
Pour le BP, pas de soucis, autant de
BP en parallèle que tu souhaites. Pour l'inciseur, désolé la mienne actuelle n'en a pas mais une simple rondelle chanfreinée fera l'affaire. Un léger évidement centrale pour bien plaquer lame sera un plus. J'ai par le passé travaillé sur une CU300K. IL faut équiper l'inciseur d'une lame double avec bagues minces car celle d'origine monobloc avec des dents à profil trapèzoïdal est inserviable. Ce n'est pas la fonction la meilleure et la plus pratique de la machine.

Non mais vous vous rendez compte de la vie de ces petites bêtes, tellement affamées obligées de manger de l'aggloméré plein de colle pas bon pour leur petite santé. Le coupable est plutôt à rechercher peut être du côté d'un galopin à tête blonde. Après si cela ce perce aussi facilement, c'est plutôt un panneau avec revêtement décor type papier ou film plastique souvent employé dans les meubles pas chers de grande distribution

Il faut déjà définir un volume pour l'atelier, les activités qui y seront pratiquées, ensuite viendra la question des bécanes. Pour un combiné, partir sur un 300 minimum en degau mais s'il y a de la place, rien ne vaut des bonnes vieilles machines séparées et un bonne scie à format avec un chariot de 3m. Bien entendu il faut le triphasé.

Sujet traité de nombreuses fois ici. Pour une scie à ruban, c'est simple si c'est un démarrage en direct (pas étoile triangle), il faut modifier les barrettes du bornier du moteur pour qu'il soit alimenté en triangle tri 240 au lieu de branchement étoile tri 400vEnsuite il faut un variateur de fréquence compatible avec la puissance du moteur pour convertir du mono 240v en triphasé 240v
Il y a des postes ici très bien expliqué avec des schémas et tout et tout

Dans un premier temps je ne saurais que te conseiller d'aller faire tes armes dans une ou plusieurs entreprises de menuiserie, de préférence là où l'on fabrique encore, de la caisse mais aussi du massif. Dans un premier temps tu pourras en parallèle travailler pour toi chez toi avec un petit combiné d'occasion, 260 ou 300 pour la rabot degau. Tu trouveras qq chose de correct à partir de 2000€.
Plus tard si tu t'installes, il te faudra au minimum 100m2 pour travailler correctement. Avec soit combinée 300 ou 400 voire mieux des bonnes grosses bécanes séparées avec un système d'aspiration performant et une installation électrique en triphasé. Autre solution, plein de boomers en cessation pour retraite et des ateliers excellemment équipés à reprendre et parfois dans des conditions financières très favorable, il faut juste accepter d'être mobile.

Un couteau diviseur peut être facilement réalisé dans une vieille lame de scie circulaire qui aurait perdu ses dents. Faire un gabarit en carton ou cp selon fixation disponible sur la machine. La hauteur doit se situer 2 ou 3 mm en dessous de la tangente horizontale à la lame pour permettre le sciage à mi bois, la réalisation de feuillures ou de rainures. Épaisseur du couteau doit être inférieure au trait de scie de la lame et à la fois supérieure à l'épaisseur de la toile de la lame circulaire.

Attention on parle ici de parquet massif d'épaisseur 24 mm qui se pose traditionnellement cloué et serré, voire vissé et non pas de lames larges contre collées et stabilisées . Il serait souhaitable de tracer les axes des lambourdes puis d'y clouer une latte mince sur chaque axe qui permettra un vide d'air pour qu'il respire. Ensuite on procède à une pose traditionnelle du parquet en serrant le serrant bien. Ensuite ponçage à la ponceuse à parquet de location, finition en périphérie à la bordureuse. Puis vitrificateur ou cire.
Je n'imagine absolument pas une pose de celui-ci d'une telle épaisseur avec de la colle mais chacun est libre de ses expériences.

Ou entourer de 2 ou 3 couche de papier un peu épais et emmancher en force en tapant à l'autre bout du manche. Un vieux truc de maçon quand tu n'as rien d'autre sous la main que du papier de sac de ciment pour massette qui devient voyageuse. Mais ça fonctionne pour les autres manches d'outils notamment ceux à emmanchement conique inversé comme les marteaux à briques, les pioches...

Qu'est ce qu'il y a en dessous des lambourdes ?
Pourquoi vouloir isoler, Y a t'il de l'air qui circule en dessous quand il y a du vent ?
Le cas échéant, l’hypothétique gain obtenu en température en hiver sera dérisoire au regard du confort de fraicheur en été au risque d'être obligé d'installer une clim plus énergivore non compensé par le faible gain obtenu en hiver avec une pseudo isolation.
Quelle est la température mesurée au sol en hiver ? Compris entre 15 et 18, cela reste correcte, des pantoufles et un tapis sur la zone où l'on reste assis peuvent améliorer sensiblement le confort.

Pour les chantiers cloueur, privilégier un modèle à châssis tubulaire faisant office de poignée de portage et de réservoir d'air. Plus robuste qu'une cuve et non soumis à épreuve car inférieur au produit 80 bars/litres.
Pour le débit, choisir selon préconisation du fabricant du cloueur mais qui peut le plus peut le moins et si ça tourne moins longtemps, ça soulage les oreilles

Autrefois l'on a essayé comme aujourd'hui de protéger les ouvrages en bois avec ce que l'on disposait, badigeon par exemple ou le bleu charette utilisé par les charons qui ne protégeait que des UV et permettait de garder qq temps une uniformité de couleur. De nos jours certains architectes préconisent la peinture à la farine comme pour l'église de Belmont de la Loire rhone-alpes.ma...es-a-la-farine/
Mais comme le dit Étienne, qui décide ?...