d'après l'arrêté de 1945 encore en vigueur : chêne, châtaigner, frêne, charme et robinier sont autorisés pour tout aliment ; hêtre, noyer, orme et peuplier pour les solides alimentaires.
dans différents avis suivant, la liste des essences semble avoir été étendue :Chêne, châtaignier, frêne, charme, robinier, sapin, épicéa, douglas, pin maritime, pin sylvestre, peuplier, hêtre, platane, tremble, aulne, olivier, bouleau sont autorisés pour tout contact alimentaire.
On trouve cette liste élargie sur différentes source : ici
ou là par exemple.
On le vois, c'est un peu le bordel puisque d'après certains textes le Hêtre ou le peuplier ne sont autorisés que pour les solides, dans d'autres ils le sont partout... Je pense que tant qu'un "industriel" n'a pas fait de demande spécifique pour une essence qu'il utilise régulièrement, le législateur ne se pose pas la question.
Le problème que tu vas rencontrer par rapport à ton plan c'est la rigidité dans la longueur.
Rajouter des traverses hautes (en tenon mortaise) pour faire une ceinture et augmenter la largeur de tes traverses (pour qu'elles soient plus haute que profondes) résoudra le problème. Un plateau épais en lamellé collé lié aux pieds par tenon/mortaise résoudrait aussi le problème soit dit en passant.
Les tirefonds pour le côté démontable, je suis un peu sceptique. Tu peux peut être décaler en hauteur tes traverses en profondeur par rapport à celle en longueur, et ainsi faire un chevillage traversant (comme en charpente). Pour démonter il suffira de mettre quelques coups de maillets pour faire sortir les chevilles. Ca te permettra aussi d'utiliser des mortaises débouchantes qui me semblent plus faciles à réaliser avec le matériel que tu cites : dégrossi à la perceuse, puis équarrie au ciseau ; sans bédane tu risques de tordre tes ciseaux en équarrissant une mortaise borgne.
Pour le chevillage, deux chevilles c'est bien, mais il faudrait les mettre en décalé sur la longueur du tenon.
Au tour c'est faisable, si tu maîtrise bien la plane (mais genre vraiment bien) :
_commencer par débiter des carrelets de 6 à 10mm de côté et de 30-35cm de long
_si tu n'as pas de mandrin assez petit pour prendre ce type de carrelets, tu peux en fabriquer un en prennant un carrelet dans ton mandrin, en perçant le centre avec une mèche de la taille de tes futures baguettes, et en y découpant une croix pour pouvoir rentrer ta baguette en force.
Pour la contre-pointe, il faut de préférence un cône inversé. Si tu n'en as pas, ça se tourne aussi.
_y'a plus qu'à tourner à grande vitesse à la plane. Je le fais en tenant la plane à une main et en soutenant la coupe avec l'autre main pour éviter les vibrations (autrement dit avec la main directement sur l'objet en rotation, la main faisant office de lunette de tournage mobile) ; d'où la nécessité de maîtriser la plane et les trembleurs car sinon brûlure ou mauvais plantage sont au RDV.
_les bois les plus intéressants sur lesquels j'ai essayé cette technique sont l'ébène, le buis, le thuya (mais pas pour de l'alimentaire), le houx. Le hêtre et le frêne sont trop élastiques et prennent la vibration facilement ; les résineux sont généralement trop cassants, les fruitiers sont valables dans le duramen, mais la moindre trace d'aubier et ils deviennent cassants; Quelle que soit l'essence, il faut du bois sec.
Bon courage
Aucune finition extérieure n'est éternelle, que ce soit de la peinture, une teinte ou n'importe quelle poudre de perlinpinpin il faudra restaurer la finition dans 5 ; 10 ou 15 ans.
Quand on vend un produit à un client, il faut se mettre dans sa tête et se demander comment il s'y prendra dans 10 ans quand il faudra remettre une couche de finition : soit il va vouloir le faire lui même à pas trop chère et ira demander conseil dans une GSB qui lui dira de prendre de la lasure teintée ou de la glycéro... Soit il passera par un artisan (peintre en toute logique), qui viendra voir le chantier pour déterminer quelle finition a été appliquée en premier lieu, et dès qu'il le peut il privilégiera le produit auquel il est habitué car il pourra ainsi garantir les.
Avant d'utiliser un produit qui sort des clous (une huile, une peinture scandinave...), il faut en parler avec le client, lui expliquer que pour la restauration dans 10 ans ce sera plus compliqué car pas trouvable en GSB et peu répendu parmi les artisans etc... Si le client est ok tu peux partir sur des expérimentations, par contre dans le cas contraire il faut rester sur ce qui est fait majoritairement : sous couche microporeuse puis peinture.
Par rapport à ton idée de base : teinte puis vernis, si on y réfléchit du point de vue de l'entretien : si la teinte a bougée dans 10 ans, il faudra décaper complètement le vernis, faire une reprise de teinte, refaire un vernis en 3 couches... un boulot énorme là où sur une vieille peinture on se serait contenté d'un coup de brosse pour arracher les écailles avant de remettre une couche de primaire voir de repeindre directement si la vieille peinture est encore en état acceptable.
Les huiles teintées comme proposée par Niouniou semblent plus facile à rénover : un bon coup de nettoyage, un passage à la paille de fer et on remet une couche... c'est fini ! Le tout est alors de fournir aux clients toutes les références du produit pour qu'ils soient surs d'avoir un produit compatible quand ils feront un entretien.
Perso je partirais sur le touret d'occasion (qui a l'air d'avoir plusieurs vitesses ce qui est vraiment top), avec deux meules blanches au corindon neuves (une grossière et une fine). Dans ton budget il te restera de quoi ajouter un redresse meule diamanté, et de la quincaillerie pour te fabriquer une plateforme pour régler l'angle d'affûtage.
Pas de règle de calcul à poposer non plus.
Cela dépend de tes machines, de la qualité du bois, de ton efficacité...
Sur mes premiers devis, j'ai eu une fausse bonne idée : je me suis créé un tableur sur lequel j'inscris ma nomenclature (donc les côtes finies de mes pièces) et qui me calcul automatiquement ma fiche de débit (donc qui rajoute le bois nécessaire). Grace à cette petite feuille de calcul, je peux anticiper "précisément" le volume de bois que je vais faire sauter au corroyage ; j'ai fais 1h de corroyage avec des pièces de toutes les tailles et différentes essences, j'ai mesuré quel volume j'enlevais en 1h, et j'ai naïvement pensé que je pouvais ainsi deviser mon temps de corroyage... et ben ça marche absolument pas, même en lissant au fur et à mesure le temps de corroyage moyen, les estimations sont moins fiables que mes estimations au doigt mouillé.
Avec l'habitude, je devise le débit/corroyage en prenant en compte
_le nombre de grosses pièces (limon d'escalier par ex) car une pièce lourde et encombrante va prendre infiniment plus de temps à corroyer, et il faudra une pause café après pour se soulager le dos
_la répétitivité des sections (car plus il y a de sections identiques, moins on va passer de temps à pointer la raboteuse)
_la qualité supposée du bois (quand je travaille avec les bois habituels de mon fournisseur, si c'est un bois inconnu je mets une petite mention "sous réserve de qualité du matériau" dans mon devis)
_un forfait d'affûtage/réglage des machines entre 1h et 3h (D/R, ruban et tronç pour moi, tout affûté à la main à la maison)
Dans ton cas, je ne peux que t'encourager à suivre le conseil DewhitYoussef et à étaler ton travail sur plusieurs jours en alternant corroyage et autres tâches. Non seulement tu te bloqueras moins au moment des collages, mais ce sera aussi plus sécurisant car passer 10h d'affilé à corroyer ce n'est jamais top.
Tout dépend du matériel avec lequel tu travailles ton acier, et de l'acier que tu achète. Il te faut de toute façon une trempe et un revenu pour que ton acier coupe et tienne l'affûtage.
Soit tu achète de l'acier "brut" et tu devras faire les traitements thermiques : ça n'a pas l'air si sorcier ; et pourtant quand mon pote forgeron sort son bout d'acier de la forge, et me dis que l'acier est trop rouge et pas assez jaune, remet le machin dans le feu 1min, le ressort... moi je ne vois aucune différence, et pourtant ça fait la différence entre un chewing gum et un rasoir. L'avantage c'est que tu pourras faire 95% de l'usinage avant de faire la trempe, donc usiner un acier relativement tendre.
Soit tu achète un plat d'acier déjà trempé/revenu (chez un forgeron ou un coutelier) et tu taille ton fer dedans. L'inconvénient c'est que ton acier sera très dur à usiner, et qu'il faudra être hyper rigoureux sur le refroidissement pour ne pas flinguer la trempe.
Pour l'atelier j'ai pris celle là avec le mandrin déporté et le renvoi d'angle (40€ chacun chez le roi pinpin) achetés par la suite selon les besoins.
C'est léger mais ça envois bien quand même, je l'ai utilisé sur un chantier bardage où elle faisait le taf avec l'avantage d'être ultra légère pour bosser à bout de bras (il me fallait une batterie le matin et une l'aprem sachant que je ne faisait que poser et que quelqu'un d'autre s'occupait de la découpe).
Niveau durabilité, je l'ai depuis 4 ans maintenant, les batteries commencent à perdre en capacité mais rien d'autre à signaler.
Pour les plus gros travaux j'ai un lot perceuse/visseuse + visseus à choc Dewalt 18V, qui date d'avant le brushless et qui fonctionne encore à merveille (acheté d'occase il y a déjà 6 ans, je pense qu'elles ont 8ans de bons et loyaux services, et elles n'ont pas été ménagées notamment la visseuse à choc qui a servi pendant 4 ans sur du montage de festival à boulonner des kilomètres de barrières chantier)
Sinon un peu au dessus de ton budget, mon père a pris ce lot qui va très très bien, tout aussi efficace que mon lot DW qui sera mieux adapté pour du chantier qu'à l'atelier.
Malheureusement la polyvalence n'est pas le caractère premier des rabots ; si les menuisiers et les outilleurs en ont créé plein de variantes, c'est bien parce qu'il faut des rabots spécialisés.
Pour moi, vu les utilisations prévues il te faudrait trois types :
-un rabot de paume pour faire les chanfreins et cassages d'arêtes, car un rabot plus gros sera difficile à orienter. si tu ne fais que des chanfreins sur grandes longueurs tu pourrais t'en passer, mais ça fait tout de même partie des indispensables
-un rabot à angle faible pour l'utilisation sur shooting board : quand tu reprends une coupe au shooting board, tu coupe du bois de bout, et pour ça il faut impérativement un angle faible au risque de voir ton rabot "brouter" et arracher tout ce qui passe.
-un rabot type n°4 ou n°5 pour l'enlèvement de matière (avec un fer "rond" type riflard) et la finition (avec un fer droit et contrefer).
Tu pourrais par exemple partir sur lot de ce type avec le rabot/guillaume de paume qui permet de faire chanfreins, retouches en bois de bout (arasement de queues de tiroir par ex), retouches de tenons...
le type 62 pour l'utilisation sur shooting board et peut faire ersatz de varlope grâce à sa longueur
et le n°4, avec éventuellement un fer de rechange pour avoir un fer de finition et un fer rond faisant pseudo riflard.
Il faut aussi prévoir de quoi affûter : soit papier de carrossier et plaque de verre ou marbre pour la version économique à court terme ; soit pierre à eau ou pierre diamantée pour une utilisation à plus long terme.
Les rabots rali ont l'avantage de ne pas avoir à comprendre l'affûtage ni le réglage pour servir ; c'est intéressant pour quelqu'un qui débute et n'a pas l'intention d'apprendre un jour ces compétences ; ou pour une utilisation sur chantier où cela évite le transport du matériel d'entretien du rabot.
Mais les'inconvénients qui viennent avec c'est d'une part la grande quantité de consommables puisque les lames ne s'affûtent pas, et d'autre part le côté non réparable/améliorable : autant sur un rabot classique, tu peux envisager des modifications pour rattraper un creux dans la semelle, recaler un élément qui a bougé avec les années, changer une poignée cassée... autant avec un rali, s'il tombe de l'établi et se déforme en tombant, c'est poubelle (ou SAV dans le meilleur des cas).
J'aime bien l'option stanley avec une ceinture quelconque et une gamme de porte outils que tu agence dessus comme tu veux. ici tu as les différentes options diponibles
J'imagine que d'autres marques proposent un système semblable.
Les ceinture "clé en main" ne me correspondent jamais car gaucher, du coup tout est du mauvais côté.
Un autre avantage de ce système : tu peux alléger ta ceinture, par exemple en enlevant le porte visseuse quand tu es à l'atelier, et la remplir à fond sur chantier.
Tu peux aussi trouver un/e couturier/e pour te faire une poche personnalisée et compléter ta ceinture (perso j'ai en projet de me faire une série de 5-6 poches amovibles sans enlever la ceinture dans lesquelles je mettrais un stock des vis que j'utilise le plus souvent, comme ça plutôt que de trimballer la boîte, je prends la/les poches qu'il faut, et zou.
Si tu as l'intention de changer tes machines à moyen terme, et que dans cette optique tu regardes les machines d'occasion, le passage en tri sera un vrai plus.
Dans le cas contraire et si tu n'as pas besoin de refaire ton installation électrique par ailleurs, il vaut mieux oublier : les éléments à changer sur le tableau, la réflexion à la limite de la prise de tête pour faire l'équilibrage...
Si tu dois de toute façon refaire ton électricité, le passage en tri fera un petit surcoût, mais pas si énorme. Il faut alors voir si c'est un élément qui peut être intéressant pour la revente : si tu as une configuration avec des dépendances et donc une maison qui peut intéresser un artisan, le tri est un plus ; si ce n'est pas le cas le triphasé a mauvaise réputation chez les particuliers (pas toujours justifiée, mais ça fait peur)
Quelle que soit la solution choisie,, je pense que tirer une ligne plus costaude et remettre un tableau secondaire dans ton atelier n'est pas superflu.
Perso c'est paillage et toilettes sèches, si tu n'as besoin ni de l'un ni de l'autre, passe une annonce sur donnons.org, LBC ou fessebouque, tu ne devrais pas avoir de mal à trouver preneur si tu en donnes régulièrement.
Si en dernier recours tu dois les mettre à la déchet, direction la benne de déchets verts.
Petit retour de déboire perso :
pour un plateau de 25mm d'épaisseur j'ai voulu faire des renforts par traverses en queue d'arondes ; pour avoir des queues suffisamment fortes, j'ai fait ma rainure jusqu'à mi bois.
Les traverses ont bien rempli leur rôle pour empêcher de tuiler dans la largeur, mais les rainures ont trop affaibli le plateau dans la longueur et il a tuilé dans ce sens.
Je ne sais pas à ce jour si c'est une histoire de proportion par rapport au plateau ou d'épaisseur restante qui était trop faible, en tout cas maintenant je laisse systématiquement 2/3 de l'épaisseur au minimum.
Pour 2021 c'est trop tard certes, mais il vaut mieux ne pas trop tarder à créer ta micro-entreprise car entre la production de stock, les démarches administratives qui vont suivre et tout le reste, autant faire l'admin maintenant.
J'ai voulu lancer mon entreprise sur exactement le même principe l'an dernier, avec le covid j'ai du changer mon fusil d'épaule et oublier les marchés. Si tu te lances sur ce genre de projet, penses à avoir un plan de secours.
Pour les démarches : la création de micro-entreprise en tournage ne nécessite pas de diplôme (tu n'as par contre pas le droit de te dire "artisan" ou "artisan d'art" si tu n'as pas au moins un CAP), tu peux donc lancer tes démarches directement. Soit tu te sens assez à l'aise avec l'administratif et tu peux te lancer sans accompagnement avec ce site
sinon il existe plein d'entreprises qui sont spécialisées dans l'accompagnement à la création qui peuvent te proposer de faire les démarches à ta place moyennant une cinquantaine d'euros (type portail-autoentrepreneur).
Pour la suite, c'est pareil, soit tu es autonome et tu vas créer ton compte sur le site de l'URSSAF , tu installes un logiciel de compta agréé et c'est parti ; soit tu passes encore par le même site que celui avec lequel tu as créé ton entreprise, et ils proposent un service de facturation en ligne, avec une assistance téléphonique pour le prendre en main et pour faire tes déclaration à l'URSSAF.
En complément de ces démarches, il faut prendre une assurance : une RC pro qui te couvrira en cas de dégâts sur un marché (parasol qui s'envole) et une assurance pour ton atelier sont obligatoires. En option ou intégré dans le contrat de base selon les assurances, tu peux aussi faire assurer ta marchandise et ta caisse contre le vol (je le conseille, c'est relativement courant les vols à la tire sur certains marchés).
Il faut également demander une carte de commerçant ambulant. Tu peux soit la demander en même temps que le reste des démarches pour la création, soit le faire par la suite (là encore accompagné avec le même site que depuis le début, soit en remplissant ça et en l'envoyant à ton CFE)
Ca c'est pour l'administratif, pour le matériel il te faudra bien sur un espace d'exposition. Je te conseille de le créer à ton image, parce que ça attire toujours plus les clients de voir un artisan avec un stand en bois fait maison qu'avec des tables décathlon. Pour la couverture, j'ai opté pour le troc pour que ça ne me coûte pas un bras : j'ai été voir un maraîcher installé sur un marché depuis 20 ans, je lui ai demandé s'il n'avait pas à tout hasard un parasol en rab et s'il était ok pour le troquer, un beau saladier en bois plus tard j'avais mon parasol en bon état. Difficile de faire une couverture maison car certains marchés ne les accepteront pas : il faut un certificat de résistance au feu pour la toile, des tests mécaniques de résistance au vent pour la structure... à voir plus tard AMHA.
Bien sur il faut réfléchir ton espace de vente pour qu'il s'installe et se range en moins de 45 min.
Une fois que tu as tout ça, pour trouver des marchés il faut à tout prix t'insérer dans un réseau d'artisans. S'il y a des marchés de noël pas loin de chez toi, c'est le moment d'aller y faire un tour, de repérer les vrais artisans et de leur offrir un café pour discuter de ton projet. Ils pourront t'indiquer les marchés de la région, le type de clientèle qu'on y trouve etc... Ensuite une fois que tu auras fais 2-3 marchés et distribué ta carte, si tes produits plaisent le bouche à oreille se mettra en route et tu seras sollicité directement pour participer à des petits marchés (marché à la ferme, marché d'école, de festival...).
Pour la vente en ligne, je n'ai pas de conseil à te donner, pour l'instant je n'en fais pas puisque j'ai réorienté mon activité à cause du covid. Mais pour info cette année avec un seul marché, j'ai écoulé en 2 jours 3 mois de production. Si je n'arrive pas à suivre la demande des marchés en terme de production, je ne vais pas me lancer sur la vente en ligne qui nécessite une implication quotidienne et une mise en place lourde.
Le noyer ou l'érable se sculptent bien s'ils n'ont pas un fil trop torturé. Sinon n'importe quel fruitier (mais la plupart restant tendres)
Le frêne ou le hêtre sont à mon sens galères à sculpter : les gouges ont tendance à "rebondir" et il faut vraiment de la patience (et un bon poignet) pour avoir un résultat propre.