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dneis

Voici ma vision de la chose:

  1. la nécessité d'élever la température à l'intérieur du four/séchoir: cela repose comme tu l'indiques sur un revêtement noir, combiné à un effet de serre avec une plaque de verre orientée vers le soleil.;
  2. une enceinte isolée de l'extérieur permet de limiter les déperditions de chaleur, et ainsi permet une température plus importante dans l'enceinte (c'est bien pour un four solaire, pour un séchoir je ne sais pas si c'est nécessaire);
  3. l'inertie thermique est nécessaire en cas de puissance de chauffe fluctuante, si tu souhaites gommer ces fluctuations. Il faut alors emmagasiner de la chaleur, c'est là que l'inertie thermique est importante (ainsi qu'un lever du jour, au démarrage de ton four). Tu peux alors mettre des éléments qui emmagasinent de la chaleur à l'intérieur de l'enceinte (briques, pierres, ...), je ne sais pas si cela se pratique dans le milieu des séchoirs solaires.
dneis

Goupille ?

dneis

Un bon livre avec étude des styles:

Un livre intéressant aussi sur la construction des meubles:

Idem, plus petit et moins complet:

Sinon, l'Art du Menuisier, de Roubo, très complet 😉

dneis

Je sculpterais des petits kayaks dedans pour compléter ma xylothèque 😉

Bref, des petits sculptures. L'imagination est la limite !

par Remy77fr il y a 5 ans
dneis
( Modifié )

J'ai du mal à voir ce qu'il manque sur le logo...
C'est inscrit:

  • N°44
  • match
  • Unis France
  • 261
  • Prod Val D'Or.

Il a l'air complet.

On retrouve effectivement ce porte-mèche dans les catalogues des années 30.
Les modèles "match" correspondent à l'entrée de gamme 😉

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dneis

Je crois que moyen de protection durable et naturelle c'est antinomique dans le cas de bois en contact avec le sol.

Les traverses de chemin de fer sont imprégnées à coeur de créosote pour tenir dans le temps, et ce n'est pas un produit très sympa... Même les traverses en azobé sont traitées.

Aucune charpente ne repose directement sur le sol pour cette raison. Il y a toujours un intermédiaire en pierre ou en béton pour isoler du sol (terre, bestioles, humidité, eau).

Soit :

  1. tu acceptes que ton bois pourrisse, ce qui arrivera tôt ou tard en contact avec le sol;
  2. tu fais un mur en pierres sèches, ce qui est beaucoup plus adapté et durable.
dneis

Salut Guilh63,

Comme promis, les ressources sur les tiroirs que j'ai pu trouver dans mes livres.

Et sinon, pour les tiroirs sur l'ADB, tu peux aller voir:

Voilà ce que j'ai pu trouver.
J'espère que les documents sont assez lisibles (sinon demande), mon appareil photo et moi même ne sommes pas très fort pour faire de jolies photos...

dneis

Tu peux te faire ta propre expérience.

Tu prends une planche de dimensions approchantes, tu la pose sur deux plots, tu montes dessus et tu décides si c'est assez résistant ou pas.

Mon sommier et en planches de palette (résineux), d'épaisseur ~17mm, longueur entre appuis ~600mm et largeur des planches ~80mm. Je tiens debout régulièrement sur une planche et ça n'a toujours pas craqué.

dneis

Dans l'ordre:

  1. Pour le démonter s'il est bien serré, tu peux aussi brider délicatemnt le coin dans un étau, et frapper le talon du guillaume avec un maillet. En principe cette méthode permet de venir à bout d'un paquet de coins serrés sur les outils à dégaement latéral des copeaux. L'encoche sur le coin est là pour desserer le coin au maillet.
  2. le fer: on se fiche qu'il soit rouillé, sauf au niveau de la planche, qui doit être plane et pas piquée. C'est donc là que tu dois passer du temps en premier. Ensuite affûtage du biseau;
  3. oui, c'est mieux si la semelle est plane. Si tu ne maîtrises pas encore les rabots, tu peux dans un premier temps griffonner sur toute la longueur au crayon graphite, et délicatement frotter sur un abrasif fin bien plan, ça montre où sont les points hauts et bas. Pas besoin non plus d'être plus royaliste que le roy...
  4. euh, un coup de brosse, et rien, pas de finition. La peinture partira en ponçant/rabotant légèrement la semelle. Paraffine avant utilisation sur la semelle, ça glissera encore mieux.

Ce doit être un guillaume en cormier Goldenberg. La marque est partie (dans l'évidement circulaire à l'avant).

dneis

J'arrive après la bataille, mais une presse simple avec une "planche épaisse" et deux vis ou tiges filetées, ça fait l'affaire.

Dans ce genre:

dneis

Je dirais du CP bouleau aviation.

dneis
( Modifié )

S'ils ne sont plus bien répartis, c'est que les ressorts qui maintiennent l'écartement sont probablement endommagés. C'est courant.

Il te faut donc trouver des ressorts de remplacement. Ici c'est le diamètres intérieur du ressort ta contrainte, car ils sont logés dans des perçages dans les mors.

Une question du même genre ici

Pour accéder aux ressorts, c'est une autre paire de manche. Le mandrin doit se dévisser quelque part, mais sans photos, c'est difficile à évaluer. Exemple ci-dessous de mandrin un peu dévissé (par erreur probablement):

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dneis

Histoire de rester dans le traditionnel, est-ce qu'une cire incolore ne ferait pas l'affaire ? De toute façon, à terme, le chêne va foncer.

dneis
( Modifié )

Les outilleurs allemands ont une solution toute trouvée: le rabot à queue d'arondes.

D'autres images ici.

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dneis

Regarde du côté de la table portefeuille, pas de rallonge à stocker !

Exemple ici, ou .

Si ça t'intéresse, j'ai le tracé de la table dans