Bonjour,
Je suis assez surpris des différentes réponses, certes plaqué à la pompe sous vide n'est pas idéal pour des grands formats mais ça le fait avec un peu de méthode.
J'ai réaliser un projet d'une 10aine de portes (quasi 3m de haut) en fin d'année passée ce qui m'a permis de mettre au point mon process.
Tout d'abord il est vrai qu'il vaut mieux avoir des feuillets assez larges, avec le moins de joints possible et bien de fil ça facilite la tâche. Dans mon cas pas de chances c'était du noyer 
J'utilise un panneau martyr, rainuré en quadrillage sur qqles mm de profondeur avec la face lisse en contact avec mon placage et la face rainuré côté poche avec la buse d'aspiration qui croise une rainure De ce fait la poche aura une pression bien égale sur ton panneau.
Je commence pour ma part par allaiser mes panneaux donc support à la cote et placage en léger surcote maintenue à l'axe par un petit scotch bleu en haut et en bas.
Je plaque une face, 30min environ sous presse et je retourne pour plaquer la seconde immédiatement, la je laisse la demi journée minimum. Pression -0,7
C'est vrai que pour les manipulations il est plus simple d'être 2 vu les formats évoqués mais seul en se préparant bien ça doit être jouable.
Bon courage pour ton projet !
Je n'ai jamais fait de lamellé collé a base de CP, j'aurais tendance à me dire qu'un feuillet tournera toujours plus facilement. On trouve assez facilement du 30/10eme.
Difficile de répondre à la question sans voir le dessin ou avoir une idée au moins du rayon. Mais pour plier 10 CP, même fins faut pas que ça tourne fort.
Pour la colle, je te conseillerais l'epoxy c'est super costaud et tu n'auras aucun effet ressort.
Si ta section rectangulaire est moins large que la ronde (ce qui est le plus fréquent) tu fais une pénétration de ta section rectangulaire dans ta section ronde avant tournage, tu y places une pièce le temps de tourner ( fixation mécanique, collage au papier...)
Il te restera à enlever la pièce martyre et ta section rectangulaire rentrera parfaitement.
Tu peux aussi faire un assemblage ( tenon/mortaise, faux tenon...) avant tournage pour renforcer la petite pénétration.
Bien entendu si tes pièces cylindriques le sont déjà, c'est mort :)
Bonjour,
Je ne pense pas que tu auras du mal à trouver les longueurs nécessaire en faisant le tour des fournisseurs de ton coin.
Parcontre Juste en regardant ton plan je te conseil de te renseigner sur la conception d un escalier car la il est vraiment ultra raide. Tu trouveras pas mal d'infos dans les pas à pas sûr ce site.
Pour franchir 3m, il te faudra au moins 1m de plus de reculé, à toi te voir ou trouver cette distance.
Faire un quart tournant, depasser de la tremie ( attention à l'échappée ),... il existe plusieurs solutions
Je ne sais pas quel logiciel tu utilise, je suis pour ma part sur Rhino donc je ne sais pas si ma réponse sera appropriée.
Pour une forme comme celle ci je procéderait un peu de la même façon qu'à l'atelier. En partant d'une masse capable à laquelle j'enlève de la matière.
Je modélise un parallélogramme.
Je fais la coupe de pieds et de tête.
Je fais le gros 1/4 de rond en partie haute et la partie intérieur du pied.
(Vu à 45degre par rapport à la table)
Ensuite je fais les 2 coupes pour affiner le pieds.
Après je créer la forme de la matiere à enlevée (le gros chanfrein qui évolue en cintte) en faisant des coupes de sections (créer une surface par section) que ke soustrait au volume.
A l'atelier je fais pareil sauf pour la dernière étape que je commence à ma def et fini à la main, avec mes contre forme ( coupe de section ) pour contrôlé.
Je ne suis pas un expert en pose de parquet mais si tu souhaites boucher les espaces j'aurais tendance à faire un 1er ponçage grain grossier, reboucher les trous avec du liant et la poussiere du ponçage et après monter en grain. Avant la finition.
Ne pas utiliser se colle ou pâte à bois mais bien du liant, ça sera bien plus discret.
Pour tronconner j'utilise une makita sortie de lame max 85mm,mais à partir de 50 d'epais je passe à la tronçonneuse, une sthil électrique qui fait bien le taff.
Nous avons aussi la grosse circu en 130mm de sortie de lame mais trop encombrante.
Pas besoin de rail pour un débit, suffit de tracer un trait et de le suivre a peu de chose près, sinon risque de coincer la lame.
Pour le delignage la scie à format avec des lames Freud à racleur c est le top.
Est tu sur que tu ne peux pas gagner ces 2 cm qqles part ?
Après avoir démonter le max sur notre F45 elle ne passait toujours pas par la porte de l'atelier, on a simplement démonter le bouton ON/Off et c'est passé.
A voir aussi si tu ne peux pas faire sauter un bout de dormant de ta porte et faire un flippo après.
Très utile pour serrer des grands cadres ou autres pièces un peu dur d'accès ne nécessitant pas de grosse pression mais attention les extrémités sont pointues et s'insèrent dans le bois, c'est comme ça que ça ne glisse pas d'ailleurs. Pas de soucis en fond de rainure par exemple mais pour des boites ca risque de faire beaucoup de dégâts.
Lorsque j'avais fait ma caisse j'avais penser à la faire en 2 parties qui se posaient l'une sur l'autre pour pouvoir prendre que la moitié lorsque je partais en chantier. Ça me semblait être une bonne solution.
Finalement j'ai plutôt fait une desserte sur roulette avec pleins de tiroirs qui ne sort jamais de l'atelier
Mais ça me semble encore être un bon compromis.
Je te dirais de foncer sur la menuiserie.
Je trouve que les formations d'ebenisterie sont trop ancrées dans le passé aloes que la plupart des jeunes qui passent par ces formations finissent par faire de l'agencement derrière.
Et du coup il leur manque l'aspect production, organisation, rentabilité qui est vite enseigné menuiserie.
La frontière est flou et tu verras un peu d'ebenisterie en formation menuiserie.
Rien t'empechera derrière de t'orienter par la suite vers l'ebenisterie si le sujet t'intéresse.
Durant ma derniere année de BP menuisier j'avais bossé dans une ebénisterie et j'y suis même resté 1 an après.
À mon sens le chemin est toujours plus simple en venant de la menuiserie vers l'ebenisterie que l'inverse.
Beaucoup d'opinions différentes, qui font sens en fonction des ouvrages que l'on conçoit et fabrique, du nombre personne qui vont être amené à travailler dessus et tout simplement son aisance et son appétence pour l'outil numérique.
Pour ma part je suis sur Rhino3D et je vois vraiment ça comme une planche à dessin. Donc comme une épuré chacun y dessine jusqu'à la précision qui lui convient, je n'imagine pas dessiner une porte d'entrée sans représenter les profilages/assemblages pour m'assurer que tout passe Parcontre une porte de meuble assemblée en domino je vais pas m'embêter. Un des gros avantages est de pouvoir proposer des rendus assez précis aux clients (souvent avec un échantillon pour valider essence/moulure/finitions).
Nous sommes un tout petit atelier mais avec des ouvrages assez complexes, qui dure régulièrement plusieurs mois. Avoir la possibilité de se réimprimer telle ou telle partie de l'épure est un vrai plus.
Actuellement sur un gros escalier courbe a l'anglaise en lamellé on a par exemple pu imprimer la vue en plan pour chaque tour de collage, imprimer puis coller les développements sur chaque face des limons pour tailler...
Pour pouvoir sortir ses profils et ses fers à tailler avec un bon équilibrage c'est redoutable également.
Donc dans notre cas c'est un gain de temps et de précision énorme.
Après il m'arrive de temps à autres de dessiner un bout d'épure car je suis plus a l'aise pour tel cas sur papier ( l'aretier notamment...) Et grand nombre de croquis pour plein de raisons.
A mon sens maîtriser l'outil informatique est un vrai plus mais il ne faut pas négliger la version traditionnelle et de tte façon on ne pourra pas tracer qqlchose sur ordi sans maîtriser les techniques de traits traditionnels