
Je n’ai pas vraiment d’avis sur l’utilisation sur du bois d’un produit céramique créé pour la carrosserie automobile (nano particules qui vont naturellement se loger dans les creux de la couche de peinture sous-jacente).
La principale propriété d’une céramique est l’effet déperlant.
Cela va ralentir l’encrassement atmosphérique et faciliter le nettoyage. Le reste c’est promesse marketing (brillance, protection, couleur, etc.)
Est-ce utile sur du bois ? Sur une belle laque polie, pourquoi pas. La compatibilité entre produits chimiques n’est cependant jamais assurée. Quels sont les effets de long terme ?
Ceci étant dit, n’importe quel produit céramique similaire peut remplacer le produit non distribué en Europe, les références ne manquent pas : Meguiar’s, Shine, GS27, Protech, Alchimy, etc.

La performance d’Un aspirateur à copeaux se mesure par son débit d’air généré ET la vitesse du flux d’air.
Si tu réduis le diamètre, la vitesse de l’air va certes augmenter mais le débit va diminuer. Pas sûr donc que ces nouvelles caractéristiques soient meilleures que les anciennes.
(Un aspirateur à poussière domestique a besoin d’un fort pouvoir de succion pour arracher la poussière notamment des moquettes et tapis, ce n’est pas le cas des aspirateurs à copeaux.)
Pour optimiser tes perfs, il faut limiter les changements de direction du tube, à garder donc le plus droit possible, avec de grandes courbes si nécessaire (deux coudes à 45 au lieu d’un seul à 90 par exemple), utiliser un tube lisse (plastique ou métal peu importe sauf en effet l’électricité statique), éviter les changements de diamètres, garder un tuyau spiralé au plus court seulement pour les raccordements machines indispensables (rabot, cape de scie stationnaire, etc).
Et décolmater son filtre tissu régulièrement.

Le séchage progressif de tes bois va certes réduire leurs dimensions transversales mais potentiellement déformer les longueurs (torsions, vrilles, fentes).
Hormis les fixations par vis qui pourraient être soumises à des efforts anormaux et s’ouvrir voire céder, le résultat relève essentiellement de l’esthétique.
Le taux max pour des lames de terrasses est de 18%. La fixation des lames permet de limiter fortement (mais jamais totalement) les déformations géométriques.
Dans ton cas, tu n’empêcheras pas tes sections de 150 de bouger.
Perso, j’attendrais un taux de séchage à cœur de 18% avant de travailler.

Une bonne source de produits : ici.
Relève les côtés de la rainure (largeur et profondeur) pour chercher ce qui s’y insérera.

Perso, je distingue ce qui relève d’une décennale (le bâti) et ce qui relève d’une simple garantie légale de deux ans (les agencements).
Le bâti, je n’y touche pas, notamment, pas de modification du tableau électrique, ni ajout de prise électrique murale, etc.
Concernant les agencements, ton assurance RC pro couvre les dégâts éventuels que tu provoques lors de ton chantier et après.
Plus particulièrement sur les branchements électriques, les risques sont limités : surcharge du circuit sur lequel tu te branches, protection des câblages et matériels que tu installes (dont bonne ventilation des éventuels transformateurs d’alimentation), chaleur dégagée par les LED (donc profilé alu si besoin), etc.
Donc, j’assure le SAV durant ces deux années (ce point est indiqué dans mes CGV) et je limite fortement mes interventions futures en choisissant du matériel de qualité ET dont les pièces détachées seront encore disponibles sur cette période. Ça me coûte moins cher de dépenser quelques euros en plus que de devoir remplacer par la suite un ruban LED encastré. Bien sûr, j’évite de coller mes installations électriques, c’est vis ou clips systématiquement.
Pour l’instant, aucun souci.

Tu mélanges dans ta phrase la carcasse et le voile ?
En effet, tu peux fixer un placo type BA13 sur une ossature légère en bois.
Ou à l’inverse, un panneau bois sur une ossature métallique.
Du coup, que cherches-tu à éviter concernant la cloison placo standard ?
Ce ne sera pas plus difficile à démonter si ce n’est que ça produit de la poussière.
Perso, j’avais réalisé un petit faux plafond en panneau bois aggloméré. Tous les joints ont rapidement fissuré, même en mettant un mastic souple pour accompagner les mouvements. Si tu persistes avec un voile bois, laisse les joints libres (rainure languette non collée, feuillure de recouvrement, etc.)

Aucune des 4 ne me conviendrait dans ta situation.
Même la Bosch que j’avais en version 800 est mauvaise avec une plongée insuffisante et en effet, son arbre de guidage unique qui coince.
J’irais écumer leboncoin pour trouver une machine de marque. Il y en beaucoup à tous les prix.
[Une trouvée au hasard en 2 minutes.](Voici une annonce intéressante que je viens de trouver sur leboncoin : leboncoin.fr/a...lage/1902103605)

Je prends comme données d’entrée ces deux essences très distinctes mais je pense, techniquement parlant, que c’est un mélange inadéquat. Les épaisseurs choisies sont en outre très surdimensionnées. Soit.
Tailler un assemblage à queue d’aronde dans du pin, mou, c’est compliqué et aller au devant de soucis.
On peut rester discret avec de simples vis, placées dans le chant des panneaux acacias, qui seront dissimulées ensuite par un bouchon de bois coupé à ras. Par prudence, je placerai une rondelle plate sous la tête de vis (vis à tête ronde) car sinon, elle s’enfoncerait sans vraiment serrer.
L’épaisseur importante des panneaux horizontaux devrait assurer une stabilité suffisante pour se passer de contreventement.
Au pire, une fixation murale remplira ce rôle.

Si la hotte marche bien (évacuation de préférence à recyclage) et la cuisine normalement chauffée, l’humidité de l’air ne pose pas de problème particulier. Une condensation ou des projections seraient en revanche problématiques.
Un chant bien collé est donc plutôt durable à cet endroit.
Ce qui motiverait à ne pas laisser tel quel, ce serait de ne pas laisser voir le melaminé blanc sous le caisson.
Dans ce cas, soit je cache par un panneau de finition (ça permet en effet de planquer le câblage lumière), soit je réalise le caisson dans un panneau décoratif.

Pour moi, jambages et appuis ne font pas partie du mur, donc méritent un autre matériau.
En outre, le bord du stratifié est agressif et je l’arrondis toujours à la cale à poncer ou l’affleureuse (R2). L’inconvénient c’est que ça fait apparaître la couche interne noire. Pas forcément très élégant. Ici, je trouverais ça moche.
Aussi, je préférerais placer une baguette de bois ou de métal, en tout cas dans un matériau et une finition qui existent déjà ailleurs dans la cuisine, pour ne pas détoner. Cette baguette débordera très légèrement à l’intérieur, pour recouvrir le chant noir du stratifié de la crédence.