Pour le Kitty 696:
Le débit d’air de 37 m³/s, donne 2200 m³/h.
(37 x 60 (secondes dans une heure) = 2200)
Sur le papier le Kitty brasse un volume d’air plus important pour une puissance inférieure, ce qui le donne en premier choix à mon sens pour ces caractéristiques.
Un truc supplémentaire à comparer c’est le bruit qu’ils génèrent.
Dernier truc à étudier c’est les diamètres et le nombre de connexions : quels-sont tes besoins ? Quel est le diamètre sur ta/tes machines ? Si identiques pas besoin de réducteur …
J’ai jamais travaillé ce bois, mais je guette l’occasion d’en trouver pour fabriquer une planche pour jouer au palet Breton ! 
C’est le bois le plus employé pour cet usage.
De la vinylique, même D4, ne tiendra pas éternellement dehors, et le bois stabilisé manque de porosité pour que le collage soit optimal à mon avis.
La cyano en extérieur ne semble pas des plus durable.
L’epoxy semble la plus appripriée pour cette application.
Ça fait 2 questions, en rien des temps, où je suggère de l’epoxy. On va penser que je suis un commercial … 
alors que je préfères au max me passer de ces produits. Mais quand, pour un truc spécifique, c’est le moyen le plus indiqué pour que ce soit durable, ben alors ça me semble être un bon compromis.
Je partirai sur de l’epoxy bi-composante (Araldite en GSB par exemple).
Si la manipulation de la sculpture le permet, je dépolirai la surface de contact avec une petite meule sur un moteur à main (type dremel) pour faire de l’accroche sur l’émail.
Pour le verni, pareil, faire de l’accroche en passant un coup de papier grossier, voire hachurer avec un cutter.
Bien dépoussiérer les surfaces et même dégraisser la céramique (chiffon + alcool par exemple).
Voilà.
Tu colles une série de cubes en enfilade, tu mets l’ensemble sur un tour à bois, tu tournes un cylindre de 45mm, que tu tronçonnera en portion de 40mm. Processus à recommencer pour obtenir tes 20 cylindres, en fonction de la largeur maxi du tour à bois.
Tu auras un peu de pertes mais ça sera certainement plus rapide et précis que de les faire un à un.
Le problème c’est que pour fabriquer un maillet, il faut un minimum d’outillage … dont UN MAILLET. :-)
Mais ya moyen de fabriquer rapido un truc minimal, voir rudimentaire comme ça pour commencer :
Maillet en rondin
Jamais réalisé, un peu brut, mais nul doute que ça fonctionne.
Quelle est votre situation actuelle et vos activités principales ?
38ans, CAP ébéniste en apprentissage obtenu en juin 2025 (version condensée en 1an), CDI depuis depuis 2 semaines dans la petite menuiserie qui m’a accueilli pour l’alternance.
Quelles satisfactions trouvez-vous dans ce métier ?
Mise en œuvre de bois massif en majeure partie, travail varié (fabrication en atelier, pose), projets diversifiés (volets, bibliothèques, terrasse, meuble sous pente, bureau, table basse, devanture de magasin …), travail en équipe, accomplissement de mener un ouvrage de A à Z, travail soigné, recherche de solutions, gratification des clients et des collègues.
Quelles sont les principales difficultés/contraintes ?
Port de charges, fluctuations d’activité (coup de bourre très physique), très chaud l’été/froid l’hiver, poussière, bruit, concentration sur machine dangereuses, travail en équipe. Affirmer ses besoins légitimes dans l’environnement construction du bâtiment encore un peu bourrin (mise à dispo d’EPI, conditions de travail, communication, considération …). Salaire pas ouf.
Votre métier correspond-il à l’idée que vous en aviez avant de commencer ?
À peu près, même mieux pour quelques trucs, mais je réalise et apprécie ma situation très chouette sur certains points.
Quelles qualités ou compétences vous semblent indispensables ?
Nécessite une grosse adaptation si tu ne baignes pas dans un métier manuel où tu bouges beaucoup ton corps.
Appétence pour la géométrie et les maths.
Qu’est-ce qui surprend le plus lorsqu’on découvre ce métier de l’intérieur ?
Nombreuses et parfois laborieuses étapes précises pour obtenir pile le résultat souhaité. Effort cérébral pour suivre et appliquer tout le déroulé logique pour ce résultat. Effort supplémentaire pour envisager les multiples chemins pour atteindre l’objectif, réussir à communiquer avec les collègues. S’entendre sur la méthode la plus appropriée (ratio temps, conso matière, outillage dispo…). Oui, on fait souvent le bureau d’étude sur un coin d’établi juste avant d’attaquer.
Mise à distance du touché bois fantasmé : port de gants, grosses machines outils qui fait le travail, emplois récurrents de dérivés du bois.
Comment voyez-vous l’avenir de la menuiserie (stabilité, perspectives) ?
Métier en évolution permanente, garder une veille et échanger avec les confrères de ton secteur sur ce qu’il se passe dans le monde, comme au bout de ta rue : tensions politique et marché du bois, entreprises qui marchent bien dans ta région, boîtes qui ferment. Pour quelles raisons ? Pour quelles conséquences ?
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui se lance en reconversion ?
Se former sérieusement, en alternance c’est mieux. Se documenter sur les métiers. Faire l’inventaire des opportunités d’emploi autour de toi. Et comme c’est ton premier changement de job : connaître ses envies VS contraintes (temps de trajet quotidien, manger en dehors de chez soi/sur chantier, toilettes pas toujours à dispo, horaires et vie de famille, tous les trucs annexes à ce changement). Passer à l’action (PMSMP, stages informels, …), éteindre YouTube et bricoler un max.
Pour illustrer ce que j'imagine qu'il se produit avec un retrait (dans le cas ou le raccord à 45° est collé et que le joint ne s'ouvre pas).
Suivant les caractéristiques du bois :
- Pas de retrait longitudinal (ou négligeable tellement infime)
exemple : EF = GI - Retrait radial/tangentiel sur les largeurs des planches qui composent les panneaux.
exemple : IJ < FC
Logique géométrique : l'angle à 90° (initialement) devient plus aigu.
Pour éviter les dégâts : ne verrouiller qu'un seul de 2 côtés perpendiculaires.
Donc la bonne réponse à la question est celle d'etiennedesthuilliers il me semble : collage avec fausse languette en fil de travers, astuce au top !
Vu le poids et la surface, un contreventement semble indispensable. Selon où est situé la terrasse, l'exposition au vent est à prendre au sérieux.
Sans être du métier pour des calculs approfondis, j'ai une suggestion qui peut mêler pratique et esthétique : solidariser le cadre de la vitre à un gros bac pour plante (éventuellement un de chaque côté).
Pour la rigidité maximum du cadre j'ai pensé à un enfourchement, mais sans doute pas idéal en extérieur. En tous cas, placer les section 42x70 sur le champ pour une plus grande cohésion des assemblages.
Pas d'avis sur ce produit car non testé.
Mais j'ai un aspi eau et poussière de la même marque, avec la prise asservie ça rend bien service. Mais attention au bruit ! C'est abominable.
Cette info n'est pas spécifiée sur la fiche du produit que tu cites, à mon avis il faut donc s'attendre au pire ...
Perso je trouve que c'est une caractéristique importante, en plus de connaître l'efficacité, etc...
Alors je ne suis pas charpentier (mais j'ai compris la question) et je suis curieux des réponses qu'apporteront celles et ceux du métier.
Cela dit j'ai une proposition, à voir si elle peut être corrigée au passage par des pros ... ?
Le chevêtre semble être pris dans le mur, je le prolongerais jusqu'à la solive entière, pour supporter la solive boiteuse avec une rencontre à mi-bois.
Je sais pas si c'est une méthode académique et ni si ça peut tenir, à voir selon les sections et longueurs, mais là je ne saurais donner des indications.
Ou alors simplement prolonger le chevêtre jusqu'à 4ème solive et oublier la partie en porte-à-faux de la 3ème solive (plus grande trémie, de forme rectangulaire).
