Avec un ohmmètre, mesurer la résistance entre chaque phase et la masse. Si rien de flagrant, utiliser un contrôleur plus sensible qui s'appelle un mégohmmètre. Avec précaution (gants isolants...), on peut aussi mesurer la machine branchée en marche, sans la terre, mesure tension entre chaque phase et la masse. La phase qui donne une tension proche de zéro est celle qui fuit à la masse. Ce peut être au niveau du cablage ou plus grave au niveau des enroulements du moteur qui sera à remplacer ou à faire rebobiner.
Comme ça :CONSTRUCTIONS GEOMETRIQUES DE BASE joho.p.free.fr...UES DE BASE.pdf
Ouh! Casadei C30C sans hésitation tout simplement parce que c'est un clone de la CU300 Classic de chez SCM MINIMAX rebadgé Casadei, un modèle bien supérieur à la lab300. 
Je connais bien cette machine car c'est la mienne en marque d'origine.
Elle existe en chariot ras de lame 1600, 2200 et 2600. Des versions mono 2,5cv et tri en 3, 4 et 5,5cv
Il y a aussi les rabots allemands Kunz, moitié prix que le tarif d'un Clifton. Si certains peuvent faire un retour sur cette marque. 
Je vais peut être un jour essayer un nº4 pour remplacer mon vieux Darex fatigué et bourré de jeux. J'utilise pour l'instant un vieux en bois, le fer est un rasoir et tient très bien l'affûtage mais le contre fer est libre sans vis, donc pas simple à régler surtout à quelques dixièmes du tranchant du fer. 
Parfois un bon rabot de paume à lumière réglable me serait également utile.
Ça c'est parfait, il emmène même un gros cloueur Béa pour pointes de 67. Ça fait 10 ans qu'il me sert que pour les cloueurs
Il existe aussi un modèle plus performant de la marque, + de débit 
manomano.fr/co...ghoC5rsQAvD_BwE
J'ai eu l'occasion de feuilleter un grand, épais et magnifique catalogue Guillet des années 20. On y trouve pléthore de machines du travail du bois, même déjà des scies à format. Toutes entièrement de construction métallique, fonte et acier, dont la scie à ruban de Charon ou de fabriquant d'échelles. Son col de cygne est à droite, les volants de 900 dont celui du bas semi enterré, la table était amovible permettant d'installer un double rail et chariot métallique pour deligner des grandes longueurs voire débiter de petites grumes en planches ou autre sections. Hélas la mienne a perdu cette partie.
Les premières raboteuses et degau avaient un arbre carré sur lequel était boulonné 2 fers parallèles. En degau notamment ces machines avaient la réputation d'être de vrais mange mains et ont été interdites dans les ateliers mais à quel moment, je ne le sais pas, à compléter donc si quelqu'un a l'info.
Les premières machines de menuiserie n'étaient pas toujours entièrement en métal, elles comportaient parfois un bâti ou des tables en bois. Il y avait des fabricants locaux comme dans beaucoup de domaines à cette époque. Des ateliers entiers fonctionnaient par force hydraulique avec un dédale de poulies et de courroies.
Avant d'avoir une grosse toupie en arbre de 50, j'utilisais beaucoup un fourreau, sur une toupie de combinée SCM avec arbre de 30 et moteur 4cv. Forcément je ne l'utilise quasiment plus sauf quand je profite du chariot à format pour des usinages de pièces de grande largeur.
Mais l'effet plus massif apporté par le fourreau donne un meilleur confort d'usinage. Moins de vibrations, plus d'inertie, une meilleure attaque plus franche dans le bois. Évidemment il faut monter des outils de taille adaptée à la machine et ne pas faire un hélicoptère. Pour moi, c'est bien mieux que des bagues de réduction qui même si plus économique doivent être réservées à des outils léger montés le plus bas possible sur l'arbre.
Autre avantage du fourreau c'est que l'on peut monter un empilage d'outils et en conserver les réglages d'espacement.
Bien entendu, je n'irai pas en utiliser un sur une toute petite bécane genre Lurem 210b avec toupie à entraînement par courroie plate directement sur le bas de l'arbre mais c'est du bon sens.