
Donnée importante, il faudrait d'abord que tu nous dises la valeur que tu accordes à un rein, déjà !
Sinon, plein de choix possibles.
Pour ma part, en vue de ma retraite, j'avais acheté ça, il y a 1 an et demi.
550€, mais on en voit parfois de moins chères. Mais beaucoup de plus chères aussi... Beaucoup trop, pour certaines d'ailleurs.
De 2008, mais très peu servi... car les 2 précédents propriétaires ne savaient pas la régler, une fois perdus les réglages d'origine. J'ai donc eu à changer les roulements des guides de lame, et les rerégler, pour qu'elle remarche parfaitement.
Quelques entretiens et nettoyages ici ou là, et dérouillage superficiel de la table, et elle était comme neuve.
Sinon, en fonctionnalités supplémentaires, j'ai refait une base solidaire de la machine, avec de grosses roulettes avec frein, pour pouvoir la déplacer. Tout en permettant une hauteur de table correcte et confortable. Et j'ai aussi ajouté une extension de table, que je trouvais un peu étroite.
Elle existe sous l'appellation "LUREM SOLO 4", mais aussi "SAR 400", suivant les époques.
Elle a aussi la particularité d'avoir, pour des coupes en angle, le corps de la machine qui peut s'incliner, la table restant horizontale. Mais je n'ai jamais eu l'occasion d'en avoir besoin, hormis quelques essais, juste pour voir.
Il y a quelques jours, j'y délignais des bûches d'if, donc bois bien dur, de 150 à 180mm, sans aucune difficulté.
Bref, j'en suis très satisfait.
Voilà, voilà. Tu fais ce que tu veux de tout ça !

Ah, personne ne t'a répondu. Je me lance, alors !
1) Qu'as-tu prévu comme poignées, sur tes portes et tiroirs ?
Ou alors, tu prévois un système sans poignées, du genre "Tip on" ?
Si c'est avec des poignées, tous tes tiroirs n'ouvrent clairement pas.
Si c'est avec un système de "Touche-lâche" ou Tip on, ça ouvre, mais avec le jeu latéral des tiroirs, ceux-ci vont immanquablement frotter sur la porte basse à droite.
2) Tu as aussi un souci, au niveau de la jonction (image ci-dessous). Sur quoi ferres-tu tes portes, avec quel type de charnières ?
Un souci sur le meuble gauche, et un autre sur le meuble droite.
3) Pour la porte de droite, pas très pratique, ce sens d'ouverture. Un ferrage côté angle serait plus logique et facile d'utilisation. Ce souci étant d'ailleurs une conséquence du point 2.
La solution à ces trois poblèmes serait d'avoir un fileur, à gauche et à droite de la jonction en angle des deux meubles. Cela te permettrait de laisser passer tes tiroirs sans problème, de ferrer les portes. Pour le meuble gauche, ça pourrait être une fausse façade, qui fermerait la partie non vue du meuble sur toute la hauteur (au lieu de tous tes petits bouts de montants), permettrait le ferrage, et formerait aussi fileur, pour cette partie...
Voilà, voilà, pour quelques constats rapides.

Tu es bricoleur, mais sans aucune expérience en menuiserie, dis-tu.
Hmmmm, Sacré défi ! Même s'il ne s'agit ici que des portes et habillages de côté, un tel projet requiert une grande précision, de la minutie, toutes choses qui ne peuvent s'obtenir qu'avec de la pratique et donc de l'expérience, pour avoir un résultat propre et satisfaisant.
Mais ces remarques préalables faites, pour le panneau replaqué chêne, pourquoi ne pas partir sur de l'aggloméré plaqué chêne (je parle bien là de placage, donc une "pellicule" de vrai bois, à ne pas confondre avec le mélaminé, qui est une reproduction imprimée). Tu aurais un panneau identique en surface, tout aussi qualitatif, tout aussi adapté en termes de résistance, en tout cas pour une cuisine, plus facile à trouver, et bien moins cher.
*Ici, un lien vers la page Dispano (un des grossistes les plus représentés en France) consacrée à ces panneaux replaqués. Je joins également l'image des prix comparés, latté VS aggloméré replaqué chêne, mais identiques sur les autres caractéristiques, en dessous
Pour le choix des jonctions de tes alaises de pourtour, c'est d'abord un choix esthétique. Pour la réalisation, il faudrait une scie à ongle de qualité correcte ainsi qu'une lame adaptée et parfaitement affûtée (je ne sais pas ce que tu as), dans une solution comme dans l'autre. Les coupes droites étant plus simples à faire que les coupes d'onglet.
Si tu optes pour les coupes droites, des baguettes qui filent à la verticale, recouvrant les extrémités des horizontales, serait une disposition plus habituelle. Dans un esprit montants/traverses d'une menuiserie. (contrairement à ce qu'on croit voir sur ta perspective).
Pour l'assemblage de ces baguettes... déjà, tu parles de "CLOUER"
Premièrement, en terme technique, on parlerait là de pointes, et non de clous. Mais sur le plan de la technique et de la finition, c'est vraiment pas ce qu'il y a de mieux !
Collé, serré, puis au besoin, affleuré et poncé ensuite. Même si là encore, c'est une opération minutieuse et longue qui ne s'improvise pas.
Concernant le placage des chants, c'est très simple... mais une fois qu'on en a l'expérience, une nouvelle fois. Pour le collage, pas réellement de difficulté, mais pour l'affleurage, je ne peux que te conseiller de t'entrainer d'abord sur des panneaux perdus. Et avec du chant placage ! Sur des chants ABS ou papier qu'on trouve en GSB, c'est encore relativement facile. Mais avec du placage, on se laisse vite entrainer par le fil du bois, ce qui peut entrainer des éclats ou arrachements. L'idéal étant de faire ces affleurages avec une scie à placage. Même une affleureuse peut avoir tendance à provoquer des arrachements.
Autre recommandation importante, puisque tu envisages cette fabrication en panneaux revêtus de placage : Entraîne-toi au ponçage de ces panneaux, là encore sur des panneaux perdus, avant de t'attaquer à tes panneaux définitifs. Tu seras amené à en faire, avant finition, mais aussi lors d'affleurage des baguettes. Et sur du placage, on se laisse vite entrainer à "la perce" (c'est-à-dire aller plus profond que les quelques 5 ou 6/10e d'épaisseur du placage). Y compris moi, ancien professionnel, on s'est tous fait avoir !
Être super soigneux lors de chaque étape de la fabrication, avec ce type de panneau sensible, aussi. Le moindre marquage, tracés, tâches (de colle notamment), rayures, chocs, etc, entraineront vite vers cette "perce" quand on cherchera à les éliminer.
Pour la finition, pour ma part, je déconseillerai les huiles, Rubio ou autres, surtout pour une cuisine.

Le problème peut surtout se poser dans le cas de pièces courtes et étroites. Pour des pièces plus larges et longues, (et à priori, tout de même bien plus courantes), reposant au moins en bonne partie sur la table, pas de risque.
Sinon, même conseil que normandie, en première solution. Confectionne-toi quelques bagues en un matériau dur. Je viens de regarder ce qu'il appelle "Richlite" aux USA. A priori, ce qu'on aurait de plus approchant dans nos contrées européennes serait du "stratifié compact"... mais pas forcément facile à trouver en petite quantité, pour un amateur. A moins que ton oncle ait des pistes ?
Mais tu peux aussi le faire en contreplaqué dur. En CP bouleau notamment.
Mais encore plus simple, dans les quelques cas ou ça poserait vraiment problème, il suffit de poser et fixer un panneau en guise de table, au-dessus de la table de la machine. De cette façon, tu découpes au plus juste dans ce panneau, le passage de l'outil, de façon à être au plus proche. Demande à ton oncle, il va te montrer !
En plus, j'ai l'impression que le puits de toupie n'est pas extrêmement profond (sur la première image). Cette solution te permettrait en plus de pouvoir travailler plus facilement avec l'outil dessous.
Mais ne va surtout pas t'acheter d'autres outils !

Puisque ta question porte sur la sécurité à la scie "sous table" (ce qui vaut pour toute autre scie circulaire, à format, ou plus largement, scie à ruban), la première mesure de sécurité, c'est d'UTILISER LES PROTECTEURS !
Combien voit-on d'amateurs, ou de youtubeurs sur qui les premiers prennent exemple, utiliser leurs machines sans protecteur ?!?!?
Protecteur obligatoire à la vente, en UE, faut-il le rappeler. Donc qu'on ne me dise pas qu'il n'y en a pas. Mais je sais aussi que beaucoup de ces youtubeurs prennent eux-mêmes exemple sur des youtubeurs américains, chez qui, les réglementations en matière de sécurité sont loin d'être les mêmes. Et tant mieux, si sur au moins sur ce plan de la sécurité, en Europe il y a certaines normes et obligations !
Ancien professionnel (retraité aujourd'hui), j'ai toujours, et dans toutes les entreprises, grosses mais aussi plus petites, où je suis passé, utilisé ces protecteurs.
Ils n'étaient enlevés que pour des usinages très particuliers, et qui n'étaient vraiment pas possibles sans l'enlever. Mais une fois terminé ces sciages spécifiques, le protecteur était immédiatement remis en place. Par contre, lorsqu'ils étaient enlevés, nous utilisions autant que possible d'autres moyens de protection ou poussoirs, pour tout de même travailler avec une sécurité minimale.
Ces principes sont même une règle, dans beaucoup d'entreprises, car on y sait ce que ça peut coûter de ne pas le faire !
Même si c'est une ancienne machine, ou une scie circulaire portative fixée sous une table de sa fabrication, il n'est pas très compliqué pour quelqu'un qui, souhaitant se lancer dans des travaux de fabrication en menuiserie, donc, il faut l'espérer, doté d'un peu d'imagination et d'ingéniosité, de le fabriquer soi-même.
Pour ce qui concerne les poussoirs, même idée. Cela fait des décennies, des générations de menuisiers, que ceux-ci ont imaginé des tas de poussoirs de toutes sortes, tout-à fait efficaces, adaptés à la main de chacun, réalisés avec ce qu'ils avaient à portée de main, (souvent dans des chutes, d'ailleurs), avant qu'internet nous propose tous ces machins en plastique vendus à prix d'or. (Pourquoi se priveraient-ils, puisque des tas d'amateurs achètent en masse tous leurs bibelots, se disant que "la sécurité, ça n'a pas de prix" !)
Des poussoirs réalisés avec un bout de bois, une extrémité arrondie pour servir de poignée, l'autre en forme de "fourche" pour s'adapter et maintenir au mieux aux pièces de bois à pousser. Des boites, adaptés à de petites pièces à toupiller, avec un "anti-dérapant" maison à l'intérieur (abrasif, colle néoprène, etc), ou que sais-je encore, j'ai dû en réaliser des quantités. Bien plus souples que ces protecteurs qui soi-disant savent tout faire, mais dont on trouve vite les limites, ils ne coûtent qu'un peu de temps... et d'imagination. Encore faut-il en avoir.

Non mais, fabriquer une pièce de 3m de long (1 seule !), puis la transporter, quitte à la laisser dépasser à l'arrière, au besoin en la protégeant des intempéries, n'est tout de même pas un défi insurmontable, et jamais réalisé au monde !
Au moins, tu aurais une rampe d'un seul tenant et qui garderait toute sa rigidité. Plus simple à réaliser et à monter car d'une seule pièce.

Si tu as vu des "menuisiers équipés d'une petite visière légère et rabattable", il eut été intéressant de trouver des exemples en photo, pour voir ce dont tu parles.
Pour ma part, ex menuisier pro, je ne vois pas, en tout cas pas tel que tu décris. Sur des chantiers, qui parfois le rendent obligatoire, il existe des casques avec écran escamotable juste pour les yeux, qui se manœuvre avec un bouton sur le côté. Mais ça reste un casque de chantier !
Comme cocoM, j'utilise aujourd'hui pour du tournage, une visière du même type que lui. J'en ai une autre (et je l'avais depuis bien longtemps) pour mes travaux avec une débroussailleuse, principalement. Plus légère, mais moins qualitative aussi, puisque du fait de son usage, j'en lave la visière après utilisation (les projections d'herbe et autres végétaux, ça colle !), et la remplace à moindre prix quand nécessaire. Mais les deux restent des visières rabattables, d'ailleurs assez encombrantes lorsque relevées (on se cogne fréquemment, avec cette excroissance sur la tête), pivotant sur une "armature" qui se place et se serre sur la tête.
Donc, toujours pas ce que tu aurais vu ou que tu recherches.
Il existe aussi des visières plus légères, mais maintenues par une simple sangle élastique. Mais pas relevables et rabattables d'un simple geste, la sangle, relativement légère n'étant pas à même de maintenir la visière en position relevée, sans que ça tombe.
Par contre, pourquoi pas opter pour de simples lunettes de protection ? Elles sont utilisées dans de nombreux domaines, et même obligatoires, dans certains (il y a des ateliers, usines, chantiers sur lesquels ça l'est). Portées à longueur de journée de travail, elles ne nécessitent pas d'être relevées, pour des opérations de précision. C'est d'ailleurs quelque chose qui est notamment utilisé dans des laboratoires... ou par ma dentiste ! Et si vraiment, tu veux ponctuellement les relever, tu les relèves sur le front, comme beaucoup de porteurs de lunettes de vue. Il en existe même qui sont prévues pour être portée, en plus de lunettes de vue.

Oui, c'est possible. Enlever le roulement, puis meuler ce que, je suppose, tu appelles la "tige", à savoir la partie cylindrique destinée à recevoir le roulement, et qui permet aussi la mise en place de la vis, à l'intérieur, pour maintenir celui-ci.
Par contre :
- Tout retour en arrière, c'est-à-dire remonter de nouveau le roulement sera impossible.
- Il ne faudra pas chercher à plonger verticalement, avec cette fraise
- Bien prévoir un mode de guidage fiable, ainsi que des passes très progressives, l'usinage que tu souhaites faire avec une fraise de ce diamètre provoquant des forces importantes et variées, à fortiori dans du chêne. (Je proposerai d'ailleurs de dégager le maximum de matière avec une fraise droite, avant de faire une ou quelques passes de finition avec cette fraise)

Son utilité majeure est bien pour le débit sans éclats, de melaminé. (encore faut t'il bien le régler).
Pour d'autres matériaux sensibles, il peut aussi avoir une utilité (Panneaux revêtus de stratifié, par exemple... mais il risque de se desaffuter assez vite. Ou des panneaux revêtus de certains placages)
Mais pour d'autres types de panneaux ordinaires, ou bois massif, aucun besoin. Il faut, par contre, monter une lame adaptée à ces matériaux.
/!\ ATTENTION à bien installer le protecteur dédié, lorsqu'on relève et utilise l'inciseur.
On prend, en effet, l'habitude de déplacer des pièces, voire passer la main, dans une zone qui n'est habituellement pas dangereuse. Sauf que quand l'inciseur y est, et fonctionne, on ne le voit pas !

Tu trouves un négociant qui revend Unilin (je ne sais pas dans quelle région tu te trouves). La plupart, sinon, tous les négociants aujourd'hui, proposent le débit, le placage de chants, et parfois même les perçages et usinages à façon. Il suffit de leur communiquer les dimensions finies précises, et toutes infos nécessaires.

Acceptable ou pas ?
Si ça n'est pas la spécialité de cette scierie, si un client lui a demandé, puis n'a pas donné suite ou n'en a plus voulu. Ou alors si le scieur a estimé, après coupe, qu'il n'y avait pas la qualité à laquelle il s'attendait, etc, un tel stockage peut se comprendre.
À l'inverse, si cette scierie travaille beaucoup de hêtre, et/ou que ce plot était de qualité correcte, s'il travaille beaucoup pour une clientèle de menuisiers ou ébéniste, là, ça n'est pas acceptable.(Même si les plots qu'il leur vend ne sont pas forcément sec prêt à l'emploi).

"Très grosse scie à ruban", ça veut dire quoi ?
Quelles sont ses dimensions, ses diamètres de volants, espace de passage au col de cygne ? En quoi est fabriqué son bâti, ses volants ? Quel type de paliers ou roulements, quel en est le poids ?
Point important à définir avant toute chose : quel diamètre de grume souhaites-tu pouvoir couper ? Si tu as eu l'occasion de voir et d'observer une scie à grume digne de ce nom dans une scierie ou une scierie mobile, tu auras remarqué que si les principes généraux sont les mêmes que ceux d'une scie à ruban d'atelier, pour les dimensions de la lame, il en est tout autre. Et en conséquence, les volants, les guidages, les transmissions et moteurs sont à l'avenant.
As-tu les connaissances pour imaginer, définir, ainsi que les moyens de construire un ensemble en construction mécanique lourde, avec les composants dimensionnés et adaptés, tout cela pour y faire déplacer une scie en l'air et à l'horizontale d'un poids conséquent, cela en éliminant au maximum les jeux et vibrations, et en toute sécurité ?
À la façon dont tu amènes le sujet, aux quelques questions que tu poses, et à d'autre que tu ne poses pas... j'ai déjà quelques doutes (mais je peux aussi me tromper !)
Sur le fait de savoir ce qu'il faut rendre mobile, soit la scie qui se déplace à l'horizontale au-dessus de grumes qui sont fixes (de type scierie mobile), ou à l'opposé, une scie verticale (ou parfois légèrement inclinée) lourde et fixe, avec un chariot porte grume qui cette fois se déplace en parallèle, il y a un choix à faire.
Ça me rappelle ma réponse à quelqu'un qui demandait ce qui était préférable, mortaiseuse à chaine d'atelier stationnaire, ou même type de mortaiseuse, mais portative de chantier. En général, le choix entre les deux se définit par ce qui est le plus facile et simple à déplacer, et on choisit de rendre l'autre (le plus lourd et le moins facile à déplacer/porter) stationnaire. Pour une scie à grume comme pour la mortaiseuse ou autre chose.
En parlant de "très grosse scie" j'imagine (mais là aussi, je peux me tromper) qu'elle est ancienne, donc en fonte, donc très lourde ! D'autre part, tu parles de couper des tronçons de 2m maxi. Déjà, en prenant en compte ces deux éléments, la scie fixe avec chariot mobile pour la grume serait peut-être plus adéquat.
Pour ce qui serait de trouver des livres, tu auras (peut-être) plus de chance de trouver quelques vidéos de quelqu'un qui se serait lancé dans un tel projet, s'il en existe. Il te restera à avoir l'ingéniosité et les compétences en construction mécanique et l'outillage pour t'y attaquer.

Arrrhhhh Le hêtre est particulièrement sensible à l'humidité, et pas durable. Et dans le lieu que tu décris, il y serait donc très exposé.
Généralement, pour un bois qui a été touché par de l'humidité, la première recommandation à appliquer en urgence est de lui permettre de sécher... Sauf qu'ici, ça ne semble pas vraiment possible. Bref

C'est donc une porte en massif ? Et qui est devenue gauche, dans le temps ?
Et d'après ce que je comprends, tu voudrais y ajouter une isolation, avec des "chevrons" fixé pour constituer une sorte de doublage incorporant un isolant ?
- Déjà, "chevron" qui en menuiserie désigne certaines sections de bois, n'est peut-être (ou plutôt, j'espère) pas le terme adapté dans le cas que tu nous exposes.
Si la porte est actuellement gauche, fixer une sorte de caisson isolant pourrait, à condition de le faire sur ce qu'on pourrait appeler un "marbre", résoudre ce problème de déformation, en constituant un ensemble formant caisson.
Sauf que, la solution risque de n'être que très temporaire !
En effet, si tu apportes d'autres matériaux sur une face, et qu'en conséquence, tu modifies l'exposition de cette même seule face aux conditions et variations de température ou d'hygrométrie, tu vas apporter d'autres risques de déformation.