
En plus de ce que mentionne Bois de chauffage, est-ce que ta scierie travaille régulièrement le hêtre ?
De mon côté, le seul cas où le bois est vraiment envahi par des ronces, des broussailles ou d'autres joyeusetés (comme un nid de guêpes ), c’est lorsqu’il s’agit de bois que ma scierie ne traite que très, très peu (pas de clients, pas assez rentable).


Entre 20 et 40 mm, il y a quand même une sacrée différence. Pour le cintrage, tu es équipé pour ça ? Tu comptes faire le cintrage avec la fraise que tu présentes dans du 40 d'épais ?
D’ailleurs, de manière plus générale, quel est ton matériel actuel ?
Je ne comprends pas bien pourquoi tu trouves la méthode par segments plus fastidieuse. Pour ma part, j’aurais plutôt tendance à penser l’inverse : travailler par segments me semble bien plus simple que de cintrer, surtout sur du chêne.
quelle technique vous semble préférable entre le cintrage et les segments, pour construire les deux demis cercles?
Clairement la segmentation.
peut on éviter completement l'effet "succession de lignes droites dans la courbe?
Si c'est bien fait, c'est presque invisible, sinon tu plaques.
une seule pièce de bois? (longueur totale developpée environ 2.40m)
Ca dépend de ce que tu as en stock ou de ce que tu peux avoir chez ton fournisseur mais oui c'est tout à fait possible .

Charolais, je suis dans le même cas avec mon atelier situé dans la Creuse. Les températures peuvent descendre en dessous de zéro.
Comme toi, je fais mes collages au chaud à la maison. Pour le reste (atelier de 30m2 pour ma part), un petit aspirateur soufflant électrique qui permet d'atteindre entre 6 à 10° si nous sommes à zéro - je l'utilise rarement- (j'ai un poêle à bois que j'ai acheté il y a deux ans mais pas encore installé, j'hésite).
Autrement, les équipements de motards/ou de montagnards peuvent aider. Pour ma part, sous-vêtements techniques et gilet chauffant m'aident à travailler sans trop de difficultés avec des températures proches de zéro.
Enfin, tu as des chauffages soufflant au mazoute ou au gaz... il faut penser à ventiler.

Il y a au moins le bonjour... Si tu balances juste trois mots en vrac sans un minimum de forme, ça donne vraiment l’impression d’interroger un moteur de recherche, pas de discuter avec des humains, on n’est pas ChatGPT ici .
Une petite recherche => Lurem 310.

Pour une plaque en impression 3D, c’est à la fois une bonne et une mauvaise solution.
En dépannage ou temporairement, une plaque imprimée peut faire le travail, à condition qu’elle soit bien modélisée et que les contraintes soient respectées (épaisseur renforcée, largeur des lignes, etc.).
L’avantage d’une plaque 3D imprimée, c’est surtout de pouvoir l’utiliser comme gabarit afin d’en réaliser une version durable en laiton ou en aluminium, comme celle que j’ai fabriquée pour un Bestcombi de Kity.
La principale difficulté réside dans la précision des cotes et les différentes itérations nécessaires pour obtenir un résultat satisfaisant...

Un lien vers l'abri de Oak ? Celui-ci : cabane à vélo ?
Le sol ? Dalle ? Plots etc. ?
Cb de vélos ? (En gros la taille de ton abri en surface ?)
L'abri sera contre un mur ? Protection contre les éléments (vent, pluie etc.)
Pour la section du bois, ça va dépendre de ce que tu as à disposition, poteaux, chevrons...
Pour la pente, > à 5%. Toit en tuiles ? Bacs acier ? Bitumée ?
Le motif d'un mur ? Cad ? Le bardage ?
Comme souvent, tu en auras probablement pour moins cher avec un modèle préfabriqué.

Perso, j'aime bien le montage mi-bois. Cette bilbiothèque comporte plusieurs mi-bois, mais ça reste avant tout une question de goûts, de temps, d’outillage et d’expérience (travailler le chêne, ses compétences etc.).
Le gros avantage : bien réalisé, c’est solide, démontable et ça peut tenir sans colle. Ça donne aussi un rendu très propre et "menuiserie traditionnelle”, ce qui apporte un vrai plus esthétique (selon moi).
Par contre, il faut garder en tête comme le souligne Ara :
- qu'une certaine précision d’usinage est nécessaire pour que l’assemblage soit bien ajusté (sinon ça perd en rigidité),
- que ça peut être chronophage par rapport à d’autres solutions plus simples (tourillons, dominos, lamellos, vis...),
- sur des sections fines ou des bois moins résistants que le chêne, l’assemblage mi-bois peut affaiblir la pièce au lieu de la renforcer,
Ici ça ne me semble pas indispensable : un assemblage plus simple fait tout aussi bien le travail.
Donc à toi de voir en fonction de tes compétences, du temps que tu veux y consacrer, et de l’effet recherché entre praticité, solidité et esthétique.

idf-machine-bois.fr/
Ils sont à Vitry, donc pas très loin de Vincennes. Il est facile de se garer là-bas et sont plutôt sympa. Il n'y a pas tous les outils Festool, mais il y en a beaucoup. Tu vas avoir aussi Mafell, Lamello...
Tu as des combinés également.

Deux précautions :
Évite de stocker ta colle dans un endroit où elle pourrait être exposée à des températures négatives.
En période hivernale, veille à ce que la température de ton atelier et celle de la colle ne descendent pas en dessous de la valeur recommandée par le fabricant lors des collages.
En dehors de ça, have fun !


Coucou Marc Janod,
J’avais fait un gabarit assez similaire il y a quelques années avec des profilés alu 2060
.
Pour répondre dans l’ordre à tes questions :
Le mien fait 600 mm. Qui peut le plus peut le moins, mais il n’y a pas de réponse absolue : ça dépend vraiment de tes projets et de ce que tu comptes réaliser avec.
Quand tu parles de fixations, tu veux dire pour maintenir le gabarit ?
Jamais utilisé sur champ, uniquement à plat. J’emploie du scotch double face si la surface ne permet pas de le fixer avec des serre-joints.
Les deux, mon capitaine !
Autres accessoires : tu pensais à quoi exactement ?
Ma remarque principale : c’est un gabarit à usage très limité (du coup, quel serait ton usage ?). Honnêtement, quatre bouts de bois et du scotch double face font tout aussi bien le boulot. Si c’était à refaire, pour mon usage, je ne le referais pas.