
Désolé de répondre à la question par une autre, mais la volonté c’est d’avoir les chants plus clairs ? Parce que sinon, je ne vois pas le problème.
Sinon, comme dis M. Desthuilliers, tu commences par teinter au brou éventuellement dilué à l’eau si tu veux une teinte moins marquée, en protégeant tes chants avec du ruban. Le brou c’est quand même ultra liquide à mon avis ça va baver et il faudra un bon ponçage ou mieux, un coup de rabot !
Ensuite seulement, mélange huile et térébenthine.

Je vote pour l'artisan qui part à la retraite.
D'une il annonce 100€, mais si tu lui donnes ta fiche de débits, il prendra certainement en compte ce que Boris explique et tu ressortiras à coup sûr avec 3 ou 4 m² "bruts", de quoi faire proprement ce que tu souhaites, sûrement au même prix.
Et m'est avis que c'est une super occasion de discuter de ton projet, te faire conseiller, apprendre plein de petites astuces... qu'on retrouve moins chez le marchand. Et qui sait, d'avoir un contact à l'avenir avec qui discuter, apprendre, bref, que du plus!
En revanche je vois que tu prévois un plateau de 440x1300 dans ta fiche, il vaut mieux faire un plateau composé de 3 planches.

En fait c’est surtout pour que ton bois ait la même manière d’absorber l’humidite sur toutes ses faces. Sinon il risque plus de se déformer. Tu peux donc vernir le dessous, retourner ton plateau et le poser sur des petits supports pointus ou tasseaux coupés à 45° pour qu’il n’y ait qu’une arête en contact, et faire le dessus.

2 collègues m’ont chanté les louanges de l’utilisation de la colle à bois pour les chants en mdf, suivi d’un Ponçage avant peinture. Je leur fait 100% confiance.
Pour la couleur, il faut absolument passer par une mise au blanc préalable (sous couche, acrylique blanche, bref, blanchir !!) le mdf boit, assombrit, il faut équilibrer par un éclaircissement costaud préalable.


cruel dilemme, c’est la rançon du succès !
On a tous des relations avec des fournisseurs et dès lors qu’ils sont pros, généralement ça se passe bien et on en apprend. Ils ne roulent pas sur l’or non plus, ça va.
Pourvu, simplement, que chacun garde sa place et qu’on puisse conserver l’esprit du site sans placements de produits à outrance...
Un petit bouton « ça me saoule » peut être à prévoir si l’aventure venait à dériver, mais franchement exclure les fournisseurs, c’est partial.

Je suppose que la plage donnée tient compte de la course de réglage possible de la vis qui règle l’ecartement entre le chant de la porte et la joue du meuble.
Je tirerais donc au milieu.
Et pour être sûr, je ferais un essai préalable sur une chute.
Et si ça marche, je la garderais comme gabarit pour pouvoir recaler facilement mes portes sous la perceuse à colonne à l’avenir!

Tout dépend de ton usage, comme le dit oak.perso, je suis du genre à tenter parce que ne suis pas prêt à claquer beaucoup, seule concession raisonnable à ce qui par ailleurs devient une petite passion. Mais mon challenge c’est de m’equiper à petit prix et si un jour me sens confirmé peut-être m’offrir the ultimate fucking multimachine... mais n’en suis pas là. Quel budget es-tu prêt à mettre, et quel risque es-tu prêt à prendre ?

Pour mes fraises je les décrasse au « super mafrasol » conseillé par un collègue s’en servant pour des pièces mécaniques (moto). Ça décape. Tu peux le trouver en station service.
De mémoire certains utilisent du decap’four, j’ai une mousse de ce genre pour les lames de scie.
Mais le coup de brosse derrière reste impératif.
Le wd40, c’est parfait ensuite pour protéger ton outil, qui aura subi rinçages,...

Même avis que tchabissi, deligner en 2 voire 3, et reconstituer les panneaux en alternant les cernes.
Et ça peut bien se faire avec une scie circulaire et une règle, le seul truc, quelle que soit la scie c’ Qu’idealement il faudrait dégauchir les côtés recoupés.
Pour le séchage, Oliverte donne un ordre de grandeur : 1an/cm d’epaisseur de planche, mais je n’ai jamais tenté.