
Bonsoir
Le problème est assez difficile car si tu stipule que le bâtiment va être chauffé et isolé.
Ta porte dans l'état actuel est sans dormant posées directement en feuillure donc d'une efficacité réduite en terme de chauffage et isolation.
Donc avant de parler à proprement dire de système constructif il va falloir que tu parle avec ton client à savoir si il veut une performance accrue aussi bien en termes d'isolation que sécuritaire de sa porte en conservant évidement l'aspect original .
Les solutions existent mais il me semble opportun de bien définir le cahier des charges avant toutes choses car cela va se répercuter sur ton devis bien évidement.

Bien sur trente six seb il existe des tracés pour les anses de paniers , les chapeaux de gendarmes , les ogives et j'en passe .
Mais tu nous montre une porte de buffet rustique , le mieux est de consulter les livres concernant les meubles régionaux ou tu verras les formes les plus usités.
La manière de les tracer n'est pas à mon avis codifié et je pense que c'est mieux ainsi.
Ma démarche est la suivante elle vaut ce quelle vaut.
Tu te munis d'une craie et d'un contreplaqué. tu définis les limites de la courbe (arasement par exemple) Et puis tu te lance laisse allée ton inspiration il faut que la courbe ne casse pas avec une petite éponge du peux la lissée pour supprimer les cassures.
La craie permet d' épaissir le trait l' éponge de l'affinée. En faisant tourner le contreplaqué tu vas pouvoir regarder ta courbe sous tous les angles . En termes de métier on dit que la courbe doit avoir de la Fesse
Quand tu est satisfait du résultat tu passe au découpage du contreplaqué ou au transfert de la courbe afin d'obtenir un calibre.
Les points important
Il faut soigner la courbe au niveau des arasements la redresser se souvenir que le raccord de moulure d'une partie droite et d'une courbe donne une courbe sur la moulure.
En cas de mouluration important il est bon de comprendre que
les moulure engendre une succession de courbes il en va de même avec les plate de bande qui suivent les moulures .Il est bon d' en tenir compte afin que la courbe ne soit pas trop rétrécit ou agrandit selon le cas . Pour cela souvent on trace la courbe du milieu des éléments concernés.
Tu voie par exemple il existe un tracé du pieds louis Xv il permet de comprendre quelque règles de sa conception. Mais d'un coté il te fait perdre un certain contact avec ta courbe à mon avis il faut garder la main de l'ouvrier sur ses phases de travail.
il en va de même avec les logiciel de dessin ou la courbe devient un peu abstraite et fait perdre à l'artisan le contact avec la matière.


Bonjour
Pour une cuisine il est prudent d'employer des plan de travail qui sont déjà hydrofuge. Dans le cas contraire il faut enduire de silicone toutes les tranches apparentes avec du silicone afin de' empêcher toutes pénétration d'eau. La jonction se fait ensuite par collage (lamello , domino , tourillons vis d'assemblage etc).

Salut
pour l'établissement c'est le cœur au dessus de la marches et de préférence sur le devant de la marche ( pour limiter l'usure le bois le plus dur étant prés du cœur.
Ici nous pouvons considérer deux écoles en effet certains escaliéteur préconise de prendre les marches en une pièce , d'autre de reconstituer la marche .
Dans votre cas la marche n'étant pas pris dans des entailles je dirais de faire un collage en conservant le cœur dessus et au bord du nez de marches puis d'alterner afin de limiter les risques de tuilage.
Pour l'épaisseur selon vos dire la marche ne jouera pas un rôle structurel mais du coté de l'esthétique 22 mm vont sembler bien petit si le chant est apparent. On considère que l'épaisseur du marche devrait être au moins égal à son débord, prendre aussi en compte l'importance de l'emmarchement..
Ne pas oublier aussi l'éventuel souplesse de l'ensemble.
Les précautions on peut envisager de monter les marches en interposant une bande résiliente
pour Limiter les éventuels grincements.


Bonjour
Alors comme le dit Palissandre tu peux envisager de dresser les faces à la défonceuse.
Néanmoins pour progresser je te conseillerai de garder ta technique c'est à dire un tracé précis , suivi d'une ébauche ( Mèche + scie sauteuse en restant assez loin du tracé car la lame dévie) puis tu dresse au ciseau. Pour réussir tu dois faire une mortaise un peu plus petite que ton tenon . Tu fait un tenon pus long que l'épaisseur de ton plateau, puis il faut faire de l'entrée en bout de tenon pour commencer à l'entrer dans la mortaise.
A partir de là il faut pas être timide un ou deux coup de massette voir de masse avec un martyr vont résoudre ton problème.
Le bois de ton tenon sera comprimé contre la mortaise donnant un assemblage parfait.
Bien vérifier les joues de ta mortaise qui ne doivent pas s'évaser dans le mauvais sens.

Bonsoir,
Plusieurs éléments sont à prendre en compte :
En premier lieu si l'isolation est entre chevrons il y a pas de questions à se poser par exemple pour un isolant de 600 on va garder 580 entre les chevrons.
Les accidents de toiture ( lucarnes, velux , etc ) vont aussi déterminer l'entraxe des chevrons. La pose de la volige ou de panneaux conditionne aussi l'entraxe.
Une fois toutes les contraintes intégrées on vérifiera avec les charges de structures et les charges climatiques la section des chevrons et si leurs entraxes est valables.
Pour résumé selon le cas l'entraxe est imposé par des contraintes techniques et on vérifie par le calcul la section de chevron qui correspond à cette contrainte.
Sans contrainte le calcul vérifie la section des chevrons et nous donne un entraxe.

Au vu de la photo ils ne coupent pas que du massif ; c' est pas possible ?
Comme dit trente six seb La largeur de la lame ne dépend pas de l'épaisseur du bois mais du type de travail chantournage ou délignage. Plus la courbe est serrée moins le ruban est large.
Les solutions: laisser que les rubans les plus larges sur la scie qui sont plus facile à régler et qui se voile moins. Le chantournage avec des rubans fin ne s'utilise qu'avec assez peu de projet.
Si on ne coupe pas que du massif installer des lames bimétal qui auront une durée de vie plus longue et vous épargnerons les lames normales pour le massif.

Bonsoir
Alors cela dépend un peu de la conception de ton ouvrage . Quand tu dit persienne je ne vois pas bien le rendu final . Or selon l a conception si il y a des parties horizontales par exemple ou l'eau peu stagner la classe d'emploi des bois va changer. A minimum il te faut des bois classe 3 voir classe 4. Par exemple le robinier que tu cites est classe 4 est un bon choix . Tout les bois on un classement de service je t'invite à faire une recherche pour voir à quoi cela correspond. Le chêne est classe 3 c'est si je puis dire sa classe native mais il peut acquérir après traitement la classe 4. Les bois exotique (ipé, padouk ,merbau )sont classe 4.
Mais le plus important est de réaliser un ouvrage ou l'eau ne va pas stagner.

Bonsoir;
Pour la hauteur une fausse table sur la toupie résout le problème sans pour autant être dangereux.
Les vibrations sont plus problématiques ces fraises de petits diamètre doivent tourner très vite ;regarder la vitesse préconisée marqué sur la fraise; vérifier la fixation et si il y a du jeu dans l'arbre.

Pour compléter la réponse Ardennais je précise que les plinthes automatique peuvent être encastrables ou en applique ( intérieur ou extérieur). Les systèmes sont descendant ou pivotant selon le modèle.
Les portes doubles posent un problème au niveau de la battue centrale qui va provoquer la discontinuité du joint. La présence du seuil permet de limité ce problème sans pour autant le supprimer totalement .
Pour un atelier la présence du seuil alu n'est pas souhaitable pour des raisons de commodité d'accès. Pour avoir une porte étanche, je pense qu'il faut se diriger sur une porte à recouvrement à simple ou à double joint. Ici il y a une option de conception à savoir la réalisation de la battue centrale peut se concevoir à battue rapportée ou à feuillure contre feuillure entre les deux ouvrants. En cas de battue rapportée on se place dans le même cas que le raccord dormant ouvrant ce qui rend plus facile la gorge de décompression. Néanmoins la battue complique l'étanchéité basse à l'aide de plinthe encastrable. Néanmoins on peut arriver à des résultats satisfaisants quelques soit la méthode choisie. On peut envisager de laisser dépasser un peu la plinthe (plinthe en applique) sur l'autre ouvrant pour limiter les jeux.


Bonsoir
Sur la vue en plan ton limon fait lattis avec le poteau à l'intérieur de l'emmarchement.
Il suffit de le mettre au milieu de ton poteau ou du moins de laisser un carré . Je viens de voir enfin de compte que ton escalier est entre un rampe sur rampe et un deux quart tournant. Alors soit tu fait un rampe sur rampe et les limons seront l'un dessous l'autre , ou pour un deux quat tournant ou tu jumelles deux poteaux, ou tu fait un noyau. Car dans ta configuration tu n'as plus de passage de main au niveau du limon de remontoir. sinon le fait qu'il reste très de bois n'est pas très gênant car ce n'est que le niveau de la marche qui est concerné. Je n' est pas la vue en plan mais le poteau va être entaillé par pas mal de marches et contre marche.

Bonjour,
Effectivement Simple taille , angle arrondi (angle vif peu provoquer une faiblesse de la dent et un risque de crique), la longueur est une question qui à moins d'incidence .
Les nôtre viennent des forges de la loire mais cela fait longtemps.
Je recommande quand même de les donner à un affuteur après quelques affutage manuel pour remettre les dents à la même hauteur.


Bonjour,
Pour le collage chacun y va de ses astuces . sylvainlefrancomtois ;tarpan ;trente six seb en ont donnés quelques une.
La plus part du temps c'est la difficulté de faire tenir la cale martyr vient de la position de collage.
Je m'explique pour les petits collage panneaux; portes, cadres le plus simple est de se confectionner des tasseaux de collage .C'est de simple T en panneau (voir fig 1) vous poser votre ouvrage sur les T eux même posés sur l'établi ou une surface plane afin de pouvoir passer facilement les serre joint dessus dessous pour contrarier le gauche et la cale martyr est simplement posé sur l'établi ou sur le prolongement des T pour pas avoir à la tenir.
Pour les ouvrage plus grand il faut savoir qu'il ne faut pas les coller debout sur leur pieds . Il faut rendre le serrage vertical et non horizontal. Pour arriver à ce résultat il faut poser des chantiers par terre puis en croiser deux autres dessus puis poser l'ouvrage dessus. En procédant ainsi vous aurez un serrage vertical dispensant de tenir les cales.
Pour les cas courant il suffit de se confectionner des équerres martyr d'une dizaine de cm en cp ou autres matériau les garder à portée de main elle tiennent aussi toute seule
Simplement avec cela cela solutionne les cas courant. le plus important et la position de serrage . Evidement je ne parle pas des collage avec dormant ou cadreuse ou le problème ne se pose pas.

Bonjour,
Il faut d'abord considérer la courbe.
1 er cas : Le cintre est très plat et peu s'assimiler à une droite du coup il n'y a pas de problème particulier sinon un arasement biais . raccord de moulure ou contre profil tout marche.
2ème cas le cintre est prononcé alors on peut envisager un arasement courbe. . Dans votre cas cela pose pas de problème faire l'arasement biais en le faisant passer par les deux pointes d'extrémité de traverse afin d'avoir le bois nécessaire pour mettre en forme l'arasement en arc de cercle. Calibrer l'arasement avec une défonceuse ( mèche à roulement et calibre de la courbe) . Raccord de moulure à coupe ou en cas de contre profil le pousser sur l'arasement biais puis après la réalisation de l'arasement courbe recreusé l'intérieur cela marche dans la majorité des cas.
A noter en cas de molures importantes il faudrait aussi faire un raccord courbe sur la moulure.
On peut aussi ravancer la traverse pour obtenir un arasement biais en cas de forte courbe
Mais la solution est moins élégante
ou aller chercher la fausse coupe d'onglet.

Bonjour,
Pour fabriquer une pièce héliocoïdale à la machine:
Il y a la technique du tour à torsade décrite par Kentaro qui est assez lourde mais qui décrit bien le principe de réalisation.
Le cas de poteaux en spirale se retrouve parfois dans la fabrication d'escalier ou le poteau central est une spirale.
Une méthode de fabrication est la suivante.
Réalisation d'un cylindre ( toupie, scie à format etc)
Puis le principe est le traçage de la spirale sur le cylindre pour cela je te revoie aux explications de sylvainlefrancomtois .
Ensuite on fixe des bandes de cp qui matérialise les ailes de la spirale suivant le tracé sur le cylindre.
Puis on fabrique des lunettes en panneau en leur centre il y aura le défonçage du cylindre puis deux entaillages de la taille des cp fixé sur le cylindre.
Plusieurs lunettes fixées sur un panneau vont permettre le guidage du cylindre selon la forme de l'hélice . L'usinage peut se faire à la format, à la radiale , à la défonceuse,, etc Enfin de compte les cp forment une sorte de filetage qui oriente ta pièce.
Alors je n'ai jamais à réaliser le cas ou l'n veut plusieurs arêtes il faudrait réfléchir un peu plus mais à priori cela devrait marcher aussi à voir?
Evidement il faudra faire la finition à la main avec un rabot à débillardé par exemple.