

Pour des diamètres similaires et une finition similaire, la longitudinale a moins de dents.
Citation de Bonbonveronbi il y 2 ans :
Délignage : Denture plate avec un nombre de dent limité pour travailler avec un copeau épais de 12 à 20 dents un profil anti recul et des racleurs pour mieux évacuer le copeau peu être un plus. Angle de coupe au alentour de 25°.
Tronçonnage : Denture alternée angle de coupe de de 10° à 15° degré pour une bonne qualité de coupe. Un nombre important de dent diminuera l'épaisseur du copeau et augmentera la qualité de sciage ainsi que la note de l'affutage.

Perso, je ne passerais pas trop de temps sur ces mi-bois qui ne se verront pas.
Je fractionnerais les montants verticaux en autant d’étagères.
Je fixe un montant au mur, pose mon étagère au dessus, fixée par vis en biais (car boit de bout) et recommence avec le niveau supérieur. Le nouveau montant cache les vis du niveau inférieur.
Pour garder des alignements propres des montants, un domino ou une paire de tourillons.
Deux inconvénients à cette méthode : chaque bout de montant doit être fixé au mur. Un étagère ne peut être démontée individuellement


Sortir l’air se heurte comme tu l’as dit à perdre la chaleur qui va avec. Et en prime faire entrer de l’humidité avec l’air neuf extérieur. Si tu travailles ou stockes du massif ou apprécie d’avoir des outils métalliques impeccables sans piqure de corrosion, c’est cuit.
De plus, il faudrait être sûr de sortir l’air qui contient les particules de bois. Vu ton volume important, le rendement sur cette tâche risque d’être faible.
Aussi, si tu veux un air assaini, la captation sera plus efficace à proximité des zones de production de poussière et des zones de travail. Ça fera beaucoup de tubulures pour sortir ça dehors.
En conclusion, filtrer et rejeter sur place me paraît préférable. Apres bien sûr avoir soigné l’aspiration sur les machines stationnaires et portatives.

La résine époxy a une adhérence limitée. Ce n’est pas une colle, même si à l’état non polymerisé, elle semble coller.
Sa capacité de fixation réside surtout aussi dans l’effet mécanique obtenu par sa pénétration dans les anfractuosités des matériaux avant polymérisation.
Si le matériau est trop lisse, notamment sur une surface réduite, tôt ou tard, ça peut se séparer.
Aussi, pour améliorer la tenue, il faut on peut réaliser une forme adaptée. Ici, tu pourrais percer le manche en métal par quelques trous de manière à ce que la résine y pénètre et fasse une liaison mécanique entre les deux plaquettes décoratives rapportées.
Le « serrage » en phase de polymérisation ne devrait servir qu’à maintenir les pièces en place. Il n’a aucun rôle dans le collage proprement dit au contraire d’une colle vinylique par exemple. Notamment, il ne doit pas presser au point de supprimer le film de résine. Un peu de scotch de peintre pourrait suffire.
Correction : désolé pour les gens qui ont voté pour ma réponse mais j’ai fait une grosse confusion avec une résine que j’utilise parfois mais qui n’est pas une epoxy mais une polyester. J’ai donc écrit des bêtises ci-dessus : une résine epoxy bi-composant a de bonnes capacités d’adhérence sur de nombreux matériaux dont l’acier. Elle réagit chimiquement lors de la polymérisation avec le bois.
Le souci peut provenir d’un défaut de dosage du durcisseur ou d’un mauvais mélange de celui-ci, voire d’une surface grasse. Ou alors d’un serrage trop puissant qui expulse toute la résine des plans de collage. Ou d’une polymérisation incomplète (température insuffisante par exemple).

Une tenue pour l’atelier : pantalon à poches cargo, chaussures basses de randonnée Asolo en cuir souple, chemise type bûcheron ou sweat coton, béret en feutre.
La poussière se gère par une bonne aspiration.
Les collages et peintures se font avec une blouse.
Une autre tenue bien plus chic pour les déplacements clients et fournisseurs : pantalon bleu, polo bleu, largement brodés au logo de ma boîte. L’hiver, un blouson brodé pareil. Je me transforme en panneau publicitaire.

Ce serait dommage de casser la magie de la patine, en effet.
(Si tu as de quoi faire, fabrique un objet adapté aux bijoux).
Mais le raclage au ciseau est une technique qui permet de nettoyer le fond et d’aller dans les angles sans trop de dégâts. Il faut le saisir par la lame près de l’arête coupante et s’en servir donc perpendiculairement à la surface.
N’imagine cependant pas remettre à neuf. Ce serait plus facile de construire un nouveau tiroir.

C’est techniquement possible.
Tu ne seras pas conforme au DTU mais ça ne regarde que toi.
Je vois essentiellement deux contraintes techniques et une contrainte de sécurité :
- s’assurer que l’eau de pluie s’évacue aujourd’hui correctement sous les dalles ET conserver un accès de visite vers l’évacuation Et qu’il n’y a pas de souci d’étanchéité si c’est en étage. Ceci entre autres afin de ne pas pourrir ton bois prématurément.
- la fixation des lambourdes étant impossible, la terrasse bois va tenir par sa masse (si celle-ci est significative) et si possible par un calage latéral sur les murs. Attention si prise au vent possible que la terrasse ne se soulève pas. Éviter donc de trop fractionner les longueurs de lambourdes et lames.
- si ta terrasse est en hauteur avec garde-corps, tu dois maintenir la hauteur minimale de ceux-ci au dessus du nouveau sol fini.
À toi de gérer les autres aspects, administratif, réglementaire, communication avec les voisins, poussières générées par les travaux, juridique (conformité au règlement de copropriété, non dégradation ni salissures (tanins) des sols et façades de la copropriété, démontage ultérieur, présentation du projet ou non en assemblée générale, etc.). Certainement le plus difficile voire impossible en copropriété.

Je ne suis pas charpentier.
Un bâtiment de cette taille, ça ne s’improvise pas, ça se calcule par un bureau d’étude bois.
Ceci dit, je sais qu’il est nettement plus facile d’obtenir une grande résistance à la compression (pour la reprise de charge) pour un appui qu’une grande résistance à la flexion pour une poutre.
Par ailleurs, le raisonnement sur l’appui central est incomplet : en effet, la divion d’une poutre simple en deux poutres ne change pas le poids total statique à supporter.
L’appui terminal porte une demie poutre alors que l’appui central doit porter la demie poutre de gauche et la demie poutre de droite. Il est donc nécessairement plus costaud que les appuis d’extrémité.
Par ailleurs, l’assemblage de deux poutres au-dessus de l’appui central est plus complexe et coûteux qu’une fixation d’appui simple.
Enfin, la résistance à la flexion de l’ensemble de la poutre est meilleure avec une poutre unique.
Bref, je ne vois pas où l’est l’avantage technique de diviser ses poutres (à part des considérations de disponibilité de certaines longueurs ou de contraintes de mise en place selon les moyens de levage ou de prix).

Je te propose d’utiliser une joue interface. Elle sert de fixation ou de finition. La fixation est faite par 4 écrous papillons par l’intérieur du meuble bleu.
Meubles fixés ensemble : la joue vient se glisser dans deux glissières métalliques du meuble vert.
Meuble bleu solo : la joue cache les trous sur la face du meuble bleu.
Voir dessins.

Ta question est hélas beaucoup trop vague pour y répondre valablement. À quoi ressemble ton lit, quels composants devraient être démontables, quels outils, compétences et budget as-tu pour poser des ferrures ? Etc.
Les fournisseurs de ferrures sont très inventifs. Beaucoup de choses existent.
Tu trouveras en ligne nombre de références.

Je ne sais pas répondre précisément.
Mais si ton banc tel que sur la photo est prévu pour l’extérieur non abrité, il ne va pas résister longtemps. Il y a trop d’endroits où l’eau va s’installer durablement et faire pourrir.
Il faut déjà éliminer les surfaces horizontales (créer des pentes ou des arrondis pour évacuer l’eau), les zones de contact étendues entre les bois (séparations systématiques), éviter les pièges à eaux (assemblages borgnes, etc. ).
Ensuite, il faut concevoir chaque assemblage pour accompagner les mouvements alternatifs du bois. Ici, les coupes d’onglets des accoudoirs sont trop fragiles.
Même un bois adéquat capable d’être aux intempéries aura besoin de sécher régulièrement pour rester sain.