Des coupes longitudinales de planches 1,5 à 2m de long...
OK, Mais des planches en quelle largeur ? Quelle épaisseur ? Et en conséquence, quel poids ?
Qu'appelles-tu des "coupes radiales" ??? (Pour ma part, tout ce que je connais qui pourrait s'approcher de cette appellation... c'est quand je fends du bois !
)
(Petit rappel utile. Signification du mot Radial : relatif au rayon)
Une scie radiale, car c'est peut-être de ça que tu veux parler, porte ce nom parce qu'elle peut s'orienter de façon rayonnante, par rapport à un axe, et sur tout un secteur angulaire, généralement de 2 fois 45°, parfois un peu plus, suivant les machines.
Si tu entends par "coupe radiale", coupe en angle, une scie radiale, ou scie à onglets peut convenir, pour de telles largeurs. À confirmer tout de même, selon tes épaisseurs.
Si c'est plutôt de "tronçonner" que tu parles (couper en travers du fil, par opposition à "déligner", couper dans le sens du fil), là encore, tout dépend de l'épaisseur ou du type de bois que tu veux couper.
Mais une machine permettant de faire ces 2 types de coupes, sur des largeurs de 30 à 50, et à la lecture de tes autres critères (vrai chariot stable, notamment) on en arrive à la scie à format.
Plus vraiment le type de machine qu'on trouve en GSB. Et pas le même budget non plus.
Mais peut-être est-ce ce qu'il te faut.
Je ne sais pas ce qu'est un "couteau de plongée"... (hormis dans le domaine de la plongée sous-marine !
)
Cette fraise n'est pas prévue pour percer, donc pas pour une descente directe et rectiligne.
Mais par contre, elle peut faire des descentes en rampe (descente progressive, tout en avançant).
Je ne parlerais pas de "grosses" machines, mais plutôt de machines stationnaires, en comparaison à ce que tu connais/as peut-être, les machines électro-portatives.
Sur le plan format, capacité, c'est parfait pour débuter, (à condition de ne pas avoir pour projet d'y fabriquer des ouvrages lourds).
Reste à vérifier l'état général, l'état de fonctionnement des diverses machines et de chaque organe, même si en photo, elles paraissent relativement propres, et donnent l'impression d'avoir été correctement maintenues.
À vérifier aussi, ce qu'il peut y avoir comme outillage (lames, outils de toupie, notamment).
Ne pas hésiter à demander à voir ce qui "traînerait" dans l'atelier. Souvent, lorsque de telles machines sont vendues par des "héritiers", pour certains non connaisseurs, n'y voyant pas forcément d'intérêt, et se contentent de chercher à vendre ce qui leur paraît être le plus conséquent.
Pour ce que ça peut valoir, toujours difficile de répondre, mais pour donner une fourchette large et au doigt mouillé, je dirais entre 1500€ jusqu'à 3000€ s'il y a un bon lot d'accessoires et outils avec. Et suivant l'état, bien sûr.
Il existe bien des porte-outils à calibrer en alésage 30mm. Ainsi que des roulements de même alésage, et diamètre extérieur correspondant au porte-outils.
Idem, si on parle d'alésage de 50mm.
Concernant les roulements (ou guide à bille), ils ne sont généralement pas solidaires du porte-outils.
Pour adapter un outil en alésage 50 sur un arbre de 30, il existe des bagues de réduction, comme ici
Par contre, les roulements adaptés à un porte-outils en alésage 50, seront aussi de ce même alésage, et nécessiteraient donc un second jeu de bagues de réduction. Mais le roulement serait alors écarté par apport au porte-outils. Pas très pratique, dans certaines situations.
Ou alors, il faudrait trouver un fourreau d'arbre 30/50... mais pas facile à trouver. Et sans doute pas donné. En outre, ça risque d'alourdir fortement tout cet équipement, sur une toupie avec arbre de 30, et le moteur qui va habituellement avec.
Je te conseillerais plutôt d'essayer de rester avec des outils en alésage 30. Plus simple, sur tous les plans, moins exigeant pour ta machine. Et peut-être au total, moins cher, même si plus difficile à trouver d'occasion.
Simple dans le principe... beaucoup moins dans la réalisation, cet escalier nécessitant plusieurs quincailleries très spécifiques et adaptées. Des épures de mouvements tenant compte de ces quincailleries encastrées ou dissimulées dans des parties non vues, de plus.
Pas des plus pratiques, confortable et ergonomique, toutefois. (Très raide. Giron très faible, sauf à poser les pieds dans les boites...)
Bon courage, si tu t'y attaques !
Quel est le profil du beau-père ?
Quel est son niveau, en matière de travail du bois ? De pur débutant à amateur expert ?
Quel serait l'usage envisagé de cette égoïne ?
Quelles sont ces connaissances en matière d'affûtage à la main ?
Quel est son degré d'attirance, goût, passion, pour des beaux ou outils de qualité, haut de gamme, ou pas ?
Plein de questions restant sans réponse, et dont celles-ci permettraient de mieux cerner ce qui lui conviendrait.
Une "méthode", pour reconnaître les essences ?
Les connaître, déjà, sous leur apparence lorsqu'on les travaille.
Reconnaître des détails caractéristiques de chaque essence, couleurs et variations éventuelles, veinages, forme de celui-ci, type de maille, s'il en a, dureté, masse, odeur, etc. Les voir sous différents angles, sous différentes lumières.
Toutes choses qui ne s'acquierrent qu'à force d'en observer attentivement.
Et toutes choses que nous n'avons pas, ou que nous ne pouvons pas faire, avec les photos et indices que tu nous donne ici.
Du pommier, peut-etre, mais comme plein d'autres bois possibles aussi.
À ce que j'ai compris de ta question... (Si ma réponse ne correspond pas à ta demande... tu n'avais qu'à être plus clair !
)
.Je comprends donc que tu as des lames de 20cm.
Mais ensuite :
Sur 126, il te faut tracer l'axe, donc 63.
Ensuite, définir ce que tu veux mettre à l'axe :
. Soit l'axe au joint entre 2 lames, ce qui donnera 6 lames entières + 2 lames de 3 cm en extrémités
. Soit l'axe au milieu d'une lame, et tu auras donc 5 lames entières + 2 lames de 13 cm en extrémités
Et qu'il y ait un jeu entre les lames n'est pas un problème... ça serait même, à l'inverse, une bonne précaution.
Avec le kit (support à fixer sur la table de mortaiseuse + meule à monter dans le mandrin) que proposait LUREM à l'époque, il me semble bien.
Ici, un autre post sur le même sujet, où on voit ce support.
A voir si tu peux le retrouver d'occasion aujourd'hui !
"Pourquoi ne pas directement commencer par les pierres avec un grain faible ?"
Quand tu travailles une pièce de bois, après débit à la scie, pourquoi ne pas directement passer au ponçage ?
Peut-être que ça te donnera un indice, sur la réponse...
Quant au "biseau secondaire"... ben je ne sais même pas ce que c'est (pourtant en tant que pro)
Si les entailles à mi-bois dont tu souhaites surfacer le fond, imposent une sortie (trop) importante de l'outil, mieux vaudrait prendre une fraise de plus faible diamètre, quitte à devoir faire plus de passes.
Avec une fraise de gros diamètre très en déport de l'arbre, et donc peu engagée dans la pince, on multiplie les risques de mauvais équilibrage, donc de vibrations (et avec une rallonge, n'en parlons même pas !). L'effet gyroscopique sera décuplé, donc en plus de ne pas être très bon pour la machine... ça peut aussi ne pas l'être pour toi.
Avec une fraise d'un diamètre raisonnable (16 à 20 mm maxi), tous ces effets-là sont réduits.
Et bien désolé de cette mauvaise expérience, en te souhaitant de te rétablir au mieux, et au plus vite !
Les risques, quelle que soit l'activité humaine, ne seront jamais totalement évitables. Donc à défaut de pouvoir les éliminer entièrement, il faut au moins chercher à les réduire, comme le décrit le concept de "Réduction des risques", qui est notamment promu sur certains sujets liés à la santé.
Les divers protecteurs, les arrêts d'urgences ou multiples sécurités contribuent à cette "réduction des risques", adaptées aux machines. Dispositifs ou protecteurs pas si inconfortables que certains le disent, d'ailleurs, si on se discipline à les utiliser, et une fois habitués. Et s'il reste bien quelques cas, pour lesquels on ne peut faire autrement que de les neutraliser ou les démonter, on peut aussi imaginer et fabriquer très simplement des moyens de sécurité de substitution, divers poussoirs, des "boites" ou montages d'usinage, des presseurs, etc.
Mais malgré tout cela... ça n'éliminera jamais tous les risques. Donc par défaut, réduisons-les
Bon et prompt rétablissement !
