Salut Philippe,
Il y a plus de personnes que l'on croit qui sont équipés de séchoirs. Faut demander à droite à gauche.
Si tu es dans une optique commerciale sur ce projet, c'est à mon avis la solution. Par contre, attention, il faut que ce soit bien mené, surtout dans de telles épaisseurs, sans compter que le châtaigner est taquin au séchage. J'ai quelques adresses, mais plutôt en Faucigny.
Après la mode ça change, mais le bois ça reste du bois. Si tu disposes d'espace dans de bonnes conditions de chaleur et de ventilation, le séchage naturel reste une bonne solution, surtout que le châtaignier n’attire pas trop les bestioles.
A ce sujet, je ne sais pas si tu est tombé la dessus cet automne : boutique.blb-b...l-arbre-au-bois
Il est très intéressant. Ça permet notamment de réfléchir et de remettre en cause cette histoire d'1cm d'épaisseur par an de séchage qui n'est pas bien fondée.
J'ai toujours dans l'idée de passer te voir mais je n'ai pas encore mis mon plan à exécution. Je vais sans doute devoir aller à Chambé dans les semaines à venir. Je te ferai signe.
A+
Hello,
J'ai eu a répondre à cette question lors de mon installation il y a eux ans.
Concernant la menuiserie et l’ébénisterie, tu ne peux pas prétendre au titre d'artisan sans le CAP correspondant. Le diplôme est donc nécessaire pour s’inscrire à la CMA et définir les 'activités' de ton entreprise.
L'ébéniste fabrique des meubles mais n'est pas sensé les poser. C'est le travail du menuisier. C'est absurde mais c'est ainsi et c'est purement statutaire.
Rien ne t’empêche de pratiquer ces activités sans diplôme ni "statut". Par contre tu ne peux pas communiquer avec les mots 'artisan', 'ébéniste', 'menuisier'.
Le second point c'est l'assurance qui peut être utile pour un ébéniste et indispensable pour un menuisier. Le diplôme n'est pas nécessaire à la souscription de cette assurance mais il est facilitant.
Si comme moi tu fais des meubles, qu'il t'arrive de devoir les fixer dans un mur, demande à ton assureur d'adapter sa formule à ton besoin car tu ne prends pas les mêmes risque qu'un poseur de fenêtres ou d'escaliers.
Bonjour,
Pour de telles épaisseurs, il faut choisir une résine epoxy à prise très très lente. Sinon de la chaleur se dégage lors de la polymérisation et la transparence ne sera pas au rdv.
Si c'est ta première coulée de résine, demande un max d'infos au revendeur (conditions de préparations du mélange, température de travail...). Tu risque de devoir faire en plusieurs coulées car je crois que le problèmes commencent au delà de 4 cm (5 jours de polymérisation à chaque fois environ).
Je te conseille la marque Sicomin.
Pour les leds 2 conseils :
Choisis des 24v avec transformateur plutôt que des 220V : plus fiable et moins de dégagement de chaleur.
Ne noie pas tes leds dans la résine. Au contraire, prévoit un accès pour la maintenance.
Bon travail.
J'ai fait un travail similaire l'an passé et à mon avis, tu peux prévoir une journée de pose complète. Entre la mis en route du chantier, la fixation des tasseaux, le tablettage et l'assemblage, il ne faut pas voir moins.
Mais comme dit plus haut, tout dépend du niveau de détail final.
Prévois aussi d’éventuelles retouches de peintures et de verni.
Il m'est arrivé de trouver de beaux plateaux chez des marchands de bois indépendants (60 cm).
En Europe, la forêt est exploitée à 75 % depuis des siècles et il n'y a que très peu d'arbres de ce calibre. Quand il existent, ce sont souvent des arbres très anciens qui en ont vu de toutes les couleurs (sécheresse, gels, ...) et qui sont très difficiles à exploiter et dont le marché ne veut pas (lourds, sensibles à la déformation, ...)
Bref, à mon avis, c'est très difficile à se procurer. A mon avis, il faut repérer un arbre qui vient de sécher sur pied, le faire abattre et scier à ses frais (encore que les scies n'ont pas des capacités de largeur illimitées).
Pas simple.
Perso j'ai commandé la mienne aussi en PU chez airpress.co.uk/
Content du produit et du service malgré les enquiquinements du retour de la douane entre le RU et nous.
Bonjour Rndm
Je suis surpris que la teinte soit une base huile sous un verni. Je ne suis pas un expert, mais il me semble que l'huile et le verni ne font pas bon ménage.
Pour les teintes, tu as plusieurs options.
La méthode peut être la plus traditionnelle mais aussi la plus souple est la teinte en poudre à diluer dans de l'eau. Elle reste toutefois assez délicate à appliquer car difficile à uniformiser. Et comme l'eau redresse le fil du bois, il faut prévoir un égrenage... sans enlever la teinte :
surgand-shop.f...50-grammes.html
Ensuite tu as les teintes au solvant qui sont plus facile à appliquer. Elles sont aussi miscibles entre elles pour affiner la teinte mais peut être plus difficile à doser
surgand-shop.f...nte-kardix.html
Je te donne les référence Surgand mais il y a d'autres fournisseurs tout aussi bons
adler-vernis.f...tions/teintures
dictum.com/fr/...ml-blanc-810174
bordet.fr/deca...es-c102x3735860
Personnellement je n'ai jamais eu de très bon résultats avec les teintes Liberon qu'on trouve en GSB, mais c'est sans doute plus la faute de l'homme que du produit.
Dans les teintes à l'eau, tu peux ajouter une goutte de produit vaisselle qui va annuler les effets de la tension superficielle de l'eau et permettre une meilleurs pénétration/uniformisation.
Pour ta teinte Expresso, je partirai d'une base Wengé refroidie avec une touche de noir et diluée pour ne pas être trop foncée.
Dans tous les cas, mélange plus de teinte que nécessaire et conserve un moment le surplus pour les retouches. Note aussi bien la formule du mélange de couleurs réalisé et conserve là.
Bonjour,
J'ai effectué mon premier exercice avec Clémentine compta. J'en ai depuis changé pour un cabinet plus proche de moi et voici mon retour d'expérience.
- Le service juridique de Clémentine à été très efficace pour moi, notamment pour la création de la société (SAS).
- Clémentine met a disposition un comptable attitré effectivement très facile à joindre et réactif mais dans les faits, le conseil est très limité.
- La prestation comptable repose beaucoup sur leur app. et celle ci est trop limitée à mon gout. Pas de gestion de projet qui permettrait une analyse a posteriori (en liant les dépenses au ventes et au clients par exemple). Pas de personnalisation du plan comptable. Pas de gestion d'un paiement partiel des factures, ...
Ce sont pleins de petits détails qui sont limitants pour nous qui travaillons sur des projets parfois longs et couteux. C'est bien plus adapté à un prestataire de service. - Toute l'analyse est basée sur les mouvements bancaires et non sur les factures achat/vente. Du coup les valeurs sont décalées dans le temps et difficile à analyser.
Voila. Je ne regrette pas d'avoir effectué cette première année avec eux, car c’était très facile à gérer et pas cher. Il faut simplement prévoir l'évolution.
Bonjour,
La question à déjà été pas mal traitée : lairdubois.fr/...ation invisible
Mais pour résumer, une tablette de 18 mm d'épaisseur fonctionne.
MDF déconseillé. A la rigueur, mieux vaut utiliser de l'agglo mélaminé qui sera bien plus rigide. Sinon le bois massif est aussi un matériau formidable 
.
Il existe plusieurs systèmes d'équerre invisible, mais leur charge est rarement très élevée. Tu peux aussi planquer une équerre dans un faux livre.
A+
Cet ouvrage notamment est très intéressant car il décortique la construction des meubles dans des éclatés.
editionsvial.c...-du-meuble.html
lepuitsauxlivr...e-du-meuble.jpg
Bonjour Boris Beaulant en effet, les apparence 3D et 2D ne se comportent pas pareil.
Pour du massif, le plus simple est vraiment d’utiliser un matériau 3D (il est procédural) et de le positionner/orienter avec le contrôle de texture.
Note qu'en déplaçant le centre de apparence, tu peux représenter du quartier ou de la dosse, comme si tu te déplaçais dans le tronc.
Attention au réseau circulaire. S'il concerne des corps au sein d'un même composant, alors les positions des apparences seront liées. Souvent c'est embêtant.
Mieux vaut effectuer un réseau de composants (ce qui implique d'avoir déjà structuré son modèle). Et puis un réseau de composant à aussi l'avantage de répercuter les modifications apportées à un pied sur les 3 autres.
Et pour être complet, les problèmes arrivent lorsqu'on commence a dessiner du placage. Comme l'orientation des fibres peut aller dans tous les sens sur une pièce, c'est bien embêtant.
Pour l'instant, je n'ai eu a traiter qu'une seule fois ce problème et j'ai créé des composants pour chaque feuille.
Voilà. En espérant que ca aide.
Pour de la 3D, si tu souhaite rentrer dans les détails de conception, je te conseille vivement fusion 360. Il est moins bon dans le domaine architectural où Sketchup, grâce à sa très grande bibliothèque de composant et sa prise en main ultra simple est plus adapté.
En 2D, je te conseille SolveSpace, logiciel trop peu connu à mon gout, qui bénéficie d'un réel solveur d'esquisse. Il peut aussi faire du 3D, mais mieux vaut ne pas trop y perdre de temps.
Tu peux aussi jeter un oeil à ce sujet
comprendre-les-differences-entre-plusieurs-logiciels-de-modelisation-a-travers-un-meme-travail
Salut,
Après une petite année d'utilisation du couple FB+Insta, ma conclusion est que c'est indispensable mais très peu efficace.
En gros, il faut que les gens qui te cherchent puissent te trouver, mais ça n'apporte pas vraiment de marché, car les gens qui te trouvent (sans te chercher... bref ceux que tu aimerais toucher) sont souvent des confrères ou des curieux et pas vraiment des clients potentiels.
Salut OlivierR
J'ai effectué peu ou proue le parcours que tu viens de décrire sur les années 2019-2020 : BE Mécanique pdt 15 ans -> transition Pro -> Formation à l'Estampille à Vallières -> Création de mon atelier aidé par le dispositif démissionnaire + l'asso Initiative de mon secteur (Genevois en l’occurrence).
Tu peux m'appeler au 04 69 96 48 49 (N° Pro) si tu veux en discuter mais en deux mots:
Le parcours est long et passionnant. Si tu prends le temps d'effectuer avec soin toutes les étapes préparatoires, y compris les plus pénibles, comme les dossiers Transition Pro ou le business plan ensuite, les choses se passeront bien.
De mon expérience, une reconversion, c'est beaucoup de travail, de découvertes, de rencontres et d'émotions. On remet beaucoup de choses en cause et ça secoue pas mal. Je n'en dit pas plus, à chacun son histoire.