire de soulager le démarreur après le démarrage ? Si oui, je vais voir si je trouve un relais à seuil de tension pour faire le basculement.
Je n'ai pas surdimensionné (le moteur fait 2,2 kW, le variateur est prévu pour 6A donc je suis au milieu de la plage de fonctionnement). Je n'ai pas voulu surdimensionner car je me suis méfié : est-ce qu'un démarreur prévu pour 9 ou 12A fonctionne bien avec une petite charge ?
En tout cas il s'agit d'une machine à bois, qui démarre à vide, juste avec l'inertie de la raboteuse dans le pire des cas. Mais une fois en marche, en rabotage (travail le plus sollicitant à mon avis), cela peut durer quelques dizaines de minutes à 1h de travail continu avec des variations de charge importantes.
Dans la notice, j'ai vu qu'ils mettent une contrainte de démarrages successifs pour éviter l'échauffement. Je ne sais pas exactement combien de fois j'aurai In au démarrage, mais si je mets une rampe de 5s, j'ai droit au pire à 20 démarrages par heure, ça devrait aller.
Et puis sur une séance de bon rabotage, je regarderai au bout de 5 min si le biniou est chaud, froid, brûlant...
MaderaMan oui, j'avais remarqué le fusible sur le neutre et je me suis toujours demandé pourquoi il y avait cela parfois (dans la doc ou sur le terrain). J'ai déjà vu des tableaux électriques résidentiels des années 70 avec deux fusibles par départ. Cela me choque mais je ne vois pas en quoi ce serait dangereux... Il existe d'ailleurs des disjoncteurs bipolaires ou tétra avec les 2 / 4 pôles protégés, donc y compris le neutre.
Si tu as des infos sur le sujet, ça m'intéresse !
En fait, contrairement au schéma basique, je tiens à conserver mon interrupteur rotatif sur la machine (il n'y aura donc pas de bouton poussoir avec contacteur et auto-maintien classique). Donc je pense utiliser un circuit de commande issu du DJ tétra au tableau électrique.
Donc dans l'ordre, côté puissance :
- DJ + différentiel tétra au tableau électrique
- contacteur tri, piloté par la chaîne de contrôle-commande
- Relais thermique
- Altivar
- Moteur
Et pour le contrôle commande :
- 1 Phase issue du DJ tétra
- AU
- Mon interrupteur rotatif
- Bobine du contacteur tri
- le neutre issu du DJ tétra
S'il y a besoin de décharger l'Altivar, je pensais plutôt à un relais à seuil de tension plutôt qu'une tempo (sinon je ne suis pas sûr que ça bascule au bon moment). Mais a priori on va s'en passer 
MaderaMan
l'esthétique mon cher 
Et parce qu'actuellement je suis plus qu'hors la loi : j'ai une prise et un bouton rotatif, rien d'autre, donc ça redémarre spontanément toussa toussa. Seul à utiliser ma machine dans mon atelier, je gère... mais tu as raison, autant faire les choses bien. J'ignorais cette obligation.
Que penses-tu de ce schéma ? Il faut juste que je vérifie si le commutateur rotatif (tri) a bien des inverseurs...
Du coup, pour conserver ce commutateur, et dans l'hypothèse où les 3 contacts auraient les position NO et NF, mon schéma permet, AERLRO, sauf erreur de ma part, de respecter la norme qui dit que ça ne doit pas redémarrer tout seul.
1- Commutateur sur 0, si j'ai du courant, le fil de gauche est alimenté, donc le contacteur est activé et "arme" le fil de droite. Ce faisant il s'auto-alimente, mais le commutateur étant sur 0, la machine reste à l'arrêt.
2- Je passe le commutateur sur 1, la machine démarre, le contact NF du commutateur efface l'alimentation du contacteur qui reste néanmoins auto-alimenté. Ça tourne.
3- J'ai une coupure de courant ou je tape l'A.U, la machine s'arrête, je perds l'auto-alimentation du contacteur donc le fil de droite est "désarmé". Je râle parce que la machine s'est arrêtée, je ne pense pas à l'éteindre, je vais boire un coup, un gamin entre dans l'atelier et décide de mettre sa main dans la scie circulaire et d'attendre que le temps passe (le fourbe !).
4- Le courant revient (ou c'est moi qui reviens, je remarque que c'était moi qui avait tapé l'arrêt d'urgence et que donc au lieu de râler, je ferais mieux de le débloquer), et le gamin a toujours sa main dans la scie. Mais comme il n'y a plus l'auto-maintien et que le commutateur est sur 1, le contacteur n'est pas alimenté, la machine reste à l'arrêt.
5- Je suis donc obligé de remettre le commutateur sur 0 pour réarmer le fil de droite. Là je vois le gamin, je le gronde gentiment et lui dis qu'à son âge, on se coupait la main avec une scie égoïne (qu'il laisse les grands se couper la main à la machine, chacun sa place et les vaches sont bien gardées).
Et voilà !
Après, vu que j'ai fait 5 schémas qui ne marchaient pas avant d'arriver à celui-là, ça mérite d'être confronté, je me suis peut-être encore planté...
MaderaMan là non (c'était mon schéma n°4 !) car tu as oublié l'auto-maintien sur KM1, et si tu le mets, ça va démarrer la machine en permanence. Il faut que le contact NO du commutateur rotatif soit placé après KM1.
Par contre ce n'est pas bête de mettre l'A.U en amont de l'ensemble de l'oeuvre plutôt que sur une seule "ligne", ça m'évite d'armer le contacteur pour rien.
AERLRO merci pour les schémas. Bon, de toute façon à la fin on verra bien si ça marche comme prévu !
Il y a autre chose que j'aimerais faire... c'est avoir un voyant (ou 3, un par phase) qui prouve que le contacteur KM10 (ou KM1) est ouvert. Je ne jure que par la coupure visible, donc actuellement quand je change la courroie, systématiquement je débranche la prise tri. Je sais qu'il existe des interrupteurs sectionneurs, mais je veux voir avec mes yeux que c'est ouvert.
Mettre 3 voyants qui me disent que le contacteur est fermé : facile, mais un voyant éteint ne prouve rien (il peut être HS), donc je veux qu'ils s'allument "naturellement" quand le contacteur est ouvert. "Naturellement" et pas avec une chaîne de contrôle-commande complexe, qui pourrait les allumer en raison d'une panne.
L'idée de base serait de faire comme sur les voyants qu'on met sur les boutons poussoirs qui alimentent des télérupteurs d'éclairage : en parallèle du contact, si bien que quand le bouton est poussé, le voyant s'éteint, et quand il est relâché, il s'allume parce qu'il y a une légère ddp à ses bornes (qui passe à travers les lampes).
Sauf que là c'est un peu plus compliqué, vu que c'est du tri, et que ça alimente un moteur câblé en étoile...
En effet un moteur ne démarre pas tout seul, mais quand il y a un accident, on se rend compte qu'il a fallu aligner 10 planètes qui n'avaient rien à voir entre elles. Grâce au crochet, je n'hésite pas à débrancher avant de toucher, et là tu peux aligner toutes les planètes que tu veux, ça ne démarrera pas !
(mais 3 lampes seraient encore plus pratiques que le crochet...)
Heu... bah, je vois souvent des K1 / K2 (pour des kontacteurs), et après quasiment toujours A1/A2 pour la bobine et des numéros à deux chiffres pour les contacts, qui sont je crois normalisés.
Du coup, au prix d'un relais supplémentaire (avec un contact NF) et d'un bouton poussoir de réarmement, je pense que ça peut marcher.
Le principe est similaire au schéma n°1, mais le contact NF qui prouve qu'on a bien remis le bouton rotatif à 0 est élaboré par un relais.
Du coup, en cas de perte de courant (perte source ou A.U), ce contact se referme même si le bouton rotatif est resté sur 1 (pas glop). Donc à la remise sous tension, si j'ai laissé le bouton rotatif sur 1, il faut que ce relais bascule plus rapidement que les autres pour ne pas remettre la machine en marche.
Et comme je n'ai pas confiance dans un relais temporisé, je mets un bouton de réarmement manuel. Je considère que je suis plus lent qu'un relais !
Conclusion :
- En cas de perte tension, K1 perd son auto-maintien et empêche la machine de démarrer
- Au retour de la tension, il faut appuyer sur le bouton de réarmement pour réactiver K1. Mais si j'ai oublié de mettre le bouton rotatif sur 0, K2 inhibe le démarrage.
Donc bouton sur 1, le B.P réarmement ne marche pas, et bouton sur 0, là il marche.
Hello les cadors !
Bon alors ce n'est pas très académique, comme branchements, mais ça m'a permis de tester la chose, et cela fonctionne comme prévu (la machine ne redémarre pas après une perte tension).
Plus qu'à "propriser" les branchements en passant par les borniers, mettre quelques voyants, tirer quelques câbles, et profiter de la life !
J'essaierai, merci dBPs !
Biabsso hummm... ça se calcule ! (pour savoir si c'est une bonne idée)
Car tu ne prends pas de marge mais tu factures ton temps et tes frais de déplacement, donc ta prestation "je vais chercher le matos", sur laquelle tu paies 21,2% de cotisations sociales.
Si tu fais l'autre choix, tu prends une marge qui couvre la prestation "je vais chercher le matos", mais comme c'est une vente tu ne paies que 12,3% de cotisations sociales.
À coût égal de la prestation "je vais chercher le matos", tu (donc le client) paie plus de cotisations sociales avec les débours. Et tu te compliques la vie avec tes grossistes.
(ou j'ai raté un truc ?)
Timothée Delay oui, donc le client paiera 1000 + 200 + 42 = 1242€ en mode débours.
Et en mode "marge", tout dépend de quelle "marge technique" tu vas prendre (puisqu'il faut que tu te paies la demi-journée quand même). Donc si tu prends 200€ de marge, tu ajoutes 15% pour l'URSSAF (puisque 15% sur le prix de base correspondent à 12,3% sur le prix final), ça donne 180€. Au final : 1000 + 200 + 180 = 1380€, c'est en effet un peu plus cher.
Alors Biabsso, bientôt un an après ta question, comment tu t'en sors ?
Heu... Ardennais, je ne suis pas sûr sûr que la question soit encore d'actualité !
Ben si tu réponds à la question, ça la remonte en haut de la liste (et des fois on se fait surprendre à entrer dans un dialogue qui ne devrait pas avoir lieu...)
Yep, mais tu n'en dis pas assez sur ce que tu fais et ta manière de travailler. Comme cela a été dit, entre le bricoleur du dimanche et le pro, entre celui qui vise un état de surface, celui qui vise un changement pratique, celui qui vise un changement moins fréquent, celui qui vise un coût d'exploitation au plus faible... tous les choix sont pertinents.
Ouah, la classe ! Tu vas crouler sous les demandes d'interview maintenant, si tu veux je te fais un tableau excel pour gérer tous tes rendez-vous, tes commandes, ton fichier client, tes déplacements, ta relation clientèle, je te mets en contact avec des fournisseurs, des investisseurs qui adorent la simplicité de la vie (c'est le GROS thème porteur en ce moment)... allez, À FOND Fred, je crois en toi, ne perds pas une seconde ! Avec mon système, ton chiffre d'affaire va monter en flèche, et si tu te démènes, dans 5 ans tu es à la tête d'une entreprise de 40 employés ! GO GO GO !
Eh béh... À côté de ça, la dernière conjecture de Fermat fait pâle figure !
NB : translater est meilleur que "translationner" !
Tiens tiens, tout à l'heure je suis passé ici...
L'avantage, c'est qu'avec des carrelets en bois de 80 cm, ce sera plus facile à manipuler en live que des barres d'acier de 6m !
Oui mais qui a dit qu'il fallait 4 pieds ? Dans la sculpture il y en a 7... il faut voir le nombre minimal de pieds pour connecter le dernier au premier. Quand j'étais jeune j'avais des cours de recherche opérationnelle, c'était typiquement le genre de trucs qu'on faisait (enfin que le prof nous montrait !).
Après le test de Nairod, nous allons avoir le théorème de Nairod (ou la conjecture, si tu as une marge de bouquin sur laquelle l'énoncer...).

Merci EloDesAlpes ! Tu sais, j'ai mis 4 ans à monter mon projet de reconversion (pour d'autres raisons, certes, mais j'ai apprécié d'avoir ce temps...).