Quels étaient les niveaux de prix chez les autres transporteurs contactés ?
175 € ht, cela me semble vraiment pas cher du tout. C'est même plus que bradé...
Ou alors, je n'ose même pas penser au niveau de salaire de l'esclave qui conduit le camion...
Habituellement, quand un prix n'est pas celui du marché, c'est qu'il y a un truc pas clair.
La prestation va sans doute être sous-traitée à un petit transporteur qui va être totalement étranglé, et qui n'accepte que parce que sinon, c'est la clé sous la porte immédiatement et qui va lui-même devoir étrangler ses salariés.
Le monde du transport est un monde ultra hyper concurrentiel, avec tout un échaudage de donneurs d'ordres, et au final, c'est le tout petit transporteur qui trinque, avec les esclaves qui vont avec...
(Edit et compléments)
Il se trouve que mon épouse a été patronne d'une petite entreprise de transport dans le sud avec une dizaine de camions et chauffeurs. Elle bossait comme sous-traitant pour Geodis... je lui ai demandé son avis.
Ce sont les pires... Ils n'ont eux-mêmes quasiment pas de flotte. Ils sous-traitent tout. Auprès de petits transporteurs qui tirent plus que la langue et sont obligés d'accepter les marchés squizés au maximum.
Pour les nouveaux clients, Geodis est coutumier du prix bradé. Ils espèrent ainsi d'autres marchés, ou comme ici, de la bonne pub...
Sur les 800 km, il y aura sans doute 2 ou 3 ruptures de charges, changement de transporteur, et manutentions...
Personnellement, quand je fais appel pour un service, même si cela coûte plus cher, je préfère payer un prix raisonnable, en me disant que cela va (peut-être) permettre de rémunérer de manière raisonnable les types qui bossent...
Quand un devis est 3 fois moins que le marché, je me mets à courir très vite...
Mon conseil: éviter les propositions trop alléchantes...
(Edit 2): Je suppose que 175 e, c'est sans l'assurance... Tu vas sans doute doubler le prix avec l'assurance...
1- En doublant l'épaisseur des cadres, tu augmentes la rigidité par 8 (la rigidité dépend du cube de l'épaisseur). En rajoutant simplement une épaisseur de 38, donc en augmentant l'épaisseur de x1,5, tu augmentes la rigidité de x3,4.
Tu peux aussi faire les cadres avec des section en T (et les sabots adaptés à ce T). La encore, tu augmenteras dramatiquement la rigidité.
Bien sûr, il faut que les poutres soient boulonnées dans les sabots (boulons et écrous), de manière à minimiser le cisaillement et ne pas lésiner sur la réalisation des sabots, puisque c'est dans l'encastrement que réside une bonne partie de la rigidité.
IL faut des sabots, et pas une lame interne (: c'est une question de moment quadratique. Un profile creux sera toujours plus rigide qu'une simple lame (à volume de matière constant).
2- Sinon, pour contreventer, je mettrais des câbles reliant les cadres, plus des câbles aux extrémités, reliés au sol, comme sur un pont suspendu, pour éviter l'effet château de cartes.
Les câbles peuvent être de couleur...
Cela dépend du style que tu veux donner:
Genre "bien rustico, brut, cabane de montagne" ou Far West style "Petite maison dans la prairie", alors du douglas plein de noeuds...
Beau meuble de jardin, rendu soigné et propre, style "Nouvelle Angleterre", alors, du frêne.
De toute façon, même si on considère que le frêne est moins résistant aux intempéries, le frêne durera quand même 10 ans au moins... Et si tu veux qu'ils résiste plus longtemps, il suffit de l'abriter en hiver.
Perso, je prendrais du frêne (j'aime pâ les résineux, c'est pâ du bois...).
De plus, les plantations de douglas sont une plaie pour la bio diversité, cela bousille les belles forêts de nos campagnes, bref, pas de douglas...
Dès l'instant où les pieds sont en biais, le poids supporté par le banc fait en sorte que les pieds vont avoir tendance à s'écarter, et toute la contrainte est portée par l'assemblage.
Je ne vois pas trop quel assemblage pourrait supporter à la longue la contrainte...
Mettre une cheville pour réparer, c'est un pis-aller. Cela va cisailler, et tôt ou tard, cela cassera à nouveau.
Eventuellement, on pourrait faire la traverse en multiplis maison (réalisé soi-même en croisant les fils), ce qui rigidifierait l'extrémité.
Mais le seul moyen que je vois pour sécuriser le tout, c'est de tendre un cable ou cordelette entre les pieds, pour les empêcher de s'écarter (ou une petite traverse).
Oui, mais 1750 HT, cela fait 2200 ttc... et c'est près des forêts, au fin fonds des provinces... Pas si étonnant que ça que près de la Grande Ville, cela soit "un peu" plus cher...
Cela fait une différence de 1000 € pour 1m3, certes. Mais quels sont les enjeux ? Un plateau, c'est 0,05 à 0,08 m3; Donc, 50 à 80 €... Pas certains que cela vaille le coût d'aller en Mayenne pour acheter le plateau ou même à passer une journée (déplacements, etc) pour trouver moins cher...
N'importe quelle finition, huile, vernis ou autre, risque de devenir poisseuse au contact des mains et de la transpiration. Certains d'entre nous ont des sécrétions plus acides que d'autres, et dans ce cas, c'est la cata...
Laisse donc en bois brut! C'est tellement plus agréable.
Les rabots et outils vernis, c'est pour ceux qui font de belles expositions et ne s'en servent pas...
A mon sens, c'est la conception qui est mauvaise... Le tenon n'est pas assez long, l'assise autour du tenon pas assez large, et comme le bois du plateau est du bois tout mou, la mortaise s'élargit sous l'effet des cisaillements...
On pourrait mettre une vis par le dessus, ou une tige filetée et un écrou noyé dans le plateau, mais le bois était ce qu'il est, cela va continuer de cisailler et l'écrou s'enfoncer dans le plateau tout mou...
Solution bricolo: grater et poncer la colle, sur le tenon et dans la mortaise, et coller le tout à la colle époxy. ça tiendra ce que ça tiendra...
Autre solution plus élaborée:
Faire des blocs de bois de l'épaisseur du tenon, avec un trou du diamètre du tenon. Insérer et coller le tenon dans le bloc à la colle epoxy. La dessus, mettre une plaque de bois dur plus large que le bloc, et visser cette plaque sur le tenon. Le tenon sera alors pris en sandwich entre le débord du pied et la plaque de bois dur.
Enfin, visser la plaque de bois sous le plateau par 4 vis sur les cotés qui dépassent du bloc.
Cela se verra par dessous, mais si on fait cela bien, cela peut être esthétique.
Désolé, mais si tes planches sont gondolées, il n'y a pas grand chose à faire...
Eventuellement, met les au soleil, coté bombé au dessus, mais pas certain du tout que cela marche...
Tu peux essayer de contraindre les planches quand tu vas assembler le meuble, mais le risque c'est ce soit tout le meuble qui au final soit vrillé.
Tu peux essayer d'utiliser les planches en les coupant, le "bombage" sera moins important sur de petites longueurs. Dans ce cas, il faut concevoir le meuble en n'utilisant que de petites longueurs, par exemple, en faisant 3 caissons indépendants, reliés entre eux.
Ce genre de planches ne coutent pas très cher, mais ne sont pas d'une très grande qualité.
Les vernis ou huiles n'empêchent pas le bois de travailler.
A mon sens, cette partie est la plus sensible de tout le fauteuil. Elle est en tension permanente dès qu'on s'assied et appuie sur le dossier du fauteuil.
Je ne pense pas qu'un simple collage suffise. Il n'avait pas un tenon, ou un assemblage spécifique qui aurait cassé ?
Les solutions:
Comme je suis un vilain bricoleur bricoloux, je pense que j'essaierais de mettre une vis en biais, le plus bas possible pour avoir de la matière autour, et cachée ensuite (bouchon, pâte à bois). Avec le risque que cela casse quand même car il n'y a pas beaucoup de matière...
Autre possibilité: faire un ligament en entourant l'extrémité de l'accoudoir et le montant du dossier avec des bandes de tissu de verre et epoxy. Une fois poncé et vernis, cela ne devrait pas trop se voir... Dans ce cas, on aurait une liaison "béton"... C'est la même technique qu'utilisent les marins quand leur beau mat en carbone casse en plein milieu de la course...
Dernière possibilité plus propre et classique: refaire un tenon (faux tenon dans l'accoudoir, et une mortaise dans le montant du dossier), mais il faut démonter l'accoudoir...
Traditionnellement, l'ébéniste faisait des meubles (mobiles), en utilisant de nombreuses techniques et surtout le placage (d'où le nom d'ébéniste, car ils travaillaient le placage d'ébène et autres bois précieux).
Le menuisier, lui, faisait des meubles en massif, sans placage et tout ce qui est lié à l'habitat, placards, escaliers, huisseries (non mobiles, attachées au bâti).
Les choses ont évolué et se sont un peu mélangées.
Aujourd'hui, le menuisier fait essentiellement des choses en bois liées à l'habitat (placards, escaliers, huisseries), et en utilisant des dérivés du bois (aggloméré, composites, etc). Mais il lui arrive également de faire des meubles.
L'ébéniste, il y en a de moins en moins, car les gens achètent de moins en moins des meubles chez les artisans. Les ébénistes vont donc vers le haut de gamme et l'artistique, nouvelles créations et/ou restauration, tout en utilisant de nombreuses techniques, placages, incrustations de métaux, etc...
Bien sur, il y aussi des menuisiers-ébénistes, qui font tout.
Trouver un stage ou un contrat d'apprenti n'est jamais facile. Il faut beaucoup d'obstination, de la chance et du temps.