Bonjour
Le choix de la colle dépend en partie de la qualité de tes assemblages tenon/mortaise. S'il n'y a pas de jeu après un bon nettoyage de la colle blanche suffit, mais bien barbouillée. Dans ce cas tu as de bonnes surfaces de contact pied/traverses. En cas de jeu oriente toi vers une colle plus épaisse, comme les colles animales, ou PU. L'époxy me semble exagérée.
En fait si tes chaises sont utilisées dans des conditions normales à savoir sur leurs quatre pattes, il n'y aura pas de souci.
La colle que tu décrit est une colle chaude industrielle probablement appliquée un lundi ou un vendredi!!!! elle est généralement déposée dans la mortaise et le tenon la pousse au fond mais lui reste sans application.
C'est une problème que j'ai déjà rencontré et j'avais utilisé en remplacement de la colle blanche.
Bonsoir
Ile de France c'est un peu vaste comme localisation, juste pour te dire que je regrette parfois de ne pas habiter le 77 car il y une solderie qui propose régulièrement des produits bois à des tarifs intéressant. Elle est presque en permanence sur le bon coin, elle se situe à Isles les Meldeuses? Regarde de ce coté et si c'est géographiquement compatible avec ta localisation, tu n'as pu qu'à devenir un bon client pour espérer de bonnes affaires.
Bonsoir
Perso je mettrai un fond rien que pour me faciliter la vie au niveau des fixations des parois verticales
un fond logé en rainure n'a pas besoin d'être fixé mécaniquement
perso je mettrai le fond en applique cloué ou vissé afin de rigidifier l'ensemble, bien qu'il soit dans une niche. Mais plus simple à mettre en œuvre comme il ne sera pas visible.
maintenant tu auras certainement d'autres idées, à toi de choisir
Bonsoir
il aurait fallu une photo de l'autre coté de cette porte
On dirait que le tout tient dans un cadre dont les traverses horizontales on une épaisseur diminuée de la valeur de l'épaisseur des lambris. C'est l'idée que cela me donne mais ce n'est pas un montage fréquent. Enfin je ne suis pas sur de ma point de vue.
Bonjour
Tu achètes une lame en fonction des tes travaux mais en tous états de cause ton couteau diviseur ne doit pas être plus épais que ta lame. Sinon comment vas-tu faire pour scier. Le couteau diviseur ne vas pas passer dans le trait de scie de la lame, et certaines difficultés d'exécution sont à prévoir.
Le couteau diviseur doit être légèrement plus fin que la scie . Lors de certains sciages le bois travaille immédiatement et génère des contraintes sur la lame. Il la serre au point de la ralentir et faire peiner le moteur. Le couteau diviseur empêche cette situation et minimise les rejets dans ces circonstances.
Bonjour
le premier est un guillaume au sens que moi je t'entends, outil haut afin d'être maintenu aisément au dessus de la zone de travail sans penser à ses doigts, il peut reprendre feuillure et tenon, bois de bout ou non. Il est également étroit par conséquent plus stable sur les zones de travail de faible largeur.
Le second est à mon sens plus un rabot dont le fer vient jusqu'au extrémités de la semelle. Il est large et son usage plus limité aux surfaces larges avec un bon appui. Il va te permettre d'approcher un angle droit ce qu'un rabot classique ne sait pas faire.
Mais toujours d'après moi ce n'est pas un guillaume à mon sens mais cela n'engage que moi.
Bonjour
Il y a une bonne vidéo de Philippe Morand sur la céruse où il colore sa céruse.
Je pense que c'est sur YouTube mais je ne suis pas certain. Philippe est un membre de l'ADB tu peux toujours lui envoyer un message en privé.
Mais pour avoir déjà sollicité bernardrebout tu as un solide allié.
bon courage
Bonjour
Je ne suis pas certain d'apporter la bonne réponse car c'est avant tout un problème de terminologie.
A mon sens tous les rabots sont des outils de coupe et les rabots d'atelier une catégorie dans cette classification.
Pour moi un rabot d'atelier est un outil qui sert essentiellement aux travaux de conception en l'atelier. C'est à dire que logiquement tu ne l'emmène pas sur chantier.
A titre d'exemple je dirais que si tu fais un assemblage rainure/languette généralement tu le fais à l'atelier lors de la fabrication et non sur chantier lors de la pose.
Maintenant tu as le droit de tout faire là où tu veux. Cette règle n'est pas figée.
Perso je comprends cette classification ainsi.
Bonjour
Il y a beaucoup de questions dans ta question
avec un panneau plaqué tu joues la sécurité mais cela n'a pas la même gueule que le massif mais il te faudra faire des alèses sur les chants visibles.
Oui il te faut anticiper les mouvements du bois du moins essayer
1: ton principal risque est là: travailler avec un bois sec, si tu peux tu le stockes quelques semaines dans la pièce où ton meuble sera. Essaie de prendre du bois sur quartier et évite les planches très larges. Il vaut mieux avoir un ou deux collages de plus qu'une belle planche bien large.
2: tu choisis un type d'assemblage et tu en reste là; Tu raisonnes toujours un peu comme à la réponse 1 mais sur les caissons le risque est moindre car les pièces sont plus prisonnières et de taille moindre que le dessus
3: le problème ne vient pas de là. Et tel était le cas tu peux toujours les bouger légèrement par la suite. Mais je ne vois pas de soucis particulièrement sur ce point. De toute façon les charnières sont des pièces amovibles alors la réponse est dans le réglage
en espérant t'avoir aider
Perso au vue de l'état de la joue de mortaise j' en referai une nouvelle. Le bois est fissurée de partout et je doute de sa résistance. Si possible en épargnant le parement pour des soucis de finition. Ensuite remontage et collage. Je déconseille un faux tenon qui aura pour effet d'affaiblir la traverse.
Certaines chaises industrielles sont assemblées avec de la colle à chaud qui est pâteuse/épaisse. Si le tenon n'a pas été parfaitement barbouillé de colle, celui-ci pousse la colle au fond de le mortaise. De fait l'assemblage est partiellement collé. En sus elles sont peut être assemblées à grande vitesse par des personnes peu regardantes car la trace de colle sur le coté ne fait pas la largeur de contact des pièces.
Maintenant une chaise c'est fait pour être utilisée sur ces quatre pattes. C'est C?N à dire mais sans le respect de cette règle, la répartition des forces change.
Bonjour
Cette manip existe depuis longtemps pour la fabrique de descente d'eau en bois. L'outil utilisé est une tarière surdimensionnée. La pièce de bois à percée est fixée à l'horizontale et le travail s'effectue à hauteur de ceinture. L'outil travaille comme une mèche à bois en version big big avec de temps à autre des rotations inverses pour désengorger. la section de la mèche est telle qu'il a pas de flexibilité permettant un déport. L'outil est également posé et non porté pour des problème d'alignement.
La plus grande difficulté est à mon sens de trouver cette tarière actuellement.
Sinon j'opterai pour un toupillage en creux de deux pièces assemblées ensuite par cerclage, ainsi tu n'a pas de colle. Je n'ai pas lu tous les commentaires mais il serait bon de connaitre la destination d'une telle réalisation
Bonjour
Il faudrait connaitre quelle est la structure porteuse, dalle ciment, poutre
Ensuite placer ta machine bien à la verticale d'un élément porteur comme un mur de refend.
Isoler phonétiquement le sol et placer les machines sur des patins anti vibrations.
Je pense que cela doit aller, il est difficile de répondre plus précisément sans connaitre la nature de la construction.
Maintenant le hic est de monter tes plots et redescendre les produits finis.
Tu pourrais peut être laisser en bas la format et faire en haut les travaux de montage ou de finition ainsi que du stockage.
Mais dans tous les cas j'exploiterai cette place.