Bonjour,
Je suis sur un volet extérieur pour le même genre d'ouvrage.
Pour l'épaisseur, faisant avec ce que j'ai trouvé, mes lames sont en ep.21, & je t'avoue que je ne descendrais pas en dessous. Pour la largeur, 20cm ça me semble trop large, ça va bouger dans tous les sens. autour de 100 ça me semble plus sage.
J'alterne les cœurs pour limiter la déformation (merci à celui quis e reconnaitra!).
Pour les traverses, si tu as plus de 2 gonds, il est préférable d'en mettre 3, et donc 2 écharpes.
Pour l'assemblage, je me suis inspiré de cette question, avec une emboiture & sans tenons:
Alors, je ne reconnais pas tout mais en bas à gauche c'est un support qui se monte sur le carter de toupie, qui va supporter certainement la barre juste au dessus avec les boutons verts. Cette barre te permets de monter le presseur (sabot en bois) qui va plaquer ta pièce. Devant ceci, tu peux monter le protecteur (la tole courbée au bout de sa tige). Si tu cherches une photo de la machine montée ou une kity 626/627, c'est très similaire.
Le reste me parle malheureusement moins.
Bonjour,
La scie circulaire sur rail me semble préférable à la scie sous table, car tu vas devoir tronçonner beaucoup de panneaux pour les mettre à longueur, et une petite scie sous table serait bien à mal de le faire au delà de 70cm de large à peu près, pour les guides parallèles extensibles les plus généreux.
Il te faudra 2 lames selon que tu délignes (dans le sens du fil) ou tronçonnes (plus de dents pour couper à travers fil).
Personnellement, j'ai pris une scie table pour être plus en sécurité car la circulaire m'avait fait quelques frayeurs (en délignage), sois prudent que ton bois ne se resserre pas derrière la lame (mets des coins,..).
Pour des petits objets, las table est plus pratique car tu peux faire un traineau, couper de petits bois,... mais ça c'est quand le virus t'auras piqué si je comprends ton projet du moment(le vaccin actuel n'est pas efficace).
Bonjour,
La finition, c’est un savoir faire, tout un processus (que je ne maîtrise pas d’ailleurs) comme la conception d’une création finalement.
La rubrique adéquate existe, il s’agit des pas à pas.
Et il est très juste que ça manque, mais les menuisiers n’aiment pas les finitions et les ébénistes partagent pas 
.
Bonjour,
Il existe des plans de travail en hêtre ep 36mm, c'est assez rigide sur 2m.
Ton plan tiendra, mais attention, il va faire dans les 40kg. Tu peux aussi partir sur moins épais et mettre une traverse rigidifiante (sur chant, l, 30mm; h 60 ou 70mm par exemple) que tu peux visser bien en retrait du bord (à 1/3 de la largeur de ton plateau, c'et pas mal) si tu ne veux pas la voir. Si tu veux un chant épais, tu peux alors ne le doubler qu'en périphérie.
Le pied droit, tu n'indiques pas comment il est fixé sur le plateau. Tourillonné /vissé,...?
Pour apporter en rigidité, il vaudrait mieux que ton contreventement soit inscrit entre les deux pieds plutôt qu'en applique comme tu le présentes, en particulier s'il est vissé: les vis, c'est pas fait pour travailler en flexion, mais en compression/tension.
Sinon, concernant le choix de l'essence, j'aime bien le hêtre. Parfois il manque un peu de caractère, et en lamellé collé, on trouve des panneaux avec des morceaux de 2nd choix un peu échauffés, marqués,... ça apporte du caractère, et le patchwork casse un peu ce côté très homogène. Enfin je trouve.
Si tu pars sur du massif brut, c'est là que tu verras le caractère de cette essence: il est plutôt nerveux!
Il faudra bien laisser acclimater tes plateaux avant le débit, et les laisser reposer à nouveau avant de corroyer. Ensuite, prévoir dans la foulée la constitution de tes panneaux: rainures languettes (ou fausses languettes), collage, ouf!
C'est possible.
La question est récurrente, la réponse aussi, avec un VFD.
Voici les questions qui traitent du sujet:
Salut!
Recevoir un coffret, c’est sympa comme cadeau!
Tu as bien raison de ne pas démarrer seul.
De ce que j’ai appris, toujours travailler en opposition (et pas en avalant, y compris, dans la gestuelle, ne pas provoquer ce genre de configuration),
Utiliser des guides de continuité pour assurer un appui constant au bois pendant son déplacement
Utiliser poussoirs ou supports de pièces pour éloigner les doigts,
Si pas possible rester devant l’outil, ne mettre les mains derrière que loin de l’arbre , et l’une après l’autre en se garantissant que la pièce soit toujours sur le bon chemin, cad qu’elle translate ou a minima qu’elle est arrêtée pour ne pas la voir partir dans l’autre sens. Il ne faut pas risquer de vouloir la rattraper avec la main en fait, sinon c’est salade de doigts.
Sinon, les outils marqués mec sont à utiliser avec un entraîneur (en dehors du tennonage), c’est pour l’assureur. Il importe surtout de savoir ce que tu risques et comment éviter de provoquer un incident (copeau infini,...) pour ne pas commettre d’impair.
Mais quel bel outil !
Blanchon fait une résine à mélanger à de la sciure.
Tu fais un ponçage de la surface, tu fais ta mixture avec la poussière obtenue, remplissage et ponçage de finition. Car finalement, il y a contradiction entre ne pas avoir de ponçage à faire et chercher quelque chose de résistant au ponçage final...
sinon tu fais tienne l’idée d’assumer l’historique régulier ou irrégulier (ça a un charme différent mais ça marche aussi) des trous et tu les laisses. Il n’y a pas de réponse absolue, juste celle qui te plais!
