Salut,
Je ne réponds pas sur la forme mais sur le fait que c'est un ouvrage extérieur donc qui va s’altérer et qu'il faudra à un moment ou l'autre remplacer. Il faut, à mon sens, fixer des inserts en bois noyés dans l'isolation par exemple (en limitant les ponts thermiques bien sur), et venir positionner les consoles dessus.
Bonjour,
Pour moi il y a un problème de conception, si je peux me permettre quelques suggestions:
- il n'apparait aucune pente, hors même pour de l'Epdm la pente mini doit être autour des 3%. La pose à plat pour toit terrasse est interdite il me semble.
- L'osb et la feuille bitumineuse vont avoir un effet pare vapeur. Hors il est possible de le mettre en place dans l'isolant mais 1/3 du R est à positionner du côté chauffé de la paroi quand les 2/3 du R sont à positionner du côté extérieur, soit du côté froid, ceci afin d'éviter tout risque de déplacement du point de rosée dans l'épaisseur de la paroi et l'apparition de condensation. Ce qui ne doit pas être le cas ici.
Tout ça va te faire perdre de la hauteur... Peut-être envisager des dalles de caillebotis sur plots réglables, et passer au dessus de la semelle en douglas pourrais faire gagner quelques centimètres...
Un toit terrasse peut créer pas mal de soucis en cas de problème, il faut bien y réfléchir avant.
Salut,
Pour les contrefiches à minima des embrèvements pour un bon maintien et une section de 80/60mm (inférieure à l'épaisseur des pannes). Voir la réponse de GCcharpenteriedart dans ta question précédente.
J'aurai mis un arba moisé, parallèle aux chevrons, plutôt qu'une entrait de niveau car:
- l'assemblage sera plus haut sur le poteau (coté faitage) donc moins exposé aux intempéries,
- le lien sera plus long, donc une meilleure triangulation.
Pour les assemblages des pannes sur les poteaux, il faut entailler les 2 afin d'avoir un meilleur blocage et une mise en place plus facile. Idem pour le moisage, entailler moises et poteaux.
Je ne comprend pas trop ta remarque sur tes doutes pour la prise de cotes et le choix entre tenon/mortaise ou moises. La seule variable c'est la hauteur du sol apparemment, donc laisse tes poteaux plus long pour les recouper sur place.
Pour le reste, la charpente c'est une géométrie fixe, les poteaux sont verticaux, les pannes sont de niveau... Tu fais ton épure, tu vérifies les cotes, tu présentes et traces tes bois, tu vérifies les cotes, tu tailles, tu ne vérifies plus les cotes c'est trop tard, tu montes à blanc pour voir si tout s'emboite. Il faut prendre le temps à la préparation pour que sur chantier le puzzle s'assemble sans encombre.
Salut,
Apparemment c'est le même capteur qui gère la position des tables et celle du carter d'aspiration. Voici les éléments que j'ai:
Le capteur est déclenché par un système de levier qui bascule à la mise en place du carter (photo 1).
Le réglage se fait par un écrou dans un trou oblong (photo 2), peut être qu'un mauvais serrage est à l'origine du problème...
Je te joins un éclaté.
Réponse tardive, désolé
Salut,
Tu vas effectivement avoir une surcharge par rapport à l'existant du fait de l'isolation et du doublage. Il faut que tu la chiffres pour savoir si ta faitière va supporter en l'état, 8m c'est une belle portée, ou s'il faut renforcer en plaçant une ferme intermédiaire par exemple.
Concernant le chevronnage, la portée est inférieure à 2m50 d'après ce que je comprend donc en prenant simplement du 150/38mm (ou 150/75mm), avec un entraxe de 50cm, et en étrésillonnant (faitage et sablières) cela supportera la charge. Cela permet d'isoler entre chevrons puis de croiser avec une deuxième couche en dessous. Tu peux également passer avec un chevronnage en 200mm et isoler uniquement entre chevrons. Si tu veux augmenter l'entraxe entre chevrons, il faudra choisir une section de lattage en conséquence.
Salut,
Si ton mur est plein tu peux faire des ancrages soit par goujons métalliques soit par scellements chimiques et tiges filetées en traversant l'isolant. La section de la muraillère n'a pas besoin d’être importante si tu fais suffisamment d'ancrages. Il faut qu'elle est une retombée suffisante pour répartir l'effort de serrage et ne pas déformer l'isolation, par exemple du 175/38mm avec une fixation tout les mètres pourrai fonctionner, mais il faut plus de détails sur ta structure pour le déterminer. Je te déconseille les sabots par contre...
Bonjour,
Cela ressemble à une turbine Pelton, si c'est le cas le bois ne semble pas du tout adapté au vu de la pression d'injection de l'eau. A mon sens pour une roue à aube ou un rodet cela peut s'envisager mais par pour une Pelton... L'épicéa est un bois très "tendre", plutôt opter pour un bois dur...
Salut,
En premier lieu il faut tracer au cordex le positionnement de tes rives selon le type choisi, tuiles de rives sans rabat, à rabat, bardelis... tu trouveras les dimensions de ces différents éléments sur la doc technique fabricant comme le dit sey.
Ensuite mesurer la cote (au faitage et à la ligne d'égout) entre ces repères et regarder si c'est un multiple d'une largeur de tuile. Cela ne tombe jamais juste donc il faut tricher, d'une part sur le positionnement de tes rives (écarter ou resserrer) d'autre part sur la largeur de ton "ourne". Toutes les tuiles que tu cites sont des tuiles mécaniques à emboitement donc la possibilité de jeu latéral est très limitée. Par exemple sur une tuile méridionale de largeur 21cm si tu traces un repère pour 6 tuiles cela te donnera 126cm, tu peux moduler de +/- 1cm donc resserrer à 125cm ou écarter à 127cm. En jouant sur ces différents leviers tu détermines ton calepinage. Pour la tuile de Marseille il existe des demis tuiles (11cm de large) ce qui permet de tomber juste plus facilement.
Si malgré tout tu n'arrives pas à tomber sur un nombre de tuiles entières ou si le faux parallèle est trop important, sors ta plieuse et fais un chéneau en zinc. Mais il faut une plieuse 
