Le "Mieux", en matière de fraise de type Lamello ?
Une fraise à plaquette :
. Pas de nécessité d'affûtage, besoin d'une seule fraise.
. Diamètre et épaisseur constante, donc pas de nécessité de re-régler la profondeur, et pas de problème d'épaisseur.
Sinon, pour une fraise carbure, les 6 ou 8 dents (ce qui est très peu) seront surement moins chères, mais tiendront bien moins longtemps. Pour moi, 12 dents est un minimum. Avec anti-recul si tu travailles dans le massif.
Si le but est de te mettre à ton compte en limitant ton activité seulement à de la pose de cuisine (et/ou SdB, dressing et autres aménagements) vendus par diverses chaînes, c'est très aléatoire.
Pour un chantier sans le moindre problème, ça passe.
Mais à la moindre adaptation que demanderait le client ou que nécessiterait le chantier, au moindre petit souci ou imprévu et nécessité de 2ème intervention ou plus, réclamation du client au vendeur, tu bouffes ton bénéfice.
Ceux que je connais qui pratiquent cette activité et qui s'en sortent, soit, sont salariés de tels vendeurs, ou alors à leur compte mais vendent aussi eux-mêmes certaines des cuisines qu'ils posent, ou encore, ont d'autres activités de vente et pose, ou fabrication/pose à côté.
L'un, sinon LE plus gros spécialiste français de joints pour menuiseries, et même autres applications : Joint DUAL
ce genre de support est parfait pour fixer une tablette de façon invisible, mais à condition que la tablette ait peu de déport, qu'elle serve à y mettre quelque chose de relativement léger, et que le mur qui la reçois permette un fixation suffisamment solide...
Avec un ordi portable, sur lequel on vient travailler et donc s'appuyer, dans du simple placo, on en est très loin.
A la défonceuse, avec un gabarit. Celui-ci étant positionné dessous, et tu travailles avec une fraise avec roulement en bas, ou par dessus, et un roulement en haut, ou alors une bague à copier.
De cette manière, il ne reste que la valeur d'un 1/4 de rond du rayon de la fraise à finir, dans chaque angle.
Oui, c'est possible de donner un aspect brossé... Il suffit de brosser...
Suivant la quantité, une brosse à main. Ou alors avec une brosse électrique de ce genre mais il faudra aussi des bons bras !
Si tu n'es pas expert de ce genre de restauration, ce qui implique de connaître les techniques, modes de fabrication, et produits utilisés à cette époque, mieux vaut ne pas y toucher. Le ou les remèdes pourraient être pire que le mal.
Tu peux te renseigner pour savoir s'il existe un professionnel, maitrisant ce genre de restauration, à proximité de chez toi (au Québec, si je comprends bien), si tu veux le retrouver dans un plus bel état sans faire de bêtise.
Qu'est-ce que tu appelles "pare-éclats" ?
La plaque ou insert de table ?
Et bien, si c'est bien ça, et comme tu le vois, ça ne s'appelle pas pare-éclats.
Tu pourras la refaire autant que tu veux, ça s'ouvre toujours très rapidement.
Après, il est clair que ça doit être le plus proche possible de la lame, pour éviter que de petites chutes viennent s'y coincer, et d'autre part qu'une lame avec plus de dents coupera mieux avec moins de vibrations, et donc le préservera mieux.
Où est le faux niveau ? Au sol ou au plafond ? (Même s'il y a plus de chance que ce soit au plafond, ou tout au moins, qu'on y trouve la plus grande partie)
Faire une traverse plus large, en haut, et y retirer ce qu'il faut. En faisant plus large que 45, la différence se verra moins.
La machine tourne, si on reste appuyer sur le bouton ?
Des fois, il suffit de démonter et de bien dépoussiérer l'interrupteur. Une accumulation de poussière et sciure pouvant empêcher le bon enclenchement.
Si ça ne marche pas, je laisserai des plus connaisseurs que moi en électricité t'indiquer les contrôles à effectuer.
Au plus simple, mieux vaut s'adresser à un grossiste/négociant, si possible au plus proche de chez soi. Ça permettra d'aller chercher, ou s'il y a livraison, d'en limiter le coût.
Pour la qualité, c'est clair qu'elle y sera plus que ce qu'on trouvera en GSB. Et bien plus de choix, aussi. Que ce soit concernant les diverses épaisseurs, pour une même finition, chant, stratifié coordonné.
Il est aussi possible d'y faire débiter, et même plaquer ses chants, et chez certains, réaliser des usinages. Demander un devis au préalable, toutefois.
En GSB, pour le peu qu'on y trouve, la qualité est minimale.
En ligne, certains le proposent, mais le choix est limité, il me semble. Et certains proposant ce service, sont tout simplement des négociants... Autant aller les voir directement.
Il y a l'hypothèse du Zebrano, et celle du Bois-serpent.
Mais la couleur m'interpelle...
Le bois serpent (pour ce que j'en ai travaillé) a une couleur plus jaune/orange, et d'autre part, un veinage bien plus tourmenté, en particulier en bois de bout, où il semble dessiner comme des alvéoles. On ne trouve pas ces caractéristiques ici.
Le veinage du Zebrano aurait plus de similitudes, mais lui à une couleur dominante jaune encore plus pâle, jusqu'à crème.
Alors qu'ici, on a une couleur, marron/gris un peu violacé, qui ferait penser à celle du noyer US (mais ça n'en est pas. Ça, c'est une certitude)
Un bois hybride ?
Tu avais prévu un fond de 10mm, sauf que tu as fait une rainure pour du 15, c'est ça ?
En quoi remplacer le 10 par du 12mm apporterait une solution ?!?!?
Soit, tu optes pour le CP de 15. (A toi de voir si ça n'est pas trop épais)
Soit, tu colles une baguette massive dans tes rainures, quitte à refaire ta rainure à la bonne côte ensuite.
1/4 de rond, que ce soit à la plaqueuse, affleureuse ou à la main avec un racloir spécifique, que ce soit pour le 1 (ou 8/10e) ou 2mm. Et comme le plus gros est fait à la plaqueuse, il faut que les quelques chants qui restent (chants cintrés, par exemple) soient identiques.
Ceci dit, sur du 1mm, la différence entre chanfrein et 1/4 de rond se voit peu.
Pour le racloir, je faisais ça, pendant très longtemps, avec des lames de scie à métaux. Puis j'ai découvert ces racloirs spécifiques vendus, ou suivant volume, offerts par un fournisseur de chants (ce qui explique la rouille, sur la lame 
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