Garde tes sous et économise encore un peu pour acheter du plus sérieux. Ces machines ne sont que des bouts de tôle et de plastique vibrants ne pouvant t'offrir qu'un travail médiocre et décevant de précision. A la rigueur juste bon pour débiter de la planche pour faire du coffrage de béton mais pas pour de la menuiserie
'Sans se ruiner' cela est relatif et très subjectif en fonction de chacun sachant que le 1er prix est souvent le plus cher au définitif.
'pour un usage amateur sans prétention' il y a 2 cas de figure, les bricoleurs amateurs qui collectionnent des outils qui prennent la plupart du temps la poussière dans le fond du garage et ceux qui une fois équipés trouvent plein d'occasions de les utiliser. Dans le 1er cas, des achats en GSB sont bien suffisant, dans le 2ème, il est préférable d'investir dans du milieu de gamme professionnel. Makita ont des outils pour le bois tout à fait convenables en rapport qualité prix, au dessus il y a Dewalt très qualitatif en radiale.
Ensuite c'est une question de moyens mais on peut aussi envisager sous un autre angle comme d'amortir le matériel avec ses réalisations, chantier de rénovation par ex
Juste une mise au point en ce qui concerne l'aérogommage, il y a souvent confusion entre aérogommage et sablage, y compris de la part de certains fabricants de matériel. L'aérogommage
est une activité qui demande une machine spécifique et de l'expérience pour utiliser l'abrasif et la pression d'air adéquats (pas de sable ni sableuse) et cela en fonction de la matière à décaper pour ne pas la dégrader. On peut par exemple enlever de la peinture sur une vitre sans la dépolir, il faut pour cela utiliser une poudre adaptée comme de la coquille de noix broyée. Cependant certaines matières ne peuvent pas être aérogommées comme les bois qui ont en alternance des veines tendres et dures genre sapin, de même que les vernis et peintures trop pateuses comme l'epoxy .
Si la surface du chêne est vraiment creusée, cela est peut-être dû à un décapage trop brutal. Néanmoins, l'état de surface obtenu ressemblera plus à un bois brossé avec les pores ouverts plutôt qu'à un ponçage fin, il faut donc le savoir. Demander à voir des échantillons de résultats avant de donner à faire l'ensemble du travail est une sage précaution pour ne pas être déçu des résultats.
Pour ce qui est des produits de finition, il n'en existe aucun qui empêcheront le jaunissement à la lumière, les produits aqueux sont plus incolores que les solvantés mais ne seront pas durablement stable à la lumière.
Peut être que si tu commençais par remplir ton profil avec région et ville de résidence, tu pourrais peut être te faire des potes près de chez toi qui pourrais te dépanner en corroyage si bien sur il ne t'en faut pas 200m². Et peut être aussi de belles rencontres en perspective et échanges de services qui vont avec mais à condition de rester raisonnable et pas pic assiette bien sûr.
Moi je verrais plutôt des faux tenons en bois dur (robinier) dans des mortaises faites sur les poteaux, puis des mortaises en bout de la main courante mais débouchantes en dessous, idem pour la lisse basse, pour la pose, juste à laisser glisser le garde corps vers le bas puis cheville ou colle pour immobiliser.
J'ai acheté un atelier de 6x12m, je sais au bout de 12 années d'expérience que je préfèrerais plutôt 7x10 pour avoir assez d'espace au milieu ce qui est d'autant plus important pour l'utilisation d'une scie à format.
Dans ton cas compte tenu de la forme de ton terrain et des lois d'urbanisme, cela pourrait faire 7x7x10(11)m soit environ 63m².
En menuiserie, si l'on veut s'équiper de toutes les machines de base, c'est un minimum et il faudra faire preuve de multiples compromis. Il existe 2 numéros spéciales du Bouvet qui traitent ce sujet par plusieurs exemples d'ateliers de menuisiers amateurs et professionnels
Tout le monde n'a pas la possibilité de disposer de d'un atelier de la taille de celui qu'avait réalisé Timothy Wilmots dans un ancien bâtiment agricole. youtube.com/wa...h?v=WfehVmSEyLQ
C'est une simple question de rapport coût de réparation/valeur de l'outil. Les affûteurs au delà de 3 pastilles sur une lame de circulaire considèrent que ça ne vaut plus le coup. Donc demande devis chez Leitz par exemple pour vérifier si c'est rentable, une telle fraise vaut dans les 250 à 300 €
Ou il te manque une phase, un fusible grillé ou un fil coupé.
Sinon commutateur mécanique étoile triangle usé ou cassé ou plots de contacts cramés.
Soit le remplacer par un neuf du bon calibre, ex celui ci est en 25A :https://www.technic-achat.com/demarrage-manuel-etoile-triangle-c2x35877298?gclid=Cj0KCQiArt6PBhCoARIsAMF5waiQmYppRk65ljkEjmHI1b6XyszoA4FDMf8epB9x3EXl0hbGWEos1OUaApvKEALw_wcB.
Autre solution plus moderne mais plus coûteuse, en profiter pour rénover électriquement la bécane en montant un double connecteur étoile triangle avec disjoncteur thermique, le tout câblé avec boutons de commande marche et arrêt tournant 3 positions, 0, étoile, triangle, coup de poing Arrêt d'urgence et non redémarrage après manque de courant.
J'ai par le passé réalisé des tas de pancartes et signalétiques avec une fraise à écrire. Pour ce faire, j'imprimais le texte avec une police de caractère genre 'handscript' puis faisais des agrandissements à la photocopieuse. Ensuite je vaporisais sur l'envers de la colle en aérosol non permanente genre post-it 3M par exemple.
Ensuite reste à coller la feuille sur le support est travailler en écrivant en tenant la défonceuse d'une seule main en écrivant d'un geste souple, rapide. Il ne faut pas vouloir suivre absolument le modèle pour que le résultat soit le plus arrondis possible et non saccadé. Cela semble compliqué mais facile en réalité.
La planéité des tables en acier dans le temps reste très très aléatoire ainsi qu'aux variations de température. A moins de pouvoir tester le fonctionnement et de contrôler avec une règle rectifiée, je passerais mon chemin. Il s'agit d'un bel exercice de mécanique générale mais sans doute doté de défauts comme tous les prototypes. Les autres points ont déjà été traités dans les autres postes.
Bref, à ce prix, je serais très prudent.
Déjà il faut des bois le moins tord et nerveux possible, droit de fil mais il y a toujours des tensions internes. Si tu as le temps, une semaine, c'est bien mais attention au changement de température et d'hygrométrie s'ils sont différents du lieu d'où vient ton stock. Ensuite, une fois corroyé et usiné ne pas traîner pour faire les assemblages en mariant au mieux les pièces pour qu'elles s'équilibrent. Il est de prudence de débiter toujours des pièces de rab à la fois pour les pointages machines mais pour pouvoir éliminer lors de l'assemblage celle qui seraient douteuse.
On adapte la vitesse de coupe ou vitesse linéaire (en m/s) en fonction de la matière à scier et en fonction du diamètre et de la spécificité de lame. Sur une SAF on peut couper une multitude de matières, bois, panneaux dérivés, plastiques, composites, aluminium, panneaux sandwichs à tôles acier, stratifié compacte et j'en passe. Tout cela avec différentes lames adaptées aux matières et épaisseurs, lames acier, à dentures carbure de différents profils et il y a même des lames diamantées pour couper le stratifié compacte par exemple. Le domaine des possibilités d'utilisations de cette machine est vaste et peux correspondre à plusieurs activités professionnelles, menuisier, ébéniste, agenceur, carrossier constructeur en aménagement de véhicules spécifiques comme véhicules pompiers, frigo, camping car, ambulances,bétaillère..., et bien d'autres métiers encore.