avant d'acheter il faut cibler ton usage, si tu veux travailler professionnellement cela risque d'être difficile de perdre du temps à bricoler de vieilles machines. Dans ce cas je serai tenté d'aller sur de l'occasion mais pas très âgées afin de trouver encore de la pièce En revanche pour un usage perso, je choisirai des machines dont je suis capables de réparer seul pour presque. Dans ce cas je regarderai de vieilles bécanes pro qui n'ont plus rien à prouver. Généralement la maintenance se limite à des changements de roulements, des problèmes électriques. Si tu casses une pièce en fonte, avec ta pièce tu iras soit la faire braser, soit chez un tourneur fraiseur. Même si la facture te parait un peu salée cela restera occasionnelle. An ayant ce problème à l'esprit il faut anticiper auprès de qui je peux m'adresser le jour en question. Et puis cela peut être deux heures de travail contre du un service en bois!!!
Dans tes solutions tu as oublié la résine. Perso j'utilise Arabois bi composants. Tu fais ton mélange assez liquide et tu le verses dans ton joint. Il est nécessaire de coffer afin de rendre étanche le temps de la polymérisation. Je désaxerais le rail afin d'avoir un joint le plus large possible afin de se faciliter le versement. Si tu veux que la résine n'adhère pas sur le rail il suffit de le graisser légèrement. Le temps de séchage est très rapide et une fois sec la résistance est égale au bois sinon supérieure.
Sinon tu peux mettre également un insert collé le long de ton rail, mais pour avoir un bon collage il faut préalablement un bon usinage afin que les deux pièces soient bien en contact.
La résine te donnera pleine satisfaction mais elle est onéreuse, la deuxième idée le sera moins mais nécessitera plus de travail pour un résultat moindre à mon avis.
A mon avis la seule façon d'extraire des chevilles métalliques genre daffi est d'essayer de continuer de les enfoncer en les poussant de l'autre coté. Mais en général on est en échec et il faut alors percer tout autour pour les sortir. Le hic c'est que le trou fait est assez gros et devient inesthétique m^me rebouché avec une cheville. C'est un exemple de meuble industriel fait contre la montre mais là on mesure bien la difficulté de ces fabrications.
Sur ta photo on dirait plus des agrafes ou des pointes fines que des chevilles métallique.
Les tenons ne sont pas collés de surcroit?
Bon courage
Bonjour et bienvenue
Pour s'outiller à pas trop cher je pense que le marché de l'occasion est une meilleure piste. Tu y trouves des vieux outils de qualité à des prix moindres qu'en grandes surfaces.
Quant au bois de palette il peut effectivement servir mais également servir à se décourager. Si ce bois finit en palette c'est que le scieur ne peut rien en faire d'autres.
Coté progression, le top est d'avoir un "prof", sinon je dirai quelques bons bouquins bien choisis, la revue du bouvet m'a permis également de réels progrès.
Certaines vidéos sont bien et le reste souvent bien mal, il est nécessaire d'être sélectif. Après si tu comprends l'anglais tu as un panel bien plus large pour le travail à la main.
Regarde dans ta région si un membre de ce site est dispo pour te donner quelques cours
si tu as un arbre de 4.5m plus un de 3 m = 7.5 metres linéaires sur un diamètre de 40cm soit un volume de près d'un mètre cube. Après il faut juger sa qualité et là on ne peut pas t'aider.
Mais le volume de un mètre cube te donne la possibilité d'avoir un ordre de grandeur du prix. Si tu l'as à 200€ tant mieux pour toi mais ce n'est pas cher payé. Moi à ce prix je ne vend pas. Combien en veut le propriétaire, c'est lui le vendeur c'est à lui de donner le tarif.
Perso des chênes de qualité normale(ordinaire) je les vend dans les 5 à 600€ le mètre cube. Tu cubes ton lot ensuite tu te donnes un prix au mètre cube et tu as sensiblement la réponse
L'ameublement tel que ton projet fait à partir de bois vert ne peut fonctionner et peu importe l'essence. Le séchage du bois va entrainer , rétractation, gauchissement, gerces et toute la précision d'exécution que nécessite sa fabrication va être anéantie. Du moins c'est un grand risque à prendre car si cela était possible il y a longtemps que l'industrie se serait emparée du sujet. C'est d'ailleurs pour une raison de gain de temps que les séchoirs ont été inventés;
il existe des colles bois sur béton.
si j'ai bien compris ton idée les tiges filetées s'insèrent dans le chant de la marche?
Mais comment fais tu le serrage, ton idée nécessite beaucoup de précision notamment pour le parallélisme des tiges.
Autre point qui m'interroge, les marches à l'utilisation vont subir une charge verticale, surtout si la personne emploie la partie dans le vide de la marche, mais ta fixation n'est à proprement pensé pour répondre à ce sens de charge. Je pense que tes marches vont avoir tendance à présenter un joint entre le contreparement et le béton.
enfin il s'agit de mon point de vue dans la mesure ou j'ai bien cerné ton idée
le choix sera également en fonction de la qualité de ton outillage, tourner un peu au dessus de la vitesse préconisée nécessite d'avoir des molettes de bonne qualité, pas de l'entrée de gamme. Après il faut prendre en considération la durée du travail, si occasionnel ou habituel.
Les règles de sécurité veulent que tu t'en tienne aux préconisations du constructeur, là tu es certain de ne pas avoir de mauvaises surprises.
Dépasser la vitesse maxi de l'outil reste sporadiquement envisageable mais dans des proportions raisonnables, entre 5% et 25% de plus ce n'est pas la même chose du tout.
Je conclurai par plutôt à éviter sans une connaissance parfaite de la machine et de ces outils; ou en d'autres termes réservé à des personnes aguerries.
tout panneau doit comporter un jeu, il faut quelques millimètres suivant la largeur de ton panneau et de la destination de la porte. Entre une porte qui sépare deux pièces à température différente, il faut que l'ensemble puisse bouger. En revanche une porte placée en intérieur bougera presque aussitôt pour se stabiliser ensuite puisqu'il n'y aura plus de variation de température ou d'hygrométrie.
Autre point à prendre en considération est le degré de séchage de ton bois.
Pour la seconde question; il faut savoir si le ravancement de moulures est des deux cotés ou pas.
Les fraises de défonceuse et les mèches à mortaiser ne sont pas les mêmes outils m^me si leur but est de faire des trous.
Les fraises de défonceuses sont prévues pour des hautes vitesse de rotation, leur fabrication nécessite plus de soins notamment au niveau de leur équilibrage à cause de cette raison.
Elles doivent être parfaitement tenues dans le mandrin, le mandrin est spécifique et reçoit une pince spéciale par diamètre de queue. A chaque diamètre a son mandrin, il ne faut pas d'éjection à 20 000 tours minute.
On trouve toutes sortes de pince avec une conicité différente souvent désignée par ER suivi de numéros. A toi de trouver la référence qui correspond à ta machine et ensuite le bon diamètre de queue.
Sur une fraise tu ne peut te permettre une bavure de serrage sur la queue car ensuite elle n'ira plus dans son mandrin.
Les mèches à mortaiser sont prévues pour des vitesses plus lentes, leur pas peur être à gauche comme à droite et leur longueur souvent plus importante que les fraises de défonceuse.
Je pense qu'il te faut t'équiper des deux si tu ne veux pas rencontrer trop de déboires