En vérité, les nuances fines de couleur ne sont pas utilisées pour l'identification des bois.
Dans la liste des critères d'identification des bois, on trouve les catégories suivantes:
Heartwood colour196 Heartwood colour darker than sapwood colour
197 Heartwood basically brown or shades of brown
198 Heartwood basically red or shades of red
199 Heartwood basically yellow or shades of yellow
200 Heartwood basically white to grey
201 Heartwood with streaks
202 Heartwood not as above
insidewood.lib.../menu/type/MH?6
Et je rejoins glaude, même si on s'affranchit de toute la chaîne de traitement conduisant à la couleur "informatique" de l'image (préparation de l'échantillon, éclairage, balance des blancs, prise de vue sans reflets, ...), une même essence peut présenter des variations de teinte.
Après, il doit être possible d'écrire un programme qui prend la couleur dominante de la photo et ensuite de faire une recherche par couleurs "proches" (reste à définir "proche").
Seulement, cela me semble être de gros développement pour un résultat incertain...
L'identification, je le répète, passe par une observation à la loupe des caractéristiques du bois (principalement de bout).
Et pour finir, arrêtez de nous bassiner avec ces histoires d'IA.
L'industrie du némrique veut qu'on l'adopte, ne vous faites pas leurs avocats.
C'est pas ça qui va sauver la planète (au contraire) et résoudre nos problèmes d'identification ou autre.
Faut pas croire que c'est magique.
- bonpote.com/in...a-course-a-lia/
- Ecopol, A. (2025a). Face à l’IA générative, l’objection de conscience [Billet]. ATelier d’ÉCOlogie POLitique. doi.org/10.58079/1591s
- Ecopol, A. (2025b). “Oui, mais l’IAg….” Réponses à quelques arguments courants en faveur de l’intelligence artificielle générative [Billet]. ATelier d’ÉCOlogie POLitique. doi.org/10.58079/158mj
Je ne prendrais pas du chêne, l'aubier est très blanc (bon la couleur, finalement peu importe... moi je trouve pas ça très beau) mais surtout il n'est pas durable. Que deviendra la chose dans plusieurs dizaines d'années ?
Prendre une autre essence, dont l'aubier fait moins le régal des petites bêtes ?
Allez aussi voir les livres de charpente anciens, ils sont bourrés de dessins de plein de charpentes intéressantes. Il y en a plein sur Gallica :
lairdubois.fr/...harpente courbe
lairdubois.fr/...charpente epure
lairdubois.fr/...harpente croche
ou sinon dans la section Charpente de site
Feuilleter les livres d'Emy, Boutereau, Delataille, Cabanié, Oslet, Jamin... (pour ceux qui sont en libre accès).
Je dirais que la réponse on la connais déjà, il suffit de regarder les outils que l'on trouve dans les catalogues d'outillage:
- rabot;
- riflard;
- varlope;
- guillaume.
Bien entendu, je parle d'outils montés en bois. Parce que traditionnellement c'est ça qui était utilisé.
Ce sont d'ailleurs ces outils qui sont présentés dans les ouvrages consacrés au travail du bois:
lairdubois.fr/.../?q=heurtematte
Voici des ressouces au sujet des outils montés:
Seulement, l'internet globalisé et rempli de contenu anglo-saxons nous fait croire qu'il faut avoir des rabots métalliques pour travailler le bois.
Moi je préfère mes rabots en bois, qui glissent mieux, et sont rapides à régler avec un petit maillet en bois (la molette des outils métalliques me fatigue). Il y en a plein d'occasion, ça coûte une bouchée de pain, et ça fait la même chose qu'un truc métallique (c'est à dure que ça lève des copeaux).
Si je devais faire cela, je prcéderais ainsi:
- je prends ma règle et mon équerre
- je trace là où que j'veux couper
- je prends la scie égoïne
- je met un genou sur la table et un pied au sol
- je retrousse mes manches et je scie en suivant bien le trait
- un petit coup de cale à poncer une fois que la coupe est terminée
Pourquoi toujours vouloir faire avec des machines alors que de simples outils sont également très efficaces ?
Sachant que la raideur en flexion et proportionnelle au module élastique et à l'épaisseur de la planche au cube, l'épaisseur a bien plus d'influence sur la raideur de l'ouvrage que le bois choisi
Et puis 3% d'écart entre les valeurs moyennes constatées pour les modules élastiques chêne vs mélèze, si ça s'trouve, on est dans les fluctuations possibles pour la valeur du module.
Un petit tour par la fiche Tropix du chêne donne un écart type de 1750MPa pour le module du chêne donné en moyenne à 13300MPa. Soit un écart type relatif de 13% !!
L'écart type n'est pas donné pour le mélèze.
Mais bon, les valeurs moyennes seules ne suffisent pas à comparer !
Tu peux trouver une version moderne de l'étau de modeleur chez HNT Gordon (fabriquant australien)
hntgordon.com....ern-makers-vice
Mais en vérité, est-ce que tu as besoin d'un étau qui pivote dans toutes les directions ? Est ce qu'un simple étau de menuisier ne fait pas l'affaire ?
Même avec un simple étau, il est possible avec des cales ou des pièces en bois supplémentaires de fixer un grand nombre de pièces dans de nombreuses positions. C'est certain, ce ne sera pas aussi rapide et direct, mais pour une utilisation ponctuelle, ça fait très bien l'affaire !
Qu'est ce qui nécessite un étau de modeleur dans ce que tu fais ?