
A mon avis, et pour avoir essayé, à moins d'avoir une scie à ruban et une lame impeccable et prévue pour, une fois ton bois scié, raboté les déviations et effacé les traces de sciage, je ne pense pas que tu auras gagné grand chose par rapport à une scie sous table correcte.
Si c'est pour du placage, il vaut mieux l'acheter.

Bonjour,
lorsque j'ai fabriqué mon établi, j'ai opté pour les solutions suivantes :
-le plateau a une traverse à chaque bout pour le contraindre ; elles sont fixées et collées par une grosse languette dans une rainure. Cela t'éviterait la fixation au milieu.
-les tenons dans le plateau ne sont pas traversants (pourquoi les faire traverser ?)
-le tenons de l’avant du plateau sont ajustés aux mortaises en épaisseur pour garder l'alignement avec les pieds.
-les tenons à l'arrière sont lâches en épaisseur pour permettre le mouvement de plateau lié à l'hygrométrie, mais ajustés en largeur.
-et suite au montage à blanc et bien le plateau n’est pas plus fixé aux pieds, il est juste emboité.
Ça n’a pas bougé significativement depuis 2016.
Je n'ai pas mis de règle escamotable, mais un «fouzitout» amovible, ce qui revient un peu au même. Il faut juste prévoir un jeu suffisant.
Voilà, si ça peut t'aider...

Je ne suis pas cuisiniste, mais vu le peu de réponse j'en tente une, ça attirera peut être des avis plus avisés...
Il y a une vingtaine d'année je me suis fait une Colonne comme ça, mais en chêne. J'avais prévu une entrée d'air en bas par un grille sur la plinthe et une circulation d'air sur l'étagère qui supporte le four et sur celle au dessus.
Je n'ai jamais eu de problème. Mais c'était peut-être superflu.

J'en ai vu là lejeunefreres....et-ameublement/
Mais je n'ai pas encore eu l'occasion d'avoir affaire à eux.


A mon avis, il y a bien-sûr le commerce et le marketing, mais surtout il faut penser qu'au début de la fabrication des premières machines (fin XIXe - début XXe s) les marchés n'étaient autant inter- connectés et le constructeurs sont partis sur des logiques techniques différentes.
Cela dépend sans doute aussi des habitudes de travail à la main au moment où ont été conçues les machines.
Là où il y a une philosophie vraiment différente parce que l'approche du travail du bois est très différente c'est en Asie, au Japon particulièrement.
Rabot et scie qu'on tire au lieu de pousser, travail au sol...Voir par exemple les vidéos qui montrent cette raboteuse de finition dont le fer est immobile et c'est le bois qui est entraîné.
Sujet intéressant.

Bonjour,
une hypothèse à vérifier : à l'époque où j'avais une Lurem 26 plus, lorsque la chaine était détendue et frottait un peu sur le haut de l’arbre de la raboteuse, c'était que les bagues de friction des rouleaux entraineurs étaient usées, et ainsi l’écartement des roues dentées était réduit.
Je ne sais pas si sur la C20 ce sont des bagues ou des roulements, mais ce serait à voir (?)