Perso, j'aime bien le montage mi-bois. Cette bilbiothèque comporte plusieurs mi-bois, mais ça reste avant tout une question de goûts, de temps, d’outillage et d’expérience (travailler le chêne, ses compétences etc.).
Le gros avantage : bien réalisé, c’est solide, démontable et ça peut tenir sans colle. Ça donne aussi un rendu très propre et "menuiserie traditionnelle”, ce qui apporte un vrai plus esthétique (selon moi).
Par contre, il faut garder en tête comme le souligne Ara :
- qu'une certaine précision d’usinage est nécessaire pour que l’assemblage soit bien ajusté (sinon ça perd en rigidité),
- que ça peut être chronophage par rapport à d’autres solutions plus simples (tourillons, dominos, lamellos, vis...),
- sur des sections fines ou des bois moins résistants que le chêne, l’assemblage mi-bois peut affaiblir la pièce au lieu de la renforcer,
Ici ça ne me semble pas indispensable : un assemblage plus simple fait tout aussi bien le travail.
Donc à toi de voir en fonction de tes compétences, du temps que tu veux y consacrer, et de l’effet recherché entre praticité, solidité et esthétique.
idf-machine-bois.fr/
Ils sont à Vitry, donc pas très loin de Vincennes. Il est facile de se garer là-bas et sont plutôt sympa. Il n'y a pas tous les outils Festool, mais il y en a beaucoup. Tu vas avoir aussi Mafell, Lamello...
Tu as des combinés également.
Deux précautions :
Évite de stocker ta colle dans un endroit où elle pourrait être exposée à des températures négatives.
En période hivernale, veille à ce que la température de ton atelier et celle de la colle ne descendent pas en dessous de la valeur recommandée par le fabricant lors des collages.
En dehors de ça, have fun !
Coucou Marc Janod,
J’avais fait un gabarit assez similaire il y a quelques années avec des profilés alu 2060
.
Pour répondre dans l’ordre à tes questions :
Le mien fait 600 mm. Qui peut le plus peut le moins, mais il n’y a pas de réponse absolue : ça dépend vraiment de tes projets et de ce que tu comptes réaliser avec.
Quand tu parles de fixations, tu veux dire pour maintenir le gabarit ?
Jamais utilisé sur champ, uniquement à plat. J’emploie du scotch double face si la surface ne permet pas de le fixer avec des serre-joints.
Les deux, mon capitaine !
Autres accessoires : tu pensais à quoi exactement ?
Ma remarque principale : c’est un gabarit à usage très limité (du coup, quel serait ton usage ?). Honnêtement, quatre bouts de bois et du scotch double face font tout aussi bien le boulot. Si c’était à refaire, pour mon usage, je ne le referais pas.

C’est une bonne scie sauteuse, la Makita. Si tu as l’électricité à disposition, autant éviter les machines sur batterie.
Tu comptes faire des découpes courbes ?
Perso, plutôt qu’une scie sauteuse, je partirais directement sur une scie circulaire — ou mieux, une scie plongeante comme la Makita SP6000. C’est beaucoup plus polyvalent qu’une scie sauteuse, qui reste utile mais surtout dans des cas très spécifiques.
Et si un jour tu as vraiment besoin d’une scie sauteuse, tu peux en trouver facilement d’occasion sur Leboncoin, il y en a plein.
Thermique -> tu as besoin de la machine avec une amplitude de plusieurs heures par jour.
Electrique -> quelques minutes dans une journée (plusieurs dizaines de minutes).
Stihl thermique, increvable. Electrique pas de retour.
Electrique en 18v de chez Makita (ce que j'ai) -> parfait pour un usage modéré. Pas de bruit, pour un travail tranquille et non pressé par le temps. La scie se bloque de temps en temps. Moins puissante. Jamais essayé du 36/40v.
Sinon j'emprunte les Stihl (thermique) de mon cousin lorsque j'ai bien plus gros et que je dois découper plusieurs heures.
Ton usage me fait pencher vers une thermique pour toi.
Clous ? Vis ? Vous testez ce qui est métallique dans le bois ?
C'était du délignage avec la 72 dents ? Dans du massif ?
Avoir des outils propres et adaptés. Pas une 72 dents si délignage par exemple.
Faire une petite formation de bienvenue obligatoire, même courte, avec les règles de sécurité de base ou des rappels sur les machines ?
Contrairement à Jalma, je pense que ça ne tiendra pas (aussi, quelle est la nature du sol?). Dès que tu vas mettre un peu de tension sur ta voile d'ombrage les pieds vont bouger, et t'es quand même proche de la mer, du vent tu dois en avoir...
Perso, je ferai les choses comme ça => tarière => trou de 60-70cm, tube PVC supérieur ou égal à 150mm dans lequel tu coules du béton, platine ouencre en H. Même avec ça il est probable que ça bouge avec la tension que tu vas appliquer à ta voile, mais au moins elle va pas s'envoler.
Ce qui est chiant c'est que tu devras à nouveau creuser pour enlever le béton du sol.
Tout dépend donc, combien de temps tu envisages de garder cette installation.
PS : faire attention aux canalisations/élec à ces profondeurs 
"Petit atelier", c’est tout relatif !
Je pense que beaucoup aimeraient déjà avoir une surface comme la tienne 
Petite question subsidiaire : ton atelier est exclusivement destiné au travail du bois ? Ou bien - comme tu parles de rénovation - il servira aussi à d’autres usages (stockage de matériel électrique, plomberie, outillage divers, etc.) ?
Si c’est un espace "polyvalent", alors un combiné peut être une bonne option pour limiter l’encombrement.
À l’inverse, si ton atelier est entièrement dédié au bois, des machines individuelles peuvent avoir plus de sens en fonction de ton budget, de tes besoins et de l’évolution de tes projets.
Il est aussi important de penser à l’avenir : quelle sera la destination de cet atelier dans 5 ou 10 ans ? Ton usage risque d’évoluer, autant l’anticiper dès maintenant.
Enfin pour répondre à ton interrogation : oui, un combiné peut tout à fait trouver sa place dans ton espace !
Mais comme toujours, ça dépend de ce que tu veux faire. Si tu travailles essentiellement du panneau, ce sera moins pratique. En revanche, pour des projets de meubles ou de menuiserie (portes, bâtis, etc.), c’est tout à fait envisageable. Il existe d’ailleurs des combinés plus ou moins compacts selon les modèles.
Fais un plan de ton atelier avec différentes configurations — combiné, machines séparées, meubles d’atelier (servantes, PAC, SAR, etc.) — et l'emprunte au sol pour visualiser concrètement les flux, les dégagements nécessaires, et l’espace disponible une fois tout en place. C’est souvent très éclairant !
