c'est une bien difficile question:
Le choix d'une essence se fait plus en fonction de la nature du sol, il faut la connaitre afin de choisir l'essence que l'on désire planter. C'est une réflexion impérative.
Mais cela ne suffit pas pour faire de beaux arbres car il y a des techniques de sylviculture qu'il faut maitriser et malgré cela, rien ne dit que tes arbres seront beaux, grands, et surtout désirés. Tous dépendra du marché à l'heure ou tu couperas ou vendras ta parcelle.
Cette pousse est conditionnée à une compétence, les aléas climatiques, l'origine de tes plants, l'exposition au gibier, et la taille de la parcelle. Sur une micro parcelle il est préférable de rester dans le conventionnel.
Si tu restes sur des essences forestières locales regarde autour de toi ce que les parcelles voisines produisent. Pour des essences "exotiques" il est préférable de maitriser la situation. Sinon les fruitiers, comme le cormier, alisiers sont des essences précieuses mais pas qu'elles. les gros ifs bien conformés sont également très recherchés par exemple.
Si chaque propriétaire savait ce que vaudra ces arbres dans 100/130 ans, tu imagines bien que les forets en seraient remplies. C'est bien à cause de cette incertitude que l'on parle d 'essences refuges car malgré un cours chaotique le chêne, surtout de qualité, trouve toujours preneur. Ce qui n'est pas le cas de la plupart des autres essences.
Le plus bel exemple est l'alisier torminal qui valait plusieurs milliers d'euros le mètre cube dur pied à la fin du siècle dernier et aujourd'hui il se vend en bois divers à quelques dizaines d'euros le mètre cube. La mode est passée par là.
Sans connaissance particulière je resterais sur du classique ou alors entoure de gens compétents.
sur le roulement il y a une référence, Mafell ne fait pas probablement pas ces propres roulements mais les achète. Avec cette référence tu dois pouvoir te dépanner. DE toutes manières avec le diamètre extérieur, son alésage et son épaisseur ainsi que la vitesse de rotation tu dois trouver le roulement dans le commerce
pour rattraper je pense que le ponçage devient inévitable. Tu as du trop charger en fond dur pour avoir un tel effet, c'est bizarre car le fond dur est quasi transparent. attention de ne pas faire la même chose en vitrifiant, éviter les surcharges, travailler vite, croiser ses passes et finir dans le fil du bois
Quand tu regardes la conception d'un lit tradi, le sommier repose souvent sur deux lattes 50x30 posées à plat et reliant les long pans. J'ai déjà fait un lit comme ton projet avec de grands tiroirs de rangement en dessous. En fait j'ai fabriqué une espèce de placard horizontal sur lequel j'ai posé mon sommier et matelas. Rien ne bougent depuis des années alors que l'usage est quotidien et que les enfants font le pitre dessus.
Les entretoises sont en 30 d'épaisseur étayent régulièrement. Il faut juste que tes cloisons séparatives des tiroirs soient bien verticales et immobilisées.
Va sur ma page si tu veux , Boris a fait quelque chose de similaire également.
A mon avis la bille de noyer non débitée est probablement hors d'usage hormis pour un tourneur. Le bois a du gercer en profondeur en séchant.
Pour le plot, je ne pense pas qu'il s'agisse de pommier , je dirais plutôt du chêne. La grume est petite et sa valeur très limitée, sur un tel arbre il faudra en jeter la moitié, mais cela peut intéresser un bricoleur. En plus on voit des attaques d'insectes, les petits tas de sciure sont bien visibles, mais il peut s'agir que de l'aubier, à voir sur place.
Pour un usage fréquent et une utilisation pérenne, j'irai plus sur de la marque tel que bessey ou Piher ou autre. Ce n'est pas parce qu'ils se ressemblent qu'il se valent.
A épaisseur égale l'acier peut être différent.
Au début cela va toujours mais avec le temps les serres joints se déforment, glissent et à chaque fois je me dis que je n'aurai pas dû écouter mon porte monnaie, bien que j'en comprenne souvent ces raisons.