
Salut, compliqué de faire un cadre de porte a onglet tenu par des dominos qui tienne dans le temps, surtout en extérieur.
Tenon large dans les traverses hautes et basses, bien ajusté dans les mortaises, chevilles et écharpe. Pense à ajouter un pièce (bois, zinc...) sur le dessus de la traverse haute pour prévenir des entrées d'eau si elle est absolument exposée.

Salut, j'ai lu ton pas a pas. Un seul domino suffit (principe du faux tenon qui bloque la rotation). En revanche les 6x40 me semble un peu court. Ça ne laisse que 20mm de chaque côté. Une solution, si tu veux pas façonner tes domino toi même (assez facile avec une scie sous table et une affleureuse) est de les acheter au mètre. Tu peux alors faire un usinage plus profond (profondeur max 28mm si tu as la DF500). Attention aussi à la colle utilisée, la PU n'est pas forcément la solution miraculeuse en extérieur (discussion en cours a ce sujet sur l'ADB).
Ça va te faire un sacré budget domino ça!

Bonsoir, je vais répondre un peu a côté de ta question, mais après un rapide calcul a la louche, si tu as la possibilité de travailler le massif, cela te reviendra nettement moins cher de tout faire en massif plutôt qu'en panneau. Le prix au M3 du panneau c'est autour de 5/6000€, alors que le massif en scierie on le trouve pour 3 a 4 fois moins cher. Même avec les pertes au débit et le temps de travail, y'a pas photo.
Et pour le massif, si tu en as, regarde les scieries locales, bien plus sympa et abordable que les grands distributeurs.

Salut
1- sur de telles dimensions un plateau monoxyle (si j'ai bien tout compris en plus fixé sur des caissons) va forcément fendre, tuiler, gauchir etc... Le charme du bois! Et vouloir le contraindre avec des fers plats ou une armée de vis de résoudra rien a l'affaire. Tu trouveras sur l'AdB beaucoup de sujets qui traitent de cela et les techniques qui permettent de limiter ces effets. Mais vu ton stade d'avancement c'est un peu tard je pense. Pour ta fente actuelle, tu peux poser un papillon. Ça limitera la déformation et puis ça reste bois sur bois.
2- vernis oui ou huile type Rubio.
3- si tu veux limiter la pétrochimie, tablettage très soigneux et bourrer l'interstice avec de la filasse trempée dans du plâtre. Ou alors cordelette en chanvre collée, c'est tendance actuellement !
Beau plateau sinon


Bonjour, j'ai eu le même constat de levier en butée machine neuve et de trop peu de force de serrage avec le temps.
Je n'ai pas la machine sous les yeux la tout de suite, mais j'ai résolu le problème en démontant, il me semble, le levier et en le repositionnant au neutre avec une course plus grande... Pas facile a expliquer mais évident a faire. Il me semble qu'il y a une vis dans l'axe du levier qui permet de faire ça. Depuis plus de problème et un serrage efficace.

Bonjour,
les assemblages par enfourchements que tu proposes sont "pire" que des tenons mortaises en ce qui concerne la sensibilité à l'humidité extérieures. Après, les deux fonctionnent une fois couverts! Les problèmes d'infiltrations interviennent dans le cas d'ouvrages exposés (terrasses, rambardes, pergolas etc...). Mais une fois la couverture posé, pas de soucis. Dans ton cas, effectivement, si de longs mois se passent entre chaque étapes, ça peut être problématique.
Donc, tu peux rester sur ta conception initiale ou partir sur la version 2 et si tu laisses passer du temps entre chaque étape, recouvre ta charpente par une bâche ou un bout de pare pluie pour la protéger le temps d'arriver à un ouvrage couvert.
PS: je ne vois pas si ton ouvrage sera fixer sur des murs ou non, mais il faudrait ajouter des liens a chaque poteau si tu veux un contreventement efficace (mais peut être n'en as tu dessiné qu'un pour la lisibilité?).
Bon courage.

Salut, alors mécaniquement, a qualité de bois identique je dirai que c'est pareil...
En revanche sur une section aussi importante qu'un montant de porte de grange (a priori donc exposé à l'extérieur), coller efficacement deux planches l'une sur l'autre me semble compliqué : il fait un surface de contact parfaite, un serrage sans défaut (prévoir des dizaines de serres joints), deux planches qui vont travailler à la déformation dans le même sens etc...).
Pars sur une section de montant unique, ça me paraît plus simple. Enfin, c'est mon avis.

Salut,
J'ai réalisé il y a 4 ans un escalier extérieur avec rambarde en douglas, le tout assemblé (y compris les barreaux) avec des domino fait maison en ... Douglas ! Le toit collé a la PU en cartouche. Rien n'a bougé.
Et il y a 2 en barrière de jardin sur le même principe collée cette fois a la vinylique D4, idem rien n'a bougé.
Pourtant dans les deux cas bien exposés aux intempéries pluie et neige (climat de moyenne montagne en Savoie).

Idem que tout le monde: la pince de 8 est merdique et nécessite un serrage avec les deux clefs, pas juste avec le bouton de blocage. Il faut vraiment serrer fort. Ainsi je n'ai jamais eu de problème.
Ça n'a pas l'air d'être le cas vu les photos mais attention également au fraise trop lourde ou avec du balourd. La tenue dans ce cas n'est pas terrible et ça sort petit a petit.
Après c'est une affleureuse certes assez puissante et avec une embase type défonceuse mais ça reste pour du "petit". A utiliser en complément d'une grosse défonceuse pour les travaux conséquent.

Alala, le bordel dans l'atelier, vaste sujet!
En ce qui me concerne, le remède passe par deux aspects:
D'abord prendre du temps pour fabriquer des rangements pratiques et ergonomiques pour les outils. Il m'arrive encore régulièrement de prendre une paire d'heures pour me fabriquer un rangement en plein milieu d'un projet, juste parce que j'en ai marre du bordel ou parce que c'est pas pratique de sortir l'outil de son (non) rangement actuel. Et je pousse le vice a faire un vrai rangement en beau bois avec des vrais assemblages et pas juste trois bouts de liteaux en sapin et 4 vis. J'ai plaisir à l'utiliser et donc a ranger!
Ensuite prendre un vrai temps (de l'ordre de 20' en ce qui me concerne) en fin de journée de travail pour ranger les outils a leur place, stocker les chutes de bois valorisables, débiter et ranger les chutes qui iront au poêle de masse, balayer, vider les sacs de copeaux, bref rendre l'endroit accueillant quand j'ouvrirai la porte le lendemain.
Et dans mon cas ça marche, l'atelier est souvent rangé et c'est tellement plaisant de le retrouver propre que ça ne me coûte plus beaucoup d'efforts.
Ceci dit, grosse journée chaude aujourd'hui, j'ai un peu laissé le bordel...je sais que je le regretterai demain !!

Bonjour, je dirais non, le lamello n'aura pas une résistance suffisante en cisaillement. Et le collage en bois de bout n'ameliorera pas grand chose.
Tu peux utiliser un usinage d'assemblage a la défonceuse (fraise a onglet verrouillé par exemple avec ainsi une grande surface de collage), un usinage queue d'aronde (au en plus sera esthétique), ou alors faux tenons ou fausse languette de dimensions généreuses. Sinon, rapide mais plus basique des tirefonds et tu cachés la tête avec un bouchon de bois...
Bon courage!

Salut, travail de bénédictin, voué à l'échec, pour les raisons évoquées par tout le monde!
Tu as une idée de ce qu'il y a comme support derrière le lambris et ses liteaux?
Si c'est de la pierre ou de la brique, une solution peu coûteuse mais un peu chronophage (quoique très sympa a faire a plusieurs) c'est enduit argile. Idéal en rendu, ressenti et pour rattraper un support un peu inégal. Compliqué sur du plâtre par contre...
Bon courage !