
Bonjour,
Si ça peut aider, voici mon parcours et mon expérience de reconversion :
Initialement, j'ai fait une formation d'ingénieur télécom. Ce qui m'a valu le diplôme qui va avec. Mais je n'ai jamais directement travaillé dans le secteur des télécoms à proprement parlé. J'ai ensuite commencé directement à travailler dans un boîte de jeux vidéo comme développeur. Ce que j'avais appris sur mon temps libre depuis mes 7 ans. J'y suis resté ça pendant 10 ans.
En parallèle, j'ai beaucoup pratiqué la menuiserie en amateur. Avec la grande ambition initiale de me fabriquer tous mes meubles. Au fil du temps, je me suis équipé et j'ai appris.
A 33 ans, j'ai eu envie de changer de cap. Faire de ma passion mon métier et de mon métier ma passion.
Comme toi, j'ai cherché les solutions pour changer radicalement de secteur. J'ai pas mal buté sur cette problématique de diplôme au départ. Les formations qui m'étaient accessibles représentaient un coût financier non négligeable et aussi un blocage des revenus pendant une période assez longue.
En grand têtu, j'ai creusé plus et je suis arrivé à un compromis : la CAE (Coopérative d'Activité et d'Emploi). Ce cadre correspondait bien à mes valeurs (partage de l'outil "entreprise"), mais aussi m'a permis de me lancer sans passer par la chambre des métiers, sans créer d'entreprise et sans diplôme (Attention, je ne dis pas que le diplôme ne sert à rien. Ce qui est important, c'est la formation !). Tout ça, dans la limite où je n'entre pas dans des activités réglementées.
Dans le principe, une CAE va apporter à l'entrepreneur un cadre juridique et plus ou moins de services annexes (compta, assurance, soutiens, ...). Tout ceci à un coût. Dans ma coopérative, OXALIS, ça représente 15% de la marge brute dégagée par l'entrepreneur.
L'autre point qui me plait dans ce modèle, c'est que je suis salarié de ma propre activité. C'est à dire que je suis dans un régime générale de salarié pour tout ce qui est cotisations (sécu, chômage, retraite, ...). Et la coopérative est assugétie à la TVA, donc moi aussi et mes investissements sont donc HT.
Ce modèle permet assez mal de grandir par l'embauche. Mais c'est pas impossible. Il n'y a pas non plus d'activité à céder en fin de parcours.
Voilou, ça fait 5 ans que je suis dans ce mode. Je ne peux pas complètement le comparer à d'autres, parce que je n'ai essayer que celui là. Mais il me va bien. Il m'a permis d'investir dans le matériel pour produire et me lancer plus tôt.
➡ Mais je ne cache pas que sans de bonnes bases, il ne faut absolument pas ignorer la case formation !

Avec le couteau qui permet l'accroche d'un capot, il ne me semble pas possible de le faire descendre en dessous du point haut de la lame.
Il faudrait un couteau qui ne se destine pas à porter un capot pour ça.
Dans ton cas de coupe borgne, la seule solution que je vois est de retirer le couteau ... mais attention à ce que tu fais comme coupe après !

Avec Martin Müller, on avait prévu ce calpinage 1D. Mais le temps nous a manqué pour le mettre en place à la 1.5.
Et l'autre "problème" qui nous a limité était de savoir comment le présenter ;)
Mais ça arrivera un jour. Reste que pour le moment je pense que Martin Müller n'a plus la disponibilité nécessaire. (à lui de confirmer ;) )
Sinon, en attendant, tu peux faire à peu près la même chose en trichant. Et en mettant tes barres comme des panneaux. Il n'y a plus la section, mais que la largeur. Mais c'est gérable.
Et dans ce cas, tu auras use sorte de calepinage de barre.
Exemple :
- Bien mettre la surcôte de largeur à 0.

Bonne idée ! Je plussois :)
Pour ce qui est du "je possède ce livre", je n'y vois pas trop de problème. Pour le "je recherche ce livre", il me semble plus difficile de donner la visibilité nécessaire à cette fonctionnalité. Et aussi que ça reste à jour. Est-ce que les chercheurs vont penser à retirer leur "recherche" une fois le livre trouvé ? C'est moins sur ;)

A ma connaissance, il n'est pas possible de faire de famille de composants. Enfin pas dans ces termes là.
La bibliothèque de composant dans un modèle SU est un liste plate.
Pour ton besoin, je vois deux possibilités :
- Nommer tes composants avec une syntaxe spéciale qui fait apparaitre cette notion de famille. Exemple : ossature.pied_1 ou bardage.lame_1. Et comme les composants sont triés par ordre alphabétique, ça rassemble automatiquement par "famille".
- Mettre tes instances sur la scène dans des groupes différents par famille. Ainsi, tu peux rapidement isoler ton ossature ou ton bardage.


Ca me semble élevé. Il me semble préférable d'être entre 10-12% pour les meubles et menuiseries intérieures.
Sinon, voici ce qu'en dit la FCBA : A quel pourcentage d’humidité doit on mettre en œuvre le bois ?

Il y a cette trouvaille qui est un début pour ce qui est site.
Il y en avait un autre, très bien et Québécois mais il semble avoir fermé :(
Sinon, je propose aussi cette trouvaille sur l'ergonomie et dimensions dans la conception du mobilier.

Dit comme ça, 2000 euros le m3 de chêne, c'est cher. Mais tu es en train de rapporter le coût d'une petite quantité à des tarifs de grosse quantité. Attention que plus ta quantité sera faible, plus les frais fixes de tes fournisseurs paraitrons importants dedans.
Pour ma part, en principe, le chêne en dépareillé avec choix au plateau je le trouve autours de 1200 euros le m3.
Dans ta fiche de débit, tu as pris une surcôté d'épaisseur pour arriver à 25mm. Mais ce n'est pas une épaisseur très standard. Je ne sais pas ce que tu as trouvé, mais 27mm me semble plus probable.
Un plateau de bois massif n'est pas un bloc de matière homogène. Tu ne peux pas réfléchir ton calcul par optimisation sans tout poser sur le bois directement.
Tu vas perdre du bois par des problèmes de longueur pas toujours optimisables, par l'épaisseur brute, par les défauts (noeud, fentes, tâches). Et tout ça n'est pas toujours visible avec le plateau brut dans les mains.
Pour ma part, je fais toujours x2 à ce que me donne le volume brut (dimensions finales + surcôtes et adaptation aux épaisseurs standard de plateau). Et même x2.5 si je dois tirer des grandes pièces ... ça s'optimise mal.
PS : Pour générer ta fiche de débit depuis Sketchup, je ne saurais trop te conseiller d'essayer OpenCutList.

Alors, tout d'abord, merci de t'intéresser à l'utilité que peut avoir OpenCutList ;)
Pour Rhino 3D, je ne le connais que mal. La période d'essais ne m'a jamais été assez longue pour bien l'appréhender et m'y sentir efficace
Par contre, une piste peut-être à étudiée (même si je n'y crois trop). C'est que Fusion 360 a lui un export vers Sketchup qui sait conserver la structure du modèle en pièces et qui produit donc un modèle 100% compatible avec OpenCutList (dans la limite où il peut y avoir quelques axes à réorienter).
Donc, soit tu essaies de trouver un moyen d'exporter ton Rhino vers Fusion, puis vers SU (le workflow tout naze :P), Soit tu bascules tes modélisations sur Fusion 360 qui est plus proche de ce que tu dois connaitre dans Rhino.

Je pense que chacun aura ses critères de tri et de définition de la pépite.
Nous commençons à faire face à ce que tous les réseaux connaissent quand il y a beaucoup d'animation, c'est le flux du contenus important.
La division en d'autres catégories ne fera que disperser la chose et rendra le tout à mon sens encore moins lisible et visible.
Comme de toute évidence nous sommes devant un "problème" qui ne sera pas perçu par chacun de la même façon, l'important serait certainement de réfléchir à ce que chacun puisse personnaliser ce qui lui est présenté.
Mais là aussi il y a autant d'avantages que d'inconvénients. Si on regarder les méfaits des algorithmes sur les réseaux sociaux qui rendent complètement invisibles à "tes" yeux les publications de tes amis parce que trop rares et rendent omniprésentes celles que "tu" regardes trop parce que c'est ce qu'on te présente ou que quelqu'un paie pour qu'on te la présente, je me dis que la machine aussi artificiellement intelligente puisse-t-elle être reste un des plus gros teubé pour savoir ce que tu veux réellement voir ...
Et donc, si cette personnalisation devait être manuelle, sur quel critère pourrait-elle se faire ?
Choisir ce que l'on nous présente, c'est certainement aussi s'interdire de sortir de ses habitudes...

Bonjour Rémi,
Tout d'abord, merci pour cette question bien posée et bien détaillée !
Je rejoins sylvainlefrancomtois dans sa réponse sur la rigidité. Mais j'ajouterais un complément qui est loin d'être négligeable.
Mieux anticiper les mouvements du bois !
Ta construction est un peu différente de celle de Atelier bois couleur, à savoir que tu es totalement en massif !
Je m'explique : ton dessus, ton dessous ou tes montants ont le fil du bois dans le même sens. Donc pas de "dégâts" visibles à prévoir si ton bois "travaille".
MAIS, par mesure de simplicité d'usinage, je suppose que tes angles arrondis, tu vas les faire dans la longueur des fibres. Et c'est là que je vois un gros problème potentiel. Tu ne peux ainsi plus laisser de liberté de mouvement à ton bois. En effet, tu seras face à un croisement du fil sur un collage et donc à des variations dimensionnelles différentes entre tes dessus/dessous/montants et tes pièces d'angle.
Voici une petite illustration des "dommages" probables.
Une solution serait de mettre les fibres dans le même sens pour les coins. Mais plus facile à dire qu'à faire :)