avec cette somme de disponible tu peux trouver déjà du matériel correct en occasion, attention il faut également de l'outillage en parallèle comme des serre-joints, des outils de toupie.
Ces accessoires tout confondus représentent également pas mal d'argent et il ne faut pas les oublier car ils sont indispensables.
Ensuite quand tu évoques que tu veux faire de la menuiserie il faudrait également que tu nous définisses plus précisément tes objectifs.
Entre faire un meuble, une étagère ou une porte fenêtre, ce n'est pas tout à fait le même matériel. L'autre aspect de ta question est la place dont tu disposes ce qui t'oriente vers la taille des machines (combinées ou individuelles).
Pour conclure reprécises stp ta question; Bonne chance
vérifier qu'il s'agit bien de bois massif et si oui, ponçage et ensuite mise en teinte, jusque là pas de problème.
Essais de teinte en dessous de la table. Pour moi c'est plutôt un chêne moyen mais bon tu es mieux placé que moi pour avoir le bon choix.
Pourquoi un vitrificateur et pas un vernis. Si le vernis est compatible avec la teinte, le vitrificateur aussi. On teinte bien les escaliers ou parquets.
Vérifie avant et sous réserve que je ne dise pas une connerie , Rubio est une huile et non un vernis. Sur ce site il y a souvent des retours négatifs sur les plan de travail avec rubio, après je conviens qu'il faut voir la mise en œuvre.
Cette table est âgée et fait partie d'un ensemble, qui a du être vernie ou ciré. Il serait bon de rester sur les mêmes finitions si tu veux la ressemblance avec le reste. A cette époque on ne l'huilait pas les meubles.
l'épaisseur de sciage est logiquement standardisé 27 34 40 45 54 . dans le sens de l'épaisseur le bois perd peu, en revanche suivant la qualité du bois, les conditions de séchage et son stockage, la planche va se déformer, se gauchir.
C'est là que tu vas perdre de la matière afin de la rende à bouveau plane, dégauchie afin de pouvoir la travailler en vue d'une réalisation.
Pour avoir du 27 fini ou du 35 il te faut viser au dessus de ces tailles, 3 à 4 millimètres si le bois est correct sinon plus.
Tu as un modèle sous les yeux , inspire de la manière dont ils ont procédé afin de savoir comment aborder tes difficultés.
Pour le choix de l'essence, tous les éléments porteurs en bois dur et le remplissage avec le reste comme le tilleul.
Pour la réalisation du solivage, je ferai ainsi:
je réalise des mortaises ouvertes dans mes poutres, ensuite j'installe mes solives mais avant je fais un méplat sur la face inférieure afin que l'appui sur la poutre soit le plus correct possible. J'installe l'ensemble en essayant de faire au mieux au regard de leur forme.
Puis je mettrai un niveau laser régler sur la face supérieure de la poutre de référence et tout les solives qui dépassent de la ligne laser sont redescendues au trait avec un rabot électrique.
Cette solution t'évite de devoir passer chaque solive sur la scie à ruban. Porter et surtout maintenir des pièces lourdes, longues et faire un sciage droit relève à mon avis du petit bonheur à la chance.
Mais attendons les autres solutions!
Cocom résume bien la situation, tous les avis sont dans la nature.
L'angle faible est destiné au travail de bois de bout, ce qui n'est pas le plus fréquent.
Les autres font le reste. De mon point de vue le 62 n'est pas le plus polyvalent, c'est un rabot spécifique pour le recalage, mais tu peux recaler également avec un 6 ou une demie varlope en bois. En plus c'est un rabot fragile par sa conception et trop léger à mon gout.
Tu peux jouer sur les angles d'attaque en changeant les fers mais c'est un peu galère si à chaque fois il rerégler la bête.
Pour moi le plus utile est celui que l'on rencontre le plus, soit un N° 4 ou 5, ce n'est peut être pas par hasard.
Pour finir c'est bien à toi et en fonction de ce que tu fais qui va définir le rabot qui te convient le mieux.