Wolfie  (Pierre Gsell)

C’est un noisetier, il est un peu grand pour être transplanté.

Tout à fait d’accord avec sylvainlefrancomtois l’affûtage c’est le passage obligé pour tout le reste, si on ne le maîtrise pas impossible de travailler. C’est pour ça que d’acheter des outils anciens ou d’occasion est une bonne école à peu de frais, ça oblige à apprendre à remettre en état, on apprend énormément.

Fruitiers, érable, charme.
Particulièrement le prunier pour des bijoux.

Ici
Logiciel que j’utilise avec bonheur.

Gomme laque, ça marche.

Il faut faire reculer le tranchant jusqu’à disparition du défaut en restant bien perpendiculaire.
Dégrossir avec une meule à eau bien agressive pour éviter de détremper le métal puis terminer classiquement.
Perso c’est plaques diamant avec guide et finition pierre à l’huile bien plane.

Oui, comme sylvainlefrancomtois, ton contre-fer doit avoir un léger problème, trop convexe, rugueux, mal affûté.

Je suis aller voir, c’est un site commercial qui répond à l’engouement pour le travail du bois dans les pays anglo-saxons, personnellement je préfère Paul Sellers pour aider les débutants.

Voir photos, table alsacienne réalisée il y 30 ans.

+

+

Pour ma part les tracés c’est avant tout le tranchet et le trusquin. Les tracés moins précis c’est au crayon de charpentier taillé au ciseau et Ss fois au papier de verre.
Sur les meubles 18ème je recherche toujours les discrètes traces des outils de traçage qui sont riches d’enseignements.

Assez d’accord avec glaude même si j’utilise beaucoup le Douglas, c’est un bois compliqué pour de l’ébénisterie. J’ai aussi une très vieille brouette en frêne qui se tient très bien.

Tartaix c’est sérieux et pas cher.

Le vastringue ça marche très bien aussi.

L’orme est un bois qui contient de la silice et use les tranchants plus vite que la plupart des autres bois. Certains ormes ont effectivement des reflets verts, ils présentent aussi des couleurs et des densités assez hétérogènes.

J’ai réalisé le même projet dans mon jardin. J’ai un plan mais il n’est pas vraiment achevé car j’ai fait des adaptations au fil de la réalisation.
J’ai aussi quelques conseils à donner.
Le premier est de construire sur un soubassement solide et de niveau, j’avais coulé 6 blocs de béton avec des fondations pas assez profondes, ça a commencé à s’enfoncer d’un côté une fois terminé, donc reprise en sous-oeuvre, crick hydrolique etc …
Va voir mon atelier sur ma page.

Un peu de paraffine ou bougie sur la semelle ça aide, pour le reste c’est la qualité de l’affutage qui fait tout.
Tu dois pouvoir raser les poils des bras avec ton fer.